Redditions, désertions, refus d’aller au feu : rien ne va plus pour l’armée de Zelensky
Le 7 juillet 2022, Poutine a déclaré : « Les Occidentaux veulent nous vaincre sur le champ de bataille. Que dire ? Qu’ils essaient ! »
À la place des grandes gueules occidentales, genre Boris Johnson et autres va-t-en-guerre irresponsables, j’éviterais de fanfaronner et de prendre Poutine pour un demeuré.
Redditions, désertions, refus d’aller au combat, rien ne va plus pour l’armée de Zelensky, qui devait soi-disant bouter hors d’Ukraine l’armée de Poutine, jugée au-dessous de tout par des Occidentaux incompétents, qui ont oublié qu’ils ont perdu toutes leurs guerres depuis 1945. À Washington, on ne doute de rien.
Les dernières nouvelles du front.
Les fins stratèges occidentaux qui pensaient, à tort comme toujours, que les forces russes avaient besoin de se ressourcer après les durs combats de Severodonetsk et Lysychansk, n’avaient pas prévu que Poutine allait, bien au contraire, battre le fer pendant qu’il est chaud et demander à ses généraux d’accélérer l’offensive pour libérer la république de Donetsk après celle de Lougansk.
Pas question de laisser l’armée ukrainienne, épuisée et en pleine déroute après deux défaites majeures, reconstruire ses lignes de défense plus à l’ouest.
Littéralement hachée par l’artillerie russe, l’armée ukrainienne a vu fondre ses meilleures troupes et fait appel à des réservistes peu combatifs pour combler les rangs des unités ayant perdu 60 à 80% de leurs effectifs.
En quelques jours, ce sont plus de 10 000 soldats ukrainiens qui ont été tués, blessés, capturés ou qui ont disparu. Des centaines de matériels et d’équipements lourds ont été abandonnés dans la fuite désordonnée.
« Aujourd’hui, on apprend que dans le secteur de Soledar, suite aux attaques aériennes russes, les pertes de la 24e brigade mécanisée s’élèvent au total à 2500 hommes, ce qui représente 60% de l’effectif initial engagé. La 79e brigade d’assaut aéroportée a, quant elle, vu ses pertes dépasser les 80% de son effectif initial. Dans les deux cas, ces deux brigades ne sont plus en mesure de combattre comme unité constituée. »
« Plus au sud, près de Bakhmut, les attaques aériennes russes ont également causé des pertes significatives aux 14e et 72e brigades, ainsi qu’à la prestigieuse 10e brigade d’assaut en montagne. Plus de 350 hommes ont été tués ainsi que 20 véhicules blindés. Face à cette situation, les soldats de la 80e brigade d’assaut aéroportée ont refusé de monter en ligne et beaucoup ont déserté. »
Refus de monter au front et désertions, tel est l’état véritable de cette armée ukrainienne, censée, selon le narratif occidental, mener cet été une puissante contre-attaque pour reprendre le Donbass et la Crimée. C’est mal parti ! Il n’y aura bientôt plus assez de soldats ukrainiens pour mettre en œuvre les armes occidentales.
Mais certains n’ont toujours pas compris que Poutine ne s’est pas lancé dans cette guerre la fleur au fusil et sans munitions. Aucune armée au monde ne possède une telle artillerie.
Les Américains, qui ont perdu toutes leurs guerres, des conflits asymétriques pourtant menés contre des va-nu-pieds démunis de tout, sont en train de recevoir une leçon magistrale de la part des officiers russes.
Ils ne sont pas les seuls à apprendre, d’ailleurs. Première guerre de haute intensité depuis 1945, le conflit russo-ukrainien est des plus instructifs. Tout le monde en prend de la graine. La France, qui découvre qu’elle n’a que trois jours de munitions, la Chine qui n’a aucune expérience de la guerre, l’Europe qui réalise qu’elle a des budgets défense squelettiques.
L’armée de ploucs restée à l’ère soviétique, dépassée et si mal commandée, comme annoncé en mars 2022 par nos brillants experts, se révèle être une redoutable machine de guerre, avançant jour après jour conformément aux plans initiaux. Jusqu’où ira cette armée russe ? Seul Poutine le sait.
Mais annexer un arc allant de Kharkov jusqu’à la Transnistrie calmerait les va-t-en-guerre de l’OTAN, qui n’ont cessé de mépriser l’armée russe et d’attiser les braises sur le dos du peuple ukrainien. Le pire de la bande anti-Poutine aura été Boris Johnson, plus hargneux et jusqu’au-boutiste que jamais. Son éviction est la bienvenue.
Poutine ne laissant aucun répit à une armée ukrainienne à bout de souffle, celle-ci n’est pas loin de l’effondrement total. La guerre ne durera pas des années, comme annoncé par certains illuminés, qui refusent d’admettre les réalités du terrain. L’OTAN braille beaucoup mais a peur de Poutine.
Sinon, il y a longtemps que Washington aurait envoyé ses légions en Ukraine.
Et ce ne sont pas les promesses d’armes magiques, ni la propagande odieusement mensongère, qui renverseront la situation.
Poutine a d’ores et déjà gagné sa guerre et il faudra bien que les Occidentaux, Anglo-Saxons en tête, se plient à cette réalité. Jamais Poutine ne cédera un pouce des territoires conquis.
Tout le complexe militaro-industriel ukrainien est détruit et les pertes humaines sont colossales, bien supérieures à celles des Russes.
Et ceux qui hurlent au dépeçage de l’Ukraine devraient se souvenir de la malheureuse Serbie amputée du Kosovo par la seule volonté de Washington.
À l’époque, en 2008, l’armée russe n’était pas encore en état de défendre son allié serbe et les protestations de Poutine se sont heurtées au refus méprisant des Américains. Mais la roue tourne et l’ours russe entend bien présenter la facture.
La Crimée et le Donbass passés aux mains des Russes, ce n’est que le juste retour du boomerang, après l’inique indépendance du Kosovo, imposée à la Serbie au mépris du droit international.
Et rien n’empêchera Poutine de défendre son pays et son peuple face à l’agressivité de l’OTAN, qui s’est élargie à l’Est de 16 à 30 nations depuis la dissolution du Pacte de Varsovie.
À trop tirer sur la corde et à trop mépriser la Russie, la corde a fini par casser. Vraiment pas de quoi s’en étonner.
Et il faudra bien expliquer un jour au peuple ukrainien, chair à canon de l’OTAN, pourquoi on lui a promis la victoire alors qu’il aura perdu 25% de son territoire et peut-être même tout accès à la mer Noire.
Ce jour-là, le Churchill ukrainien et les criminels occidentaux qui ont trompé les Ukrainiens et leurs propres peuples auront droit au podium de l’ignominie.