La qualité importe peu à ceux qui s'offrent des prérogatives politiques, administratives et économiques,
Puisque le mot d'ordre est avant tout la préservation de soi (et quand je dis soi, j'entends par là évidemment la chapelle nantis que l'on pourrait situer dans les classes aisés, bourgeoises, uniquement), et dans une plus large mesure, la collectivité conservatrice des privilégiés financièrement !
Et il y a gros à se faire, en terme de marges pécuniaires, accompagné des compromissions, des mesures d'indexation sur les valeurs conquis des services publics et sociales, de la consommation excessive, pour maintenir la production, l'activité, et préserver l'équilibre revenus/cotisations du contribuable médian, dans une optique de centralisation des biens acquis par la figure symbolique oligarchique, et donc la suprématie hégémonique des nations productivistes et libérales.
D'où la perte grandissante des traditions, des fondamentaux nationaux et des principes de prémunition, seul une poignée semblent encore s'en soucier, essentiellement des individus épeurés, dotés d'une mentalité plus traditionnelle et indivisible, et le chiffre fléchit avec le temps.
Le capitalisme libéral favorise la croissance économique dans la mesure où cela ne résulte pas d'une trop grande proportion à l'incorporation sur tout un segment global territorial, là où les yeux semblent davantage se focaliser, et notamment les yeux médiatiques, c'est la garde de la répartition économique dans les grandes villes, et métropoles, au détriment des zones rurales "traditionnelles", mais sans omettre leur existence, évidemment certains domaines, comme l'agriculture, les usines de production industrielle et les fonderies restent une part belle à l'économie globale, mais toujours avec un œil à demi-fermer sur ces thématiques et souvent "problématiques" au sens des apports en aide financière et en considération de la part de la côterie étatique, mais ces derniers, pour reprendre une formule d'un personnage public qui jusqu'à aujourd'hui, semble bénéficier d'une grande "tolérance" juridique et politique, "qui oscille entre apathie et immobilisme" c'est la grande tragédie du déséquilibre et de la trivialité, de l'attitude impulsé par bons nombres de dirigeants dans le monde, de façon plus large.
Les maladies mentales et les suicides, hors mis à raison, une multiplicité des énergies dans l'environnement, est également dû à une source que je qualifierais de plus profonde, plus inhérente, et voir même génétique.
Car le soucis à la survie, et la peur d'aller dans l'inanité ambiante à toujours été à travers les siècles que nous connaissons, l'ADN central de l'efficacité dans l'effort, faire feu de tout bois à la conservation de son existence, entraînant par ailleurs conflits, guerres, massacres, et tueries de masses, et bien sûr, insufflés et motivés par les religions monothéistes notamment,
Ce n'est pas toujours ce que l'on croit découvrir qui est véhicule d'un episode inédit !
L'histoire est là pour démontrer également que la vie est un commencement et une fin, puis un recommencement et une fin, puis un re-recommencement, et ainsi de suite...
Rien n'est dû au hasard, mal nous en a pris, l'homme a la faculté de l'oubli très facile, et cela mènera inéluctablement à une dépression à grande échelle chronique, si ce n'est pas déjà le cas, en réalité...le soucis étant que les velléités du passé sont préservés et gardés en lieu sûr dans les mentalités, et dotent d'une impulsion malsaine, afin de se pourvoir des justifications nécessaires à la prise d'une décision qui ravie ceux et celles qui ne la partageaient pas tous au départ, mais par un effet absorbant, confèrent des droits mortifères et je dirais même, avilissants...
Mais la réalité est brute, et parfois, maussade, sans pour autant être soupçonneuse dans son essence la plus naturelle, c'est que l'on en fait, qui devient perméable dans le jugement, tel est l'adage que je m'autorise à penser.
Les souffrances morales et mentales modernes sont principalement dues à une forte concentration de l'énergie utilisée dans la réflexion, dans la production et l'effort excessif économique, par soucis d'avoir trop peu pour vivre et se nourrir ! qui bien des fois, à pertes de cœur et de raison, supplantent le reste du quotidien, le gros soucis est là, the trouble is here.
La baisse de natalité d'une souche par rapport à l'autre n'est qu'un pieds de nez fallacieux, pour eviter d'articuler l'idée selon laquelle, une civilisation est plus légitime dans la survie qu'une autre, c'est aussi simple que ça...et un aperçu des conséquences de cette déformation cognitive collective, dans son historique, est visible sur des terres se situant à l'ouest.
Il suffit de regarder la lune, plutôt que le doigt.
Cela dit, je plussoie à la grande proportion de l'escroquerie et des fausses promesses délétères de la part de nos contemporain(e)s, subalternes de l'hégémonie parlementaire unipolaire.
C'est d'ailleurs par ce biais que me fait doucement rigoler ceux (et même celles en faite) qui prétendent, qui s'arguent de défendre par la passion des mots et de la langue, les symboles vernaculaires d'une patrie dont ils/elles ont brillamment et insidieusement construits leur image à l'aide des godillots quelques peu désespérées, et qui sortent en faite des mêmes bibliothèques financières, les enchantements de Merlin, à côté, c'est de la pisse de vache ^^