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J'ai supprimée mon ancienne conversation et les anciennes que je pouvais retirer moi-même, non pas par plaisir, mais plutôt car ça ne servait à rien de continuer l'ancienne alors que visiblement je ne représente vraiment plus rien pour C ... Du coup, j'ouvre celle-ci pour continuer de parler à mes ami(e)s que je me suis fait ici.
Je ne parlerais que principalement de mon état de santé, et des petites choses du quotidien.
Hier soir je me suis encore endormie entre la douleur et l'essoufflement, et aujourd'hui j'ai encore des petites crises de pointe de fortes douleur au coeur... Donc je dois m'arrêter sur le palier pour la calmer, j'ai hâte d'être le 12 pour savoir quoi, même si ce sera en ville et que ma mère va m'accompagner... Je ne pourrais donc pas parler librement au cardio, car impossible de tout lui dire devant ma mère...
Ces crises me coincent contre mon gré ici, enfermée entre ces 4 murs... Et à part mon père, tout le monde semble prendre mes crises à la légère et quand je leur en parle, j'ai l'impression que je dérange "qu'est-ce que tu veux que je fasse?" ou encore "tu verras chez le cardio" genre "tais-toi et mords sur ta chique" sont les réponses perpétuelles de mon entourage... Et pire que tout, je n'ai pas su continuer d'écrire mes crises dans mon carnet car d'après ma mère "ça sert à rien, de toute façon il regardera pas ton carnet"... Genre, elle s'en fou de mon état... ça me tue, mais c'est pourtant évident qu'elle ne m'aimera jamais, du moins pas comme elle aime les autres...
La solitude et la tristesse, mêlées à un sentiment d'incompréhension font désormais partis de mon quotidien... Quant au peu d'espoir et de joie qu'il restait dans mon coeur, ils ont disparu...
Et pourtant, malgré ces malheurs, j'ai de la chance, la chance de vous avoir les amis auprès de moi ici. C'est mon seul refuge, le seul endroit où je peux être moi sans me sentir incomprise et sans ce sentiment de "déranger"... Alors, pour votre soutient, je tenais encore une fois à vous dire "merci les ami(e)s, si je tiens le coup c'est grâce à vous qui ne me lâchez pas". 😘
Je ne parlerais que principalement de mon état de santé, et des petites choses du quotidien.
Hier soir je me suis encore endormie entre la douleur et l'essoufflement, et aujourd'hui j'ai encore des petites crises de pointe de fortes douleur au coeur... Donc je dois m'arrêter sur le palier pour la calmer, j'ai hâte d'être le 12 pour savoir quoi, même si ce sera en ville et que ma mère va m'accompagner... Je ne pourrais donc pas parler librement au cardio, car impossible de tout lui dire devant ma mère...
Ces crises me coincent contre mon gré ici, enfermée entre ces 4 murs... Et à part mon père, tout le monde semble prendre mes crises à la légère et quand je leur en parle, j'ai l'impression que je dérange "qu'est-ce que tu veux que je fasse?" ou encore "tu verras chez le cardio" genre "tais-toi et mords sur ta chique" sont les réponses perpétuelles de mon entourage... Et pire que tout, je n'ai pas su continuer d'écrire mes crises dans mon carnet car d'après ma mère "ça sert à rien, de toute façon il regardera pas ton carnet"... Genre, elle s'en fou de mon état... ça me tue, mais c'est pourtant évident qu'elle ne m'aimera jamais, du moins pas comme elle aime les autres...
La solitude et la tristesse, mêlées à un sentiment d'incompréhension font désormais partis de mon quotidien... Quant au peu d'espoir et de joie qu'il restait dans mon coeur, ils ont disparu...
Et pourtant, malgré ces malheurs, j'ai de la chance, la chance de vous avoir les amis auprès de moi ici. C'est mon seul refuge, le seul endroit où je peux être moi sans me sentir incomprise et sans ce sentiment de "déranger"... Alors, pour votre soutient, je tenais encore une fois à vous dire "merci les ami(e)s, si je tiens le coup c'est grâce à vous qui ne me lâchez pas". 😘