Plus en phase : Problème relation

  • Auteur de la discussion Clémentine_65
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Bonjour

Le plus facile. Quelques livres.
Je ne sais rien de tes goûts. Donc aucun de souci s'ils ne t'inspirent pas :)

Nos étoiles contraires de John Green
Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.

Gatsby le magnifique - Francis Scott Fitzgerald
Nous sommes au lendemain de la Grande Guerre, le mal du siècle envahit les âmes. C'est l'époque de la Prohibition et des fortunes rapides. En 1922, Jay Gatz, désormais Gatsby, se retrouve fabuleusement riche. Mille légendes courent sur son compte, qui n'empêchent pas les gens chics - et moins chics - de venir en troupe boire ses cocktails et danser sur ses pelouses. Gatsby le Magnifique joue la carte des folles dépenses pour éblouir Daisy, mariée à Tom Buchanan, un héritier millionnaire. Le jour où l'espoir de conquérir sa bien-aimée s'évanouit, la fête prend fin brutalement...

Michel Tournier - le miroir aux idées
Il faut deux jambes pour marcher, et pour bien saisir on se sert des deux mains. Cette évidence a été le point de départ de ce petit traité où les idées s'éclairent en s'opposant deux à deux. La femme sert de révélateur à l'homme, la lune nous dit ce qu'elle est en plein soleil, la cuiller manifeste sa douceur maternelle grâce à la fourchette, l'encolure du taureau est mise en évidence par la croupe du cheval, etc..
L'autre principe de ce livre, c'est que la pensée fonctionne à l'aide de concepts clés qui sont en nombre fini. C'est ce que les philosophent appellent des catégories. Aristote en comptait dix, Leibniz six, Kant douze. Les définir et les analyser, c'est mettre à plat les pièces de la machine cérébrale.
En élargissant sa "table des catégories" à cent concepts, l'auteur a manifesté sa modestie spéculative et son souci d'embrasser la plus grande richesse concrète possible.

Le passe muraille - Marcel Aymé
Il y avait à Montmartre, au troisième étage du 75bis de la rue d'Orchampt, un excellent homme nommé Dutilleul qui possédait le don singulier de passer à travers les murs sans en être incommodé. Il portait un binocle, une petite barbiche noire et il était employé de troisième classe au ministère de l'Enregistrement. En hiver, il se rendait à son bureau par l'autobus, et, à la belle saison, il faisait le trajet à pied, sous son chapeau melon. Dutilleul venait d'entrer dans sa quarante-troisième année lorsqu'il eut la révélation de son pouvoir.
C'est un recueil de 10 nouvelles:
"Le passe-muraille" : un homme parvient à passer à travers les murs.
"Les Sabines": une femme se multiplie autant de fois qu'elle le souhaite et a autant d'amants que de multiplications d'elle-même.
"La carte": le gouvernement crée des cartes de temps et tickets de vie. Les personnes inutiles n'ont pas le droit de vivre plus que quinze jours par mois ; à la fin du quinzième jour, elles disparaissent du monde pour ne réapparaître que le premier jour du mois suivant. Un marché noir s'installe, les riches achètent des tickets de vie aux pauvres, certains vivent jusqu'à soixante jours par mois.
"Le décret": un saut dans le temps est décrété pour en finir avec la guerre, le temps avance donc de dix-sept années.
"Le proverbe": un père tyrannique en a assez que son fils soit dernier de la classe et que son collègue se moque de lui parce que son propre fils est premier de la classe ; le père aide donc son fils à faire son devoir.
"Légende poldève": une femme ayant dévoué sa vie à la religion et à l'aide de son prochain meurt mais se retrouve quand même sur liste d'attente au paradis.
"Le percepteur d'épouses": des maris doivent payer leurs impôts avec leur femme.
"Les bottes de sept lieues": une paire de bottes magiques permet à un écolier de sortir de la misère.
"L'huissier": un huissier doit retourner sur terre pour accomplir de bonnes actions auprès des pauvres afin d'accéder au paradis.
"En attendant": devant une épicerie, quatorze personnes évoquent chacune leur vie difficile pendant la guerre.

Tiens nous au courant si tu peux :)
 
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J'ai déja remit a sa place ma sœur mais le souci est que quand je le fais elle se vexe et ma mere l'a défend. Je n'ai pas le "droit" de me defendre par contre elle elle peut dire ce qu'elle veut. Ma mere se plie completement a elle.

Et j'ai deja essayé, avec de la repartie, je dis que ça sent mauvais elle me sort "ton nez est trop prêt de ta bouche" donc je lui dit "et toi ton cerveau est trop loin de ta tête" elle se vexe.
Ou alors quand elle sort des choses déplacé que je n'ai jamais dit "tu m'avais demandé comment on faisait une fellation" devant tous le monde, je lui dit que non j'ai jamais demandé ca, elle se vexe.
Et ma mere rapplique.

