Je viens d'apprendre aujourd'hui, si j'ai bien compris ( faut que je réfléchissse sur ce que j'ai appris ), en cours de philo on travaille sur un texte qui dit a un moment qu'on ne peut aimer que si on a connu la souffrance, que c'est la souffrance qui amènerait donc à la conscience de l'autre comme notre égal et donc on serait plus capable de le comprendre et de l'aimer si on sait la souffrance qu'il a vécu pour l'avoir vécue ou compris aussi. ( ça explique donc aussi pourquoi ceux qui ont beaucoup souffert sont ceux qui ont le plus d'empathie et de sagesse, je pense notamment aux rescapés des camps nazis )
Je suis pas sûr d'avoir saisi l'entièreté des explications mais je reviendrai en faire part si j'ai des éclaircissements 🤔
( le texte est "L'Iliade ou le poème de la force" de Simone Weil [avec un W, c'est pas Veil mais c'est une femme tout aussi impressionnante dans ses engagements] )