Comment se prioriser?

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Jill 2
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Je suis seule avec moi même la plupart du temps. ...

Depuis mon craquage je suis enfermée chez moi, complètement flippe à l'idée d'avoir la moindre interaction sociale....

Je me force à sortir mais je sais pas, c'est bizarre, j'ai peur mais vraiment peur.

Il y a truc qui sedt passé.... Un truc qui m'a fait vrillé. Depuis j'ai l'impression qu'il y a un truc qui claqué dans mon cerveau, j'ai des peurs paniques, des espèces de crises d'angoisses, à la moindre émotion mon cœur s'emballe, j'ai du mal à respirer, l'autre jour crs sensations ztaiznt tellement forte que kai vraiment cru que j'allais crevé tout ça pour une simple chamaillerie....
Et tu fais quoi quand tu es seule?
Ah ouais t'as peur et tu sais pas de quoi?
Si t'es en dépression en même temps ça expliquerai que tu prennes plus à cœur certaines choses. Puis faut voir y'a chamaillerie et chamaillerie. Des fois on est vexé mais y'a des raisons. Pour ce qui est de te prioriser. C'est simple: t'as envie de faire un truc (bon pas un truc qui nuit à autrui du style cramer un supermarché lol), tu le fais. Je vais prendre un exemple c#n, par ex tu as toujours eu envie de te couper les cheveux mais tu te l'interdis, ben tu le fais. Ou tu as besoin de te reposer mais une voisine à besoin de ton aide pour "je sais pas quoi", et ben tu te repose plutôt que d'aller jusqu'à être à bout. Après tu as une fille donc bien sûr que tu vas continuer à prendre soin d'elle mais essaie de t'accorder des moments vraiment pour toi, ou même, tu sais t'as le droit d'être triste, ça arrive. Et puis ton compagnon te chouchoute donc essaie de réfléchir à si réellement t as des raisons de penser qu'il ne t'aime plus. Et si c'est pas la dépression qui te fais penser ça. Tu sais y'a des femmes le jour où elle tombe malade, leur mari fait la gueule et leur reproche de pas avoir cuisiné, c'est plutôt bon signe si il fait attention à toi déjà. Après tes peurs tout ça, j'espère que tu vois un psy. Et continue un peu d'aller dehors même si ça te flippe, faudrait pas que ça devienne un cercle vicieux.
 
A
Avancer
Anonyme
Il y a quelques années je suis tombee gravement malade, j'aurai pu y rester, ça a duré 2 ans mais durant toute cette période, je suis restée forte, digne, souriante je ne me plaignais jamais pour elle, pour la préserver de tout ça.

Même quand j'avais mal+++ je jouais avec, je lui souriais, je l'emmenais en sortie sans me soucier de mon état de fatigue.
Mon seul objectif était de lui créer un max de bon souvenir avec sa maman au cas où.....

Mais aujourd'hui, je n'y arrive pas, je stress à l'idée de passer du temps avec elle car malgré mes efforts le cœur n'y esr pas, je souris mais elle voit que c'est forcée, elle sent que ça ne va pas, elle s'inquiète.

C'est pour ça que je me dis qu'elle serait mieux sans moi.
 
Jill 2
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Il y a quelques années je suis tombee gravement malade, j'aurai pu y rester, ça a duré 2 ans mais durant toute cette période, je suis restée forte, digne, souriante je ne me plaignais jamais pour elle, pour la préserver de tout ça.

Même quand j'avais mal+++ je jouais avec, je lui souriais, je l'emmenais en sortie sans me soucier de mon état de fatigue.
Mon seul objectif était de lui créer un max de bon souvenir avec sa maman au cas où.....

Mais aujourd'hui, je n'y arrive pas, je stress à l'idée de passer du temps avec elle car malgré mes efforts le cœur n'y esr pas, je souris mais elle voit que c'est forcée, elle sent que ça ne va pas, elle s'inquiète.

