AIDER MOI SVP!!

  • Auteur de la discussion Unepersonne
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cielbleu
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Bonjour
Je suis adulte et je connais ce problème d’automutilation... je le fais moi même.
Je sais comme toi que ce n’est pas bien mais c’est plus fort que soit.
Seuls ceux qui le font peuvent comprendre le mécanisme. Nous avons besoin de nous faire mal pour nous prouver que nous existons et pour faire taire les maux qui ne sortent pas par les mots.
Je ne sais pas comment t’aider autrement qu’en te disant que tu dois en parler ici ou ailleurs. Conditionnés toi en te disant que tu dois détourner tes pulsions en faisant autre chose au moment où tu as envie de le faire. Prends le temps de te demander pourquoi tu le fais et si cela est nécessaire.... puis prend le temps de faire autre chose en te disant je le ferai tout à l’heure... puis en te redisant tout à l’heure... parfois ça passe.
Va voir un psychologue, il va t’écouter, t’aider, t’accompagner... sinon viens écrire ici... on t’aidera un peu. Prends soin de toi! Solidairement
Ah mince !! Toi aussi ?
 
U
Unepersonne
Anonyme
Tu veux en parler ?..
Enfaite, c'est pas bien compliqué :
Hier elle devait me voir tout seul dans un premier temps puis après avec mon père comme ont l'avais fais avec ma mère au prochain rdv.
Ont se voit seul et je lui dit aussi tout ce que j'ai sur le cœur. Je lui parle des scarifications qui sont tout les jours ou presque, des idées noires (j'ai plus développé et j'ai assumé que c'était plus que de simples idées noires, mais une forte envie de me tuée avec un scénario), et j'ai parler des médocs(elle voulait faire venir une collègue mais elle était occupé). A se moment là elle avait l'air perplexe et un peu paumé, elle vas chercher mon père mais prend plus de temps, je l'entend passée dans plusieurs bureaux. Elle revient avec mon père qui s'assoit et elle dit "désolé je suis un peu perturbé par l'entretien que j'ai eu avec votre enfant ( oui elle a pas dit ça vu qu'on ne peux pas me considérer comme je veux ♂️)" d'un rire nerveux.
Elle parle un peu avec lui, lui demande ce qu'il sait de la situation, comment je suis avec lui...
Puis elle dit "il y a quand même des choses inquiétante, des idées noires qui sont plus que des idées noirs et un scénario, des scarifications" et puis elle me dit qu'elle est enfaite obligé dans cette situation de quasiment tout dire et lui fait part de ma prise de médocs qu'elle appelle un s*icide programmé...
Puis elle dit "je suis a deux doigts de vous dire d'aller aux urgences pour éviter le pire"
Elle me demande si moi je voudrai y aller et tout...
Ensuite sa collègue qui n'avait pas pu venir au début c'est rajouter pour parler avec nous. C'est une psychiatre (elle fait trop peur) et elles m'ont dit qu'elles pourront faire les entretiens avec moi toutes les deux afin de m'aider comme il se doit.
Le truc c'est que elle, la psychiatre, travail en pédiatrie et que je ne peux rien dire de "grave" sinon byebye...
Ducoup elles m'ont encore posé des questions, a côté de mon père ce qui m'as bien gêné...
Ma psychologue m'explique qu'elle voudrait me voir chaque semaine mais qu'elle a trop de rdv, sont emploi du temps est plein. Elle me dit quand même qu'ont ce voit (peut-être avec la psychiatre aussi) mardi prochain car ça l'inquiète, elle voulait même qu'on se voit se jeudi là ;-; .
Elles ont dit que je devais faire un bilan somatique chez le médecin jsp pourquoi.
Elles ont aussi dit que si mes parents s'inquiétent trop, de m'ammener aux urgences en pédiatrie.
Je sais pas quoi faire, plus le droit aux médocs je pense, la scarification par contre ça va, la psy quand elle parlait de ça a mon père elle utilisait le passé et il ne mont pas supprimer ce qu'il faut ou demander de leurs montré. Je crois par contre et c'était déjà le cas mais rester seul chez moi vas être a revoir, ils s'inquiétent trop pour me laisser comme ça a la maison des heures.
En soi j'aimerais aller aux urgences, je pense que c'est mieux pour moi mais bon...
J'ai l'impression que je ne peux rien dire a la psychiatre et a la psychologue, l'une travail en pédiatrie, l'autre veut que j'aille aux urgences et est perturbé par rapport à la scarification.

