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Précepte du bien
Le néant infiniment grand n'est mauvais que pour le mal. Car quand le mal n'existe pas pour les autres il n'est mauvais que pour lui-même. L'inexistence du mal n'est mauvaise que pour le mal. L'inexistence du mal c'est le bien. Alors le bien est infiniment grand.
Le bien nfiniment grand tenant pour vrai sa bonne infinité aussi en bonnes possibilités fait sa bonne foi que tout sauf le mal est bonnement possible.
Mis à part le mal, tout est susceptible d'exister en lui. Dont la bonne création, le bonne esprit en action, le bon souffle, la bonne énergie qui se cristalise en bonne matière. A la fois à l'image et fruit de sa bonne méditation imagination se mouvant à chaque instant selon sa bonne volonté.
L'omnipotence du bien infiniment grand ne se réalise qu'en bien.
Précepte du positif
Le néant infiniment grand n'est douloureux que pour la douleur. Car quand la douleur n'existe pas pour les autres elle n'est douloureuse que pour elle-même. L'inexistence de la douleur n'est douloureuse que pour la douleur. L'inexistence de la douleur c'est l'indolore. Alors l'indolore est infiniment grand.
L'indolore infiniment grand est composé d'une infinité de possibilité sans douleur donc chaque possibilité sans douleur est l'indolore infiniment grand.
L'indolore infiniment grand est infini en temps donc éternel il existe qu'il le veuille sans douleur ou non pas avec douleur, son existence n'est que volonté.
Alors l'on n'a que le choix comme par exemple quand on n'a que le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur c'est que l'on n'a pas que le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Ou quand on n'a que le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est que l'on n'a pas que le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.
Et cela est agir par évidence, c'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu. La perception du positif cause l'acte à conséquence positive et la perception du négatif cause l'acte à conséquence négative.
Ce qui n'est pas qu'avec douleur mais qui n'est pas que sans douleur est estimé négatif et ce qui n'est que sans douleur est estimé positif.
L'indolore infiniment grand est composé d'une infinité de possibilités négatives et d'une infinité de possibilités positives. L'indolore infiniment grand ne s'oppose que de positif et de négatif.
Autant de positif que de négatif additionnés s'annulent en une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore et que l'indolore est ce qui n'est pas qu'avec douleur puisqu'il n'est que sans douleur.
L'indolore infiniment grand est donc positif à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence positive et rendant positive chaque possibilité sans douleur puisque chaque possibilité sans douleur est une composante sans douleur de l'indolore infiniment grand.
Précepte de l'indolore
Le mot douleur est sans douleur et sert à définir sans douleur ce qui est douloureux.
Le mot indolore est sans douleur et sert à définir sans douleur ce qui est indolore soit sans douleur.
Le néant infiniment grand n'est douloureux que pour la douleur. Car quand la douleur n'existe pas pour les autres elle n'est douloureuse que pour elle-même. L'inexistence de la douleur n'est douloureuse que pour la douleur.
Chaque existence provient de sa propre inexistence. Car chaque existence n'existait pas avant d'exister puisque chaque existence a un début comme une fin. L'inexistence est involontaire car quand on n'existe pas on ne peut pas vouloir. Alors d'inexistence qui est involontaire à existence qui est aussi involontaire. Chaque existence s'est créée elle même involontairement.
Chaque existence est indépendante des autres puisque chacune provient de sa propre inexistence. Et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, sans ou avec douleur qui son existence est tout aussi indépendante puisque son existence provient de sa propre inexistence.
Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Alors chaque existence se crée elle même involontairement et a et est son assemblage involontaire interactif de différentes existences. Mise à part la douleur qui elle n'a pas d'assemblage.
Chaque existence ne crée que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec ou sans douleur avec l'assemblage involontaire interactif de différentes existences de son existence, d'autres que la sienne.
L'existence a un début comme une fin, et parcequ'elle a un début alors on n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.
Alors on n'a pas le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait le choix de la douleur c'est qu'on n'a pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même lorsqu'on a le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est qu'on n'a pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.
Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.
La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.
L'indolore est estimé indolore physiquement et mentalement. Mentalement c'est de se percevoir pour percevoir les zones sans douleur de son corps.
Et la douleur est estimée douloureuse physiquement et, ou mentalement.
Est opposé douleur et indolore.
Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.
L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.
Est opposé douleur estimée douloureuse et indolore estimé indolore qui sont perceptibles parce qu'on perçoit.
On perçoit car on agit par évidence, on agit par évidence car on n'a pas le choix puisque l'existence est involontaire. Puisqu'on n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister car l'existence a un début comme une fin.
L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.
Mise à part la douleur chaque existence s'est créée elle même et est susceptible de se percevoir, d'en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore.
Mais la douleur s'est aussi créée elle même et est susceptible d'être perçue causant l'acte à conséquence douloureuse à être perçue.
Alors la douleur est à ne pas être perçue et l'indolore est à se percevoir causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.
L'indolore est le dieu.
Il est éternel car il est dans l'existence et dans l'inexistence qui est au-delà du début et de la fin de chaque existence indolore qui provient de sa propre inexistence.
Mise à part la douleur chaque existence qui se crée elle-même à son début est indolore. Alors l'indolore est créateur et non pas créateur de tout donc aussi de la douleur.
L'indolore est omniprésent car il est à tous les endroits sans douleur en même temps.
L'indolore est omniscient car il sait toute chose en faisant la différence entre ce qui est avec douleur et ce qui est sans douleur pour savoir ce qui est sans douleur.
L'indolore est omnipotent car c'est lui qui permet lorsqu'on se sent sans douleur, d'agir sans douleur. Comme l'indolore qui interagit avec tout sans douleur et non pas créateur de tout donc aussi de la douleur.
Les fidèles de la douleur sont ceux qui lorsqu'ils perçoivent la douleur susceptible d'être perçue la causent en premier car ils ne se satisfont pas des zones sans douleur de leur corps quand ils perçoivent la douleur susceptible d'être perçue. Alors la douleur se retournera contre ses fidèles et les récompensera par elle-même par la conséquence de leurs actes qui ne seront douloureuses que pour eux même. Tandis que les fidèles de l'indolore seront récompensés par leurs actes par l'indolore.
L'indolore comme celui perçu par les zones sans douleur du corps va, par l'énergie qui circule sans douleur, vers les fidèles de l'indolore. L'indolore empêche d'être un fidèle de la douleur, et l'indolore protège contre les fidèles de la douleur.