Bref. Elle est en competition constament contre moi pour bien se faire voir quand il y a des gens ou dès que je fais un calin a ma mere dit "et moi" elle a 27 ans il y a un moment donné il faut qu'elle grandisse.
Et j'en ai un peu marre que tous le monde se plie a elle. Depuis que je suis petite elle a une jalousie maladive envers moi par rapport a ma mere surtout. dès que j'etais filmé bébé elle se mettait devant la camera en disant "et moi regarder moi"

Voila pourquoi je ne dis rien du tout quand je suis avec ma mere ma soeur je parle juste avec son copain car il est adorable, les deux me dégoûte un peu. Elle se vente d'être en biologie, a besoin de se sentir superieur a moi et de m'écraser. Comme si j'etais une raté alors qu'en attendant moi je ne galere pas dans mon travail et que j'adore ce que je fais. Je ne viens pas étaler mes connaissance pour me sentir superieur ou ecraser l'autre. Ce qui est le fétiche de ma soeur et pas qu'envers moi.
On doit jouer celon ses regles aux jeux, je la haïs en réalité mais je fais semblant pour ne pas être seule et parce que j'ai secrètement envie de me venger.

"Ton cerveau est trop loin de ta tête" mdrr ! Excellente répartie :)
Tel que je vois les choses, si tu n'es pas l'agresseur et qu'on vient t’embêter tu as le droit de te défendre, surtout que ce n'est que de la répartie. Tu ne "tabasses" personne.
Un jour, ta maman devrait t'expliquer calmement sa vision de ce qui est juste, Trouve t elle normal que sa cadette se fasse harceler par son aînée, qu'elle ne fasse rien pour tenter de calmer et qu'en plus elle te prive de ta défense ?
Ce n'est pas son amour pour toi qui est en question, c'est plutôt sa capacité à comprendre ce que tu vis. J'appelle ça de la "myopie parentale", c'est très fréquent :)
Comme on ne peut pas remodeler les gens, tu devras faire avec, pendant quelques temps encore, je crois. Pas de haine, aucune vengeance stp. Ces sentiments sont toxiques. Aucune réaction physique, juste de la fermeté et du calme quand tu exprimes ton point de vue avec elles (ce n'est pas facile tous les jours).
Si ça marche n'attends pas une réaction immédiate de leur part. Il faut leur laisser un peu de temps pou changer de comportement.
Et si ça ne marche pas, prends juste un peu de distance. assez pour que ce soit à peine perceptible. Il ne s'agit pas de devenir odieuse, ou de bouder.
Pendant qu'elles sont occupées à te "rabaisser" toi tu soignes tes troubles, tu trouves de nouvelles amies, peut-être un nouveau copain, et tu progresses dans ta vie.

Un poème pour toi : Invictus - William Ernest Henley

Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Noires comme un puits où l’on se noie,
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,
Pour mon âme invincible et fière.

Dans de cruelles circonstances,
Je n’ai ni gémi ni pleuré,
Meurtri par cette existence,
Je suis debout bien que blessé.

En ce lieu de colère et de pleurs,
Se profile l’ombre de la mort,
Je ne sais ce que me réserve le sort,
Mais je suis et je resterai sans peur.

Aussi étroit soit le chemin,
Nombreux les châtiments infâmes,
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.


Sois le capitaine de ton âme :)
Bon courage
 
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je ne peux pas trop en dire, car cela permettrait à mon anonymat de s'annihiler, mais je crée des univers complet en 3D des arbres au bâtiment jusqu'à la robotique. Je fais du réalisme donc cela passe par une étude minusieuse de chaque ornement, poutre, construction, squelette de l'architecture en question. Ensuite je fais un mixe avec mon imagination. Je ne suis qu'en étude mais a l'avenir j'aimerais monter ma boite et m'associer peut-être car j'estime que le client sent tout de suite quand on prend du temps pour réaliser au mieux ce qu'il veut. Je m'inspire de vrai personnes ou d'injustice que j'integre a ces univers pour que les visionnage ait un sens humain pour les gens.
Je vais tres loin dans mes recherches c'est un peu ce qui me démarque.
Je fais d'autres chose mais disons que j'attends de sortir de l'ecole pour me mettre en avant sur un plus large publique par stratégie. La plupart de mes collègue se foutent de faire du bon travail, en oubliant que c'est ce dernier qui à un impact sur la société et les gens.
Et qu'en tant que createur on peut motiver les gens dans nos histoires, on dirige un peu leurs etats emotionnels donc autant leur montrer quelque chose de puissant qui va les marquer et aura un impact dans leur cheminement.

