Bonjour voici la rédaction, que j'ai fait pour mon cour de Français. Je devais continuer l'histoire à partir du moment où ils ont finis de rembourser le prêt et créer une fin alternative.
Un jour, alors que les Loisel avaient avaient enfin fini de rembourser la somme qu'ils avaient emprunté, son mari Pierre, entra avec fracas dans leur maison, une pauvre mansarde qui ne tenait que de tuiles et de bois. Il lui annonça d'une voix joyeuse et excitée :
-" Mathilde, ma chère ! Fêtons-cela ! Fêtons-cela ! Finis tous ces mois de misère, tous ces mois, toutes ces années, à ne compter que nos maigres restes ! Finis tout ce temps à éclaircir la soupe ! Organisons une grande fête, avec tous nos amis !"
Cette annonce picotait l'esprit de Mathilde, amer et douce. Elle lui rappelait cette fameuse fête, le commencement de tout. Elle se rappelait l'écarquillement de ses yeux devant le miroir. Cette sensation de peau nue sous ses doigts, où, normalement, devait se tenir un bijoux brillant de mille feu. Elle se rappelait l'horreur dans le regard de son bien-aimée. Mais une autre partie d'elle, pleine d'espoir, voulait cette fête, voulait ce symbole de renouveau, ce départ plein de joie. Elle accepta donc, guidée par l'espoir. Peut être aurait elle du refuser, cela lui aurait évité une vie amer, pleine de ressentiments. Pierre s'occupait de tous les détails administratifs et techniques tandis que Mathilde rêvait. Elle s'occupa de ses cheveux, essayant de leur redonner leur grâce d'antan. Ses cheveux blonds, maintenant criblés de filaments gris avait perdue tout leur volume et ce malgré les horribles nœuds qui lui parcourait les cheveux. Sa peau avait pris une teinte grise, maladive, qui ne laissait pas penser à son ancien teint de porcelaine. Mathilde prit le coffret sous son lit, dedans se tenait une belle robe, grisée par la poussière. C'était cette tenue, la tenue du bal. Elle l'a prit délicatement, comme si c'était la chose la plus précieuse de l'univers. Son tissu, soyeux, contrastant fortement avec les loques qu'elle portait, rèches et rugueuses. Elle se rappela du passé, de tout ce que cette fête avait apporté. Mathilde se reprit vite, elle ne penserait pas aux choses passé tant que l'avenir continuait. Elle reposa la belle robe de soie dans sa prison de bois, et la repoussa sous le lit. Ils attendirent avec hâte la fête, l'énergie positive de son mari l'entrainait.
Ce fut le samedi d'après que la fête commença, de belles décorations, un beau buffet. Son mari était sobrement mais bien habillé. Elle s'appréta de la robe spéciale à son cœur, enlevant ses guenilles. Et c'est là qu'elle sentit, une sensation de froid. Le froid du métal contre son omoplate.
Elle bougea lentement presque au ralentit, les membres lourds. C'est là qu'elle le vit.
Des pierres scintillantes, un éclat doré.
Une structure sophistiqué.
Une douceur amer lui piqua la langue.
C'était la Parure.
Un jour, alors que les Loisel avaient avaient enfin fini de rembourser la somme qu'ils avaient emprunté, son mari Pierre, entra avec fracas dans leur maison, une pauvre mansarde qui ne tenait que de tuiles et de bois. Il lui annonça d'une voix joyeuse et excitée :
-" Mathilde, ma chère ! Fêtons-cela ! Fêtons-cela ! Finis tous ces mois de misère, tous ces mois, toutes ces années, à ne compter que nos maigres restes ! Finis tout ce temps à éclaircir la soupe ! Organisons une grande fête, avec tous nos amis !"
Cette annonce picotait l'esprit de Mathilde, amer et douce. Elle lui rappelait cette fameuse fête, le commencement de tout. Elle se rappelait l'écarquillement de ses yeux devant le miroir. Cette sensation de peau nue sous ses doigts, où, normalement, devait se tenir un bijoux brillant de mille feu. Elle se rappelait l'horreur dans le regard de son bien-aimée. Mais une autre partie d'elle, pleine d'espoir, voulait cette fête, voulait ce symbole de renouveau, ce départ plein de joie. Elle accepta donc, guidée par l'espoir. Peut être aurait elle du refuser, cela lui aurait évité une vie amer, pleine de ressentiments. Pierre s'occupait de tous les détails administratifs et techniques tandis que Mathilde rêvait. Elle s'occupa de ses cheveux, essayant de leur redonner leur grâce d'antan. Ses cheveux blonds, maintenant criblés de filaments gris avait perdue tout leur volume et ce malgré les horribles nœuds qui lui parcourait les cheveux. Sa peau avait pris une teinte grise, maladive, qui ne laissait pas penser à son ancien teint de porcelaine. Mathilde prit le coffret sous son lit, dedans se tenait une belle robe, grisée par la poussière. C'était cette tenue, la tenue du bal. Elle l'a prit délicatement, comme si c'était la chose la plus précieuse de l'univers. Son tissu, soyeux, contrastant fortement avec les loques qu'elle portait, rèches et rugueuses. Elle se rappela du passé, de tout ce que cette fête avait apporté. Mathilde se reprit vite, elle ne penserait pas aux choses passé tant que l'avenir continuait. Elle reposa la belle robe de soie dans sa prison de bois, et la repoussa sous le lit. Ils attendirent avec hâte la fête, l'énergie positive de son mari l'entrainait.
Ce fut le samedi d'après que la fête commença, de belles décorations, un beau buffet. Son mari était sobrement mais bien habillé. Elle s'appréta de la robe spéciale à son cœur, enlevant ses guenilles. Et c'est là qu'elle sentit, une sensation de froid. Le froid du métal contre son omoplate.
Elle bougea lentement presque au ralentit, les membres lourds. C'est là qu'elle le vit.
Des pierres scintillantes, un éclat doré.
Une structure sophistiqué.
Une douceur amer lui piqua la langue.
C'était la Parure.