C'est pour ça que je me dis qu'elle serait mieux sans moi.
Je sais pas quelle age à ta fille mais un enfant peut comprendre assez tôt si un parent est pas en forme. Des fois juste être présente, lui montrer que tu es là pour elle, que tu l'aime, ça suffit. Si t'as pas l'énergie de la promener, tu peux le faire une fois sur 2 et autrement faire un truc plus calme, même juste rester avec elle quelque-part, tranquillement. On dirait que tu as un idéal de mère wonderwoman parfaite (comme beaucoup de femmes) mais personne ne le sera et un enfant il a plus besoin d'amour que de perfection. J'avoue c'est facile pour moi de dire tout ça...je ne suis pas maman 🤣!
 
A
Avancer
Anonyme
Elle est parti 2 semaines en vacances bien sûr elle m'a manqué mais si je m'étais écouté je l'aurai envoyé chez son père pour lui éviter de me voir dans cet état, j'ai tellement honte d'être devenu si faible, je me dis que ce n'est pas un exemple à donner.

Quelques minutes avant son arrivée j'ai fair une crise d'angoisse +++, je pleurais, je suffoquais. "Elle arrive, mon bébé arrive, je ne vais pas y arriver...."

Mais finalement ça a été.
 
A
Avancer
Anonyme
Et tu fais quoi quand tu es seule?
Ah ouais t'as peur et tu sais pas de quoi?
Si t'es en dépression en même temps ça expliquerai que tu prennes plus à cœur certaines choses. Puis faut voir y'a chamaillerie et chamaillerie. Des fois on est vexé mais y'a des raisons. Pour ce qui est de te prioriser. C'est simple: t'as envie de faire un truc (bon pas un truc qui nuit à autrui du style cramer un supermarché lol), tu le fais. Je vais prendre un exemple c#n, par ex tu as toujours eu envie de te couper les cheveux mais tu te l'interdis, ben tu le fais. Ou tu as besoin de te reposer mais une voisine à besoin de ton aide pour "je sais pas quoi", et ben tu te repose plutôt que d'aller jusqu'à être à bout. Après tu as une fille donc bien sûr que tu vas continuer à prendre soin d'elle mais essaie de t'accorder des moments vraiment pour toi, ou même, tu sais t'as le droit d'être triste, ça arrive. Et puis ton compagnon te chouchoute donc essaie de réfléchir à si réellement t as des raisons de penser qu'il ne t'aime plus. Et si c'est pas la dépression qui te fais penser ça. Tu sais y'a des femmes le jour où elle tombe malade, leur mari fait la gueule et leur reproche de pas avoir cuisiné, c'est plutôt bon signe si il fait attention à toi déjà. Après tes peurs tout ça, j'espère que tu vois un psy. Et continue un peu d'aller dehors même si ça te flippe, faudrait pas que ça devienne un cercle vicieux.

Pour mon compagnon, il dit comme toi que c'est la dépression qui me fait tout voir en noir.

Je ne sais pas.

Parfois je le déteste d'un coup, je voudrais qu'il parte, 2 secondes après je viens pleurer dans ses bras en lui demandant pardon.

Je n'arrête pas de lui dire de partir qu'il serait mieux sans moi mais il reste et hé ne comprend pas pourquoi mon cerveau part dans tous les sens je me met à trouver cela suspect, cesr pas normal, pourquoi il reste qu'est ce qu'il me veut?

Je me met à fouiller partout à la recherche de je ne sais quoi, il le voit il me laisse faire.

Je me dis qu'il reste par pitié qu'il me quittera quand j'irai mieux.

Parfois il me parle de nous et j'angoisse j'ai envie de vomir.

L'autre jour j'ai cru voir quelqu'un j'ai hurle, pleure, j'étais terrorisé nous n'étions que tous les 2.

Il a fait 4 fois le tour de l'appartement pour me prouver qu'il n'y avait personne et rester derrière la porte de la salle de bain pour que je puisse prendre ma douche.

Après c'est passé, je sais qu'il n'y a avait personne et ça n'a paq recommence depuis

Mais j'ai l'impression que mon cerveau ne sait plus faire la distinction entre le vrai et le faux.