Elle m'as fait remarquer à moi et a mon père, que je parle de choses graves, mais toujours avec légèreté, avec un léger sourire et limite en rigolant...
Elle trouvait ça marrant et perturbant, mais ça a toujours été comme ça.
Au hand hier j'avais si peu mangé que j'avais un immense mal de ventre et des sueurs froides de malades donc je suis resté sur le côté. Mais mes attitudes et mes expressions faciales leurs faisaient croire que je jouais la comédie...
Bref merci a ceux qui liront ce pavé, désolé j'en avais besoin...
 
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Unepersonne
Anonyme
Ouahhh je viens de m'en rendre compte, c'est hyper long ce que j'ai écrit ;-;
 
Heiwa
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Hier elle devait me voir tout seul dans un premier temps puis après avec mon père comme ont l'avais fais avec ma mère au prochain rdv.
Ont se voit seul et je lui dit aussi tout ce que j'ai sur le cœur. Je lui parle des scarifications qui sont tout les jours ou presque, des idées noires (j'ai plus développé et j'ai assumé que c'était plus que de simples idées noires, mais une forte envie de me tuée avec un scénario), et j'ai parler des médocs(elle voulait faire venir une collègue mais elle était occupé). A se moment là elle avait l'air perplexe et un peu paumé, elle vas chercher mon père mais prend plus de temps, je l'entend passée dans plusieurs bureaux. Elle revient avec mon père qui s'assoit et elle dit "désolé je suis un peu perturbé par l'entretien que j'ai eu avec votre enfant ( oui elle a pas dit ça vu qu'on ne peux pas me considérer comme je veux ♂️)" d'un rire nerveux.
Elle parle un peu avec lui, lui demande ce qu'il sait de la situation, comment je suis avec lui...
Puis elle dit "il y a quand même des choses inquiétante, des idées noires qui sont plus que des idées noirs et un scénario, des scarifications" et puis elle me dit qu'elle est enfaite obligé dans cette situation de quasiment tout dire et lui fait part de ma prise de médocs qu'elle appelle un s*icide programmé...
Puis elle dit "je suis a deux doigts de vous dire d'aller aux urgences pour éviter le pire"
Elle me demande si moi je voudrai y aller et tout...
Ensuite sa collègue qui n'avait pas pu venir au début c'est rajouter pour parler avec nous. C'est une psychiatre (elle fait trop peur) et elles m'ont dit qu'elles pourront faire les entretiens avec moi toutes les deux afin de m'aider comme il se doit.
Le truc c'est que elle, la psychiatre, travail en pédiatrie et que je ne peux rien dire de "grave" sinon byebye...
Ducoup elles m'ont encore posé des questions, a côté de mon père ce qui m'as bien gêné...
Ma psychologue m'explique qu'elle voudrait me voir chaque semaine mais qu'elle a trop de rdv, sont emploi du temps est plein. Elle me dit quand même qu'ont ce voit (peut-être avec la psychiatre aussi) mardi prochain car ça l'inquiète, elle voulait même qu'on se voit se jeudi là ;-; .
Elles ont dit que je devais faire un bilan somatique chez le médecin jsp pourquoi.
Elles ont aussi dit que si mes parents s'inquiétent trop, de m'ammener aux urgences en pédiatrie.
Je sais pas quoi faire, plus le droit aux médocs je pense, la scarification par contre ça va, la psy quand elle parlait de ça a mon père elle utilisait le passé et il ne mont pas supprimer ce qu'il faut ou demander de leurs montré. Je crois par contre et c'était déjà le cas mais rester seul chez moi vas être a revoir, ils s'inquiétent trop pour me laisser comme ça a la maison des heures.
En soi j'aimerais aller aux urgences, je pense que c'est mieux pour moi mais bon...
J'ai l'impression que je ne peux rien dire a la psychiatre et a la psychologue, l'une travail en pédiatrie, l'autre veut que j'aille aux urgences et est perturbé par rapport à la scarification.

Elle m'as fait remarquer à moi et a mon père, que je parle de choses graves, mais toujours avec légèreté, avec un léger sourire et limite en rigolant...
Elle trouvait ça marrant et perturbant, mais ça a toujours été comme ça.
Au hand hier j'avais si peu mangé que j'avais un immense mal de ventre et des sueurs froides de malades donc je suis resté sur le côté. Mais mes attitudes et mes expressions faciales leurs faisaient croire que je jouais la comédie...
Bref merci a ceux qui liront ce pavé, désolé j'en avais besoin...
Je vois… c’est bien que tu leurs en ai parlé, je pense que c’était la chose à faire. Par rapport à l’hôpital, peut-être que ça serait bien que tu y ailles ?… Je veux dire, plein de médecin seront sur place en cas de problème. Il y auras sûrement un psychiatre ou un psychologue en pédiatrie.
Je… je suis désolée… je ne sais pas que dire de plus… si ce n’est que je te souhaite du courage.
 
