Helloooooo,
Comment ça va?
Je vous préviens : ce topic va parler de mon histoire, mes traumas, troubles mentaux, mon parcours quoi donc TW.
Ensuite, interdit aux critiques surtout sur un sujet comme celui ci, je me sens déjà assez pas légitime pour m'en prendre.
Alors:
Déjà, la grossesse de ma mère s'est passé bof bof: anxiété++ quand elle a appris que j'étais une fille, car elle avait très peur que je subisse ce qu'elle a subit étant enfant, elle a même développer une paralysie faciale.
Ce qui a, évidemment eu un impact sur moi.
Petite, j'ai été surprotégée, et j'avais le package hypersensibilité+ traumas transgenerationelles (qui se transmettent de génération en génération, en gros j'ai tout les symptômes de traumas d'ordre sexuels et d'abandon sans les avoir vécu directement).
Aucun souvenir de mes premières années de vie mais a 5 ans, premier petit trauma: une fille me tire les cheveux pour me mettre a terre, et me marche volontairement a plusieurs reprises et violemment sur le ventre. Puis trou noir, je ne connais pas la suite (il y a eu des témoins).
Mais bon, ce n'es que le début d'une longue série.
A 6 ans quand j'étais en CP, un CM2 m'a collé contre un grillage et ma étranglée en me menaçant de me défoncé.
Comme je suis hypersensible, je me prenais des remarques d'adultes et de camarades qui me faisait pleurer automatiquement, a m'en mettre dans des états pas possible.
J'ai aussi une petite partie de mon enfance été confronté aux problèmes de dos de mon papa, qui allait régulièrement a l'hôpital. Sauf que pour moi, hôpital= mort, donc je pensais que mon papa allait y passer.
En CE2, le père de ma meilleure amie meurs d'un cancer des poumons, sauf que j'y étais très attaché donc j'ai pas mal pleurer.
Cette même meilleure amie m'a clairement lâché en CM1, au même moment où je me faisais harcelé :
Tout les jours pendant deux ans, des coups, des menaces, des rumeurs qui me suivent encore maintenant, des moqueries, des bousculades, des insultes etc... Sauf que pendant cette période j'avais beau ne pas être la plus heureuse, je voulais leurs montrer que j'étais au dessus de ça donc je n'ai pas loupé les cours.
Les adultes ne me croyaient pas, car pour eux j'étais juste une fouteuse de m*rde qui aimait s'embrouiller.
C'était un groupe de 7 filles contre moi, et parfois ma meilleure amie qui me soutenait.
Vers cette période, mon cousin de deux ans de moin que moi tente de mabuser: exhibition, menace, il monte dans mon lit etc.
Entrée au collège : la 6e a été ma meilleure année, même si j'avais des symptômes post traumatique qui me pourrissaient la vie (cauchemars, flashbacks, réflex de peur etc).
En 5 e, début des vraies problèmes, je me refais harcelé (moin sévère) et Je perd en 3-4 mois trois membres de ma famille, d'un cancer (il a survécu a 5 Cancers mon gerrier 🕊️) pour mon grand oncle, d'un AVC pour ma grand mère, et de vieillesse pour mon arrière grand-mère.
En octobre 2022 je commence a me sacrifier.
Le collège fini par prévenir ma mère de mon état puis mon état s'empire : je commence a voir une psychologue en mars 2023, en juillet je fais une TS en Grèce qui me mène a l'hôpital (ou on m'a donné du charbon+ on m'a passé une sorte de sonde dans le nez pour récupérer les cachets car ils avaient compris pilules). Je suis hospitalisée en psychiatrie enfanto juvénile août 2023 avec que des gens beaucoup plus âgés, et c'est là que j'ai fumé pour la première fois, et que j'ai vécu un petit trauma: j'ai vu une fille tenté de se pendre sous mes yeux. En plus de cela les soignants me traitait comme un chiens, et me menaçait de me sonder énormément (Sng).
Deux jours après ma sortie de l'hôpital, je refais une TS très grave : je frôle de très près la mort, direction l'hôpital mais heureusement plus grand chose a faire car ça faisait déjà plusieurs heures et les comprimés ne faisaient plus trop effet. On est juste venu me faire des électrocardiogrammes toute la nuit chaque heure, avec une surveillance++ car il estimait que a tout moment je me remettai en danger. Je n'ai pas été hospitalisé de nouveau, que pour la nuit car mon père voulait pas.
Dans la foulée j'ai été diagnostiqué de TCA, syndrome de stress post traumatique, dépression sévère, trouble anxieux généralisé et pré diagnostiqué borderline. + Récemment dysregulation émotionnelle pathologique.
Je suis donc en hôpital de jour et tout le monde s'inquiète pour moi, surtout de mon état physique (je suis un code barre géant).
Ça ne m'aide pas pour l'instant, et je vais bientôt commencer la TCC.
Aujourd'hui le psychiatre a failli appeler la sécurité et a appelé mes parents car je refusait qu'on soigne mes plaies et qu'on regarde mon corps.
Voilà, j'ai pas raconter certaines choses en détail tout simplement pour ne pas me mettre trop mal et j'ai pas forcément tout dit pour la même raison.