Réalité ou délire parano....

Ça me fait flipper.

Je dois voir un psychiatre demain, ça m'angoisse.

J'en suis à espérer de retomber malade pour avoir quelque chose de réel à combattre.
 
Jill 2
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Pour mon compagnon, il dit comme toi que c'est la dépression qui me fait tout voir en noir.

Je ne sais pas.

Parfois je le déteste d'un coup, je voudrais qu'il parte, 2 secondes après je viens pleurer dans ses bras en lui demandant pardon.

Je n'arrête pas de lui dire de partir qu'il serait mieux sans moi mais il reste et hé ne comprend pas pourquoi mon cerveau part dans tous les sens je me met à trouver cela suspect, cesr pas normal, pourquoi il reste qu'est ce qu'il me veut?

Je me met à fouiller partout à la recherche de je ne sais quoi, il le voit il me laisse faire.

Je me dis qu'il reste par pitié qu'il me quittera quand j'irai mieux.

Parfois il me parle de nous et j'angoisse j'ai envie de vomir.

L'autre jour j'ai cru voir quelqu'un j'ai hurle, pleure, j'étais terrorisé nous n'étions que tous les 2.

Il a fait 4 fois le tour de l'appartement pour me prouver qu'il n'y avait personne et rester derrière la porte de la salle de bain pour que je puisse prendre ma douche.

Après c'est passé, je sais qu'il n'y a avait personne et ça n'a paq recommence depuis

Mais j'ai l'impression que mon cerveau ne sait plus faire la distinction entre le vrai et le faux.

Réalité ou délire parano....

Ça me fait flipper.

Je dois voir un psychiatre demain, ça m'angoisse.

J'en suis à espérer de retomber malade pour avoir quelque chose de réel à combattre.
Mais tu as pas eu un choc, un événement avant d'avoir toutes ces pensées, réactions?
Après si ça se trouve juste, ça t'as fatiguée mentalement quand tu étais malade avec tous les efforts que tu as fait et maintenant ça lâche.
X'est déjà une bonne idée de voir un psychiatre.
 
A
Avancer
Anonyme
Mais tu as pas eu un choc, un événement avant d'avoir toutes ces pensées, réactions?
Après si ça se trouve juste, ça t'as fatiguée mentalement quand tu étais malade avec tous les efforts que tu as fait et maintenant ça lâche.
X'est déjà une bonne idée de voir un psychiatre.

Oui.

En fait je crois que c'est une accumulation au fil des années.

Un entourage cassant et rabaissant, mais je trouvais la dose nécessaire de valorisation au boulot, ça équilibrait.....

Mais au bout de 13 ans de boîte j'ai fait une mauvaise rencontré pro qui a suffit à tout faire basculer, il ne voulait pas fe moi dan son équipe, il a fait en sorte de me faire dégager à partir de là ma réputation était faite, j'ai été balance de service en service durant 3 ans, à chaque fois j'ai eu le droit à du harcelement morale, des critiques assez violentes non sur mon travail mais sur ma personne, ma façon de m'habiller de me tenir.....

Donc j'ai essayé de tenir mais au fil du temps j'ai perdu toute notion de plaisir.

Puis mon dernier responsable a fait une tentative d'attouchement sexuel, je ne l'ai pas balance sur le moment, il ne l'a fait qu'une fois mais par la suite il m'a mis la pression par divers moyen.

J'ai fini par aller voir un rh début février, je lui ai raconté tout ce que j'avais subi durant ces 3 dernières années.

Une fois mon récit terminé, il m'a fait un grand sourire et il m'a annoncé qu'il savait tout, il a balayé dun revers de main le harcelement moral, l'attouchement ppur ne parler que du "mécontentement managarial"

Cest la que j'ai craqué, je suis sortie de la en pleurs, je tremblait, je suffoquant.....

Si mon compagnon ne m'avait pas forcé à me mettre en arrêt je pense que j'aurai fait en sorte d'avoir un accident de voiture ppur ne plus retourner là bas.

Depuis ça ne va plus.
 

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