Et je vous remercie de votre authenticité !
Bravo à toi.
J'aime bien ta manière de concevoir ton métier (stage).
Bien faire ce que l'on fait. Faire de son mieux
Ca paye toujours :)
 
C
Clementine
Anonyme
Wow Bonsoir je réponds bien tardivement, il y a beaucoup de message je vais faire de mon mieux.

J'aime beaucoup les trillers, les intrigues, les livres qui élaborent une réflexion sur la vie ou dont l'histoire est utile à notre vie humaine.
 
C
Clementine
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Bonjour

Le plus facile. Quelques livres.
Je ne sais rien de tes goûts. Donc aucun de souci s'ils ne t'inspirent pas :)

Nos étoiles contraires de John Green
Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.

Gatsby le magnifique - Francis Scott Fitzgerald
Nous sommes au lendemain de la Grande Guerre, le mal du siècle envahit les âmes. C'est l'époque de la Prohibition et des fortunes rapides. En 1922, Jay Gatz, désormais Gatsby, se retrouve fabuleusement riche. Mille légendes courent sur son compte, qui n'empêchent pas les gens chics - et moins chics - de venir en troupe boire ses cocktails et danser sur ses pelouses. Gatsby le Magnifique joue la carte des folles dépenses pour éblouir Daisy, mariée à Tom Buchanan, un héritier millionnaire. Le jour où l'espoir de conquérir sa bien-aimée s'évanouit, la fête prend fin brutalement...

Michel Tournier - le miroir aux idées
Il faut deux jambes pour marcher, et pour bien saisir on se sert des deux mains. Cette évidence a été le point de départ de ce petit traité où les idées s'éclairent en s'opposant deux à deux. La femme sert de révélateur à l'homme, la lune nous dit ce qu'elle est en plein soleil, la cuiller manifeste sa douceur maternelle grâce à la fourchette, l'encolure du taureau est mise en évidence par la croupe du cheval, etc..
L'autre principe de ce livre, c'est que la pensée fonctionne à l'aide de concepts clés qui sont en nombre fini. C'est ce que les philosophent appellent des catégories. Aristote en comptait dix, Leibniz six, Kant douze. Les définir et les analyser, c'est mettre à plat les pièces de la machine cérébrale.
En élargissant sa "table des catégories" à cent concepts, l'auteur a manifesté sa modestie spéculative et son souci d'embrasser la plus grande richesse concrète possible.

Le passe muraille - Marcel Aymé
Il y avait à Montmartre, au troisième étage du 75bis de la rue d'Orchampt, un excellent homme nommé Dutilleul qui possédait le don singulier de passer à travers les murs sans en être incommodé. Il portait un binocle, une petite barbiche noire et il était employé de troisième classe au ministère de l'Enregistrement. En hiver, il se rendait à son bureau par l'autobus, et, à la belle saison, il faisait le trajet à pied, sous son chapeau melon. Dutilleul venait d'entrer dans sa quarante-troisième année lorsqu'il eut la révélation de son pouvoir.
C'est un recueil de 10 nouvelles:
"Le passe-muraille" : un homme parvient à passer à travers les murs.
"Les Sabines": une femme se multiplie autant de fois qu'elle le souhaite et a autant d'amants que de multiplications d'elle-même.
"La carte": le gouvernement crée des cartes de temps et tickets de vie. Les personnes inutiles n'ont pas le droit de vivre plus que quinze jours par mois ; à la fin du quinzième jour, elles disparaissent du monde pour ne réapparaître que le premier jour du mois suivant. Un marché noir s'installe, les riches achètent des tickets de vie aux pauvres, certains vivent jusqu'à soixante jours par mois.
"Le décret": un saut dans le temps est décrété pour en finir avec la guerre, le temps avance donc de dix-sept années.
"Le proverbe": un père tyrannique en a assez que son fils soit dernier de la classe et que son collègue se moque de lui parce que son propre fils est premier de la classe ; le père aide donc son fils à faire son devoir.
"Légende poldève": une femme ayant dévoué sa vie à la religion et à l'aide de son prochain meurt mais se retrouve quand même sur liste d'attente au paradis.
"Le percepteur d'épouses": des maris doivent payer leurs impôts avec leur femme.
"Les bottes de sept lieues": une paire de bottes magiques permet à un écolier de sortir de la misère.
"L'huissier": un huissier doit retourner sur terre pour accomplir de bonnes actions auprès des pauvres afin d'accéder au paradis.
"En attendant": devant une épicerie, quatorze personnes évoquent chacune leur vie difficile pendant la guerre.

Bonsoir, ca à l'air super intéressent, surtout le concept de la religieuse qui se voit devoir attendre sa place au paradis... je vais aller regarder tout ceci !
 

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