Désolée de vous énerver avec mes poème, je sais qu’ils ne sont pas très travaillés, mais bon…
La nuit infinie…
Nuit noire, couleurs de mon esprit.
Brisé, piétiné, j’ai aidé et pardonné…
En retour ? Un cœur qui saigne.
Cicatrices et plaies infligées à moi même.
Une vie insouciante…ce serait tentant…
Mais irréalisable.
La nuit est calme ce soir, il n’y a plus d’étoiles.
Il n’y a plus d’espoir. Tristesse et solitude sont mes seules alliés.
Les seuls qui me restent, que je ne désire pourtant pas.
"Je suis désolée"… Je croyais que les blessures que les blessures guérissent avec le temps…Ce n’est apparemment qu’une utopie.
Oh espoir ! Tu m’as quitté…comme tout le monde.
Condamnée à la solitude.
Plus de sollicitude…
Tant de promesses, jamais tenus.
Avec naïveté,
Je vous croyais…Mais vous m’avais laissé.
La nuit persiste, le soleil ne se lèvera plus.
Il pleut dans mon cœur…tant de sentiments.
Abandonnée à moi-même, je ne me reconnais plus…
Où est passé l’ancien moi ? Parti, comme toujours…
Le soleil s’est volatilisé…
Je me dégoûte…
Ma joie s’en va goutte à goutte.
Fleurs fanées, comme cette vie.
Vide…et sans motivation.
Idée sombres et troublantes régneront…comme la nuit infinie.
La nuit infinie…
Nuit noire, couleurs de mon esprit.
Brisé, piétiné, j’ai aidé et pardonné…
En retour ? Un cœur qui saigne.
Cicatrices et plaies infligées à moi même.
Une vie insouciante…ce serait tentant…
Mais irréalisable.
La nuit est calme ce soir, il n’y a plus d’étoiles.
Il n’y a plus d’espoir. Tristesse et solitude sont mes seules alliés.
Les seuls qui me restent, que je ne désire pourtant pas.
"Je suis désolée"… Je croyais que les blessures que les blessures guérissent avec le temps…Ce n’est apparemment qu’une utopie.
Oh espoir ! Tu m’as quitté…comme tout le monde.
Condamnée à la solitude.
Plus de sollicitude…
Tant de promesses, jamais tenus.
Avec naïveté,
Je vous croyais…Mais vous m’avais laissé.
La nuit persiste, le soleil ne se lèvera plus.
Il pleut dans mon cœur…tant de sentiments.
Abandonnée à moi-même, je ne me reconnais plus…
Où est passé l’ancien moi ? Parti, comme toujours…
Le soleil s’est volatilisé…
Je me dégoûte…
Ma joie s’en va goutte à goutte.
Fleurs fanées, comme cette vie.
Vide…et sans motivation.
Idée sombres et troublantes régneront…comme la nuit infinie.