U
Unepersonne
Anonyme
Je vois… c’est bien que tu leurs en ai parlé, je pense que c’était la chose à faire. Par rapport à l’hôpital, peut-être que ça serait bien que tu y ailles ?… Je veux dire, plein de médecin seront sur place en cas de problème. Il y auras sûrement un psychiatre ou un psychologue en pédiatrie.
Je… je suis désolée… je ne sais pas que dire de plus… si ce n’est que je te souhaite du courage.
Merci... Moi j'aimerais mais j'oserai pas leurs dire... Si j'y vais pas j'ai peur de faire une bétise...
 
A
aqwzsx
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Je vois… c’est bien que tu leurs en ai parlé, je pense que c’était la chose à faire. Par rapport à l’hôpital, peut-être que ça serait bien que tu y ailles ?… Je veux dire, plein de médecin seront sur place en cas de problème. Il y auras sûrement un psychiatre ou un psychologue en pédiatrie.
Je… je suis désolée… je ne sais pas que dire de plus… si ce n’est que je te souhaite du courage.
Tu as raison.
Quant à l'auteur du topic, tu ne te sacrifierais pas si tout allait bien dans ta vie. Il doit bien y avoir un problème quelque part, quelque chose qui te fait souffrir (ça peut être n'importe quoi, la peur de quelque chose, une relation toxique, etc). C'est à ce problème qu'il faut s'attaquer.
 
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Unepersonne
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Tu as raison.
Quant à l'auteur du topic, tu ne te sacrifierais pas si tout allait bien dans ta vie. Il doit bien y avoir un problème quelque part, quelque chose qui te fait souffrir (ça peut être n'importe quoi, la peur de quelque chose, une relation toxique, etc). C'est à ce problème qu'il faut s'attaquer.
Euhh tu parles a qui...?
Sorry je suis perdue ;-;
 
Heiwa
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Tu as raison.
Quant à l'auteur du topic, tu ne te sacrifierais pas si tout allait bien dans ta vie. Il doit bien y avoir un problème quelque part, quelque chose qui te fait souffrir (ça peut être n'importe quoi, la peur de quelque chose, une relation toxique, etc). C'est à ce problème qu'il faut s'attaquer.
Merci de cette remarque, en revanche, j’ai moi-même des soucis de mon cotés donc oui, je pense être bien placée pour savoir qu’il y a quelque chose qui le fait souffrir. Je ne souhaite pas parler davantage de moi, je tient juste à dire que je m’y connais un peu, niveau scarification, donc je comprends ce qu’il dit.
 
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Unepersonne
Anonyme
Merci de cette remarque, en revanche, j’ai moi-même des soucis de mon cotés donc oui, je pense être bien placée pour savoir qu’il y a quelque chose qui le fait souffrir.
Mais en vrai j'arrive pas vraiment a trouver quoi...
 
Heiwa
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Et ils vont me faire quoi là bas? M'enfermer dans une chambre avec les fenêtres cloués pour pas que je saute ?
Non, bien évidemment que non.
On est pas dans un film, c’est l’image que donnent ces derniers des hôpitaux, et c’est dommage…
Ça ne se passe pas comme ça…
 
Heiwa
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Alors comment ?
Les soignants vont simplement être très présent, tu verras un pédiatre le matin ou en fin d’après-midi, tu auras des visites d’infirmier plusieurs fois dans la journée, et la visite d’un psy/psychiatre… enfin, c’est la "routine" qu’il y avait les deux fois où j’ai été hospitalisée en pédiatrie… la 3eme fois ce n’était pas en pédiatrie donc ça n’a sûrement aucun rapport.
 
U
Unepersonne
Anonyme
Les soignants vont simplement être très présent, tu verras un pédiatre le matin ou en fin d’après-midi, tu auras des visites d’infirmier plusieurs fois dans la journée, et la visite d’un psy/psychiatre… enfin, c’est la "routine" qu’il y avait les deux fois où j’ai été hospitalisée en pédiatrie… la 3eme fois ce n’était pas en pédiatrie donc ça n’a sûrement aucun rapport.
Et maintenant, comment dire et a qui que je veux y aller...?
 

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