Nous parlons souvent de l'amour.
Dans les films, celui qui dure pour toujours.
Aimer et être aimé.e en retour.
Mais pourquoi ne parlons-nous pas de la séparation ?
On en parle comme d'une malédiction.
On le cache, on le vit, on le redoute.
Et on doute.
Ce moment-là où on te quitte, que la personne que tu aimes change de route.
Elle s'éloigne.
Et toi, comme tu peux, tu te soignes.
Au début ça fait bizarre.
On y voit flou comme plongé dans un infini blizzard.
Et tu réalises.
Ton cœur te fait mal, comme un miroir il se brise.
Quand on plonge dans tes yeux, on y voit que le reflet de ton âme troublée.
Désorientée.
Un vide affreux se creuse à l'endroit où tu gardais l'être aimé.
Ta poitrine se fait lourde, dure à porter.
Respiration saccadée, pleurs au milieu d'une nuit d'été.
Sans jamais être aidé.e.
Tu essayes de tourner la page.
Ta vie est comme un livre, tu écris ton histoire mais pour l'instant tu essaies de ne pas te noyer dans le chagrin, alors tu nages.
Une partie de toi manque.
Tu te renfermes, tu te planques.
Tu te cherches, tu espères.
Tu te relèves doucement, tes poings se serrent.
Appuyé au mur du passé, tu dis au revoir, tu en as assez.
Les tourbillons de toi, de la personne aimée volent en éclats.
Tu as enfin su l'accepter.
Tu l'as laissée s'en aller.
Et toi, tu vas enfin sourire au futur, au présent et au passé.
Fin d'une petite tragédie de vie.
Dans les films, celui qui dure pour toujours.
Aimer et être aimé.e en retour.
Mais pourquoi ne parlons-nous pas de la séparation ?
On en parle comme d'une malédiction.
On le cache, on le vit, on le redoute.
Et on doute.
Ce moment-là où on te quitte, que la personne que tu aimes change de route.
Elle s'éloigne.
Et toi, comme tu peux, tu te soignes.
Au début ça fait bizarre.
On y voit flou comme plongé dans un infini blizzard.
Et tu réalises.
Ton cœur te fait mal, comme un miroir il se brise.
Quand on plonge dans tes yeux, on y voit que le reflet de ton âme troublée.
Désorientée.
Un vide affreux se creuse à l'endroit où tu gardais l'être aimé.
Ta poitrine se fait lourde, dure à porter.
Respiration saccadée, pleurs au milieu d'une nuit d'été.
Sans jamais être aidé.e.
Tu essayes de tourner la page.
Ta vie est comme un livre, tu écris ton histoire mais pour l'instant tu essaies de ne pas te noyer dans le chagrin, alors tu nages.
Une partie de toi manque.
Tu te renfermes, tu te planques.
Tu te cherches, tu espères.
Tu te relèves doucement, tes poings se serrent.
Appuyé au mur du passé, tu dis au revoir, tu en as assez.
Les tourbillons de toi, de la personne aimée volent en éclats.
Tu as enfin su l'accepter.
Tu l'as laissée s'en aller.
Et toi, tu vas enfin sourire au futur, au présent et au passé.
Fin d'une petite tragédie de vie.
