Elle vivait constamment dans la peur, incessante, derrière son masque de fleurs.
Elle sourirait, qu’importe les situations, traverser l’océan. Elle aurait aimé. Mais que vont-ils dire ? Que c’est un rêve, un rêve, rien qu’une idéologie, aux lèvres, un rire.
Un lys à la main, elle a du te le donner, un dernier adieu, un regard éteint.
Elle aurait voulu réagir, quand elle le pouvait,
te voir, lorsque tu marchais. Mais elle ne possédait plus cette défunte volonté.
Elle aurait voulu tant de choses, tant de choses impossibles.
Un sourire collait désespérément à son visage.
Qu’importe les ravages, la pluie, le vent, cette affiche ne tombera pas. Est-ce un mirage ?
Non, je connais bien cette expression, celle de quand tu sombres dans la rage.
Un acte irréparable, tu aurais pu commettre, malgré cela, ça ne t’as pas suffit, toujours plus, toujours plus de colère, elle était si vulnérable.
Elle avait peur de la violence, si peur, par les mots, les gestes, tout cela l’avait marquée. Mais elle a dû garder le silence. Une paix éphémère, ton visage si clair.
Une odeur, un meuble, un acte manqué, ainsi débutait les cris. Résonnant dans toute cette maison.
Elle se cachait, voulait tout oublier, plonger dans l’eau salée, nager, nager jusqu’à une île déserte.
Elle pourrait s’étendre sur le sable chaud, sentir les fines particules sous son corps frêle.
Elle se laisserait lentement allait au sommeil, bercée par ce doux soleil.
Les oiseaux racontaient que quelques heures après, elle aurait été submergée par les vagues, emportée par l’océan. Des larmes seraient coulées, puis furent effacées par les mouvements de l’eau.
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J’espère que ceci vous plaira, j’ai toujours un peu de mal avec ce genre d’écrit, ils sont souvent très personnels.
Elle sourirait, qu’importe les situations, traverser l’océan. Elle aurait aimé. Mais que vont-ils dire ? Que c’est un rêve, un rêve, rien qu’une idéologie, aux lèvres, un rire.
Un lys à la main, elle a du te le donner, un dernier adieu, un regard éteint.
Elle aurait voulu réagir, quand elle le pouvait,
te voir, lorsque tu marchais. Mais elle ne possédait plus cette défunte volonté.
Elle aurait voulu tant de choses, tant de choses impossibles.
Un sourire collait désespérément à son visage.
Qu’importe les ravages, la pluie, le vent, cette affiche ne tombera pas. Est-ce un mirage ?
Non, je connais bien cette expression, celle de quand tu sombres dans la rage.
Un acte irréparable, tu aurais pu commettre, malgré cela, ça ne t’as pas suffit, toujours plus, toujours plus de colère, elle était si vulnérable.
Elle avait peur de la violence, si peur, par les mots, les gestes, tout cela l’avait marquée. Mais elle a dû garder le silence. Une paix éphémère, ton visage si clair.
Une odeur, un meuble, un acte manqué, ainsi débutait les cris. Résonnant dans toute cette maison.
Elle se cachait, voulait tout oublier, plonger dans l’eau salée, nager, nager jusqu’à une île déserte.
Elle pourrait s’étendre sur le sable chaud, sentir les fines particules sous son corps frêle.
Elle se laisserait lentement allait au sommeil, bercée par ce doux soleil.
Les oiseaux racontaient que quelques heures après, elle aurait été submergée par les vagues, emportée par l’océan. Des larmes seraient coulées, puis furent effacées par les mouvements de l’eau.
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J’espère que ceci vous plaira, j’ai toujours un peu de mal avec ce genre d’écrit, ils sont souvent très personnels.