Bisooouuuss✨
Comment ça va?
Je vous préviens : ce topic va parler de mon histoire, mes traumas, troubles mentaux, mon parcours quoi donc TW.
Ensuite, interdit aux critiques surtout sur un sujet comme celui ci, je me sens déjà assez pas légitime pour m'en prendre.
Alors:
Déjà, la grossesse de ma mère s'est passé bof bof: anxiété++ quand elle a appris que j'étais une fille, car elle avait très peur que je subisse ce qu'elle a subit étant enfant, elle a même développer une paralysie faciale.
Ce qui a, évidemment eu un impact sur moi.
Petite, j'ai été surprotégée, et j'avais le package hypersensibilité+ traumas transgenerationelles (qui se transmettent de génération en génération, en gros j'ai tout les symptômes de traumas d'ordre sexuels et d'abandon sans les avoir vécu directement).
Aucun souvenir de mes premières années de vie mais a 5 ans, premier petit trauma: une fille me tire les cheveux pour me mettre a terre, et me marche volontairement a plusieurs reprises et violemment sur le ventre. Puis trou noir, je ne connais pas la suite (il y a eu des témoins).
Mais bon, ce n'es que le début d'une longue série.
A 6 ans quand j'étais en CP, un CM2 m'a collé contre un grillage et ma étranglée en me menaçant de me défoncé.
Comme je suis hypersensible, je me prenais des remarques d'adultes et de camarades qui me faisait pleurer automatiquement, a m'en mettre dans des états pas possible.
J'ai aussi une petite partie de mon enfance été confronté aux problèmes de dos de mon papa, qui allait régulièrement a l'hôpital. Sauf que pour moi, hôpital= mort, donc je pensais que mon papa allait y passer.
En CE2, le père de ma meilleure amie meurs d'un cancer des poumons, sauf que j'y étais très attaché donc j'ai pas mal pleurer.
Cette même meilleure amie m'a clairement lâché en CM1, au même moment où je me faisais harcelé :
Tout les jours pendant deux ans, des coups, des menaces, des rumeurs qui me suivent encore maintenant, des moqueries, des bousculades, des insultes etc... Sauf que pendant cette période j'avais beau ne pas être la plus heureuse, je voulais leurs montrer que j'étais au dessus de ça donc je n'ai pas loupé les cours.
Les adultes ne me croyaient pas, car pour eux j'étais juste une fouteuse de m*rde qui aimait s'embrouiller.
C'était un groupe de 7 filles contre moi, et parfois ma meilleure amie qui me soutenait.
Vers cette période, mon cousin de deux ans de moin que moi tente de mabuser: exhibition, menace, il monte dans mon lit etc.
Entrée au collège : la 6e a été ma meilleure année, même si j'avais des symptômes post traumatique qui me pourrissaient la vie (cauchemars, flashbacks, réflex de peur etc).
En 5 e, début des vraies problèmes, je me refais harcelé (moin sévère) et Je perd en 3-4 mois trois membres de ma famille, d'un cancer (il a survécu a 5 Cancers mon gerrier 🕊️) pour mon grand oncle, d'un AVC pour ma grand mère, et de vieillesse pour mon arrière grand-mère.
En octobre 2022 je commence a me sacrifier.
Le collège fini par prévenir ma mère de mon état puis mon état s'empire : je commence a voir une psychologue en mars 2023, en juillet je fais une TS en Grèce qui me mène a l'hôpital (ou on m'a donné du charbon+ on m'a passé une sorte de sonde dans le nez pour récupérer les cachets car ils avaient compris pilules). Je suis hospitalisée en psychiatrie enfanto juvénile août 2023 avec que des gens beaucoup plus âgés, et c'est là que j'ai fumé pour la première fois, et que j'ai vécu un petit trauma: j'ai vu une fille tenté de se pendre sous mes yeux. En plus de cela les soignants me traitait comme un chiens, et me menaçait de me sonder énormément (Sng).
Deux jours après ma sortie de l'hôpital, je refais une TS très grave : je frôle de très près la mort, direction l'hôpital mais heureusement plus grand chose a faire car ça faisait déjà plusieurs heures et les comprimés ne faisaient plus trop effet. On est juste venu me faire des électrocardiogrammes toute la nuit chaque heure, avec une surveillance++ car il estimait que a tout moment je me remettai en danger. Je n'ai pas été hospitalisé de nouveau, que pour la nuit car mon père voulait pas.
Dans la foulée j'ai été diagnostiqué de TCA, syndrome de stress post traumatique, dépression sévère, trouble anxieux généralisé et pré diagnostiqué borderline. + Récemment dysregulation émotionnelle pathologique.
Je suis donc en hôpital de jour et tout le monde s'inquiète pour moi, surtout de mon état physique (je suis un code barre géant).
Ça ne m'aide pas pour l'instant, et je vais bientôt commencer la TCC.
Aujourd'hui le psychiatre a failli appeler la sécurité et a appelé mes parents car je refusait qu'on soigne mes plaies et qu'on regarde mon corps.
Voilà, j'ai pas raconter certaines choses en détail tout simplement pour ne pas me mettre trop mal et j'ai pas forcément tout dit pour la même raison.
Bisooouuuss✨
😢🍼