Il y a quelques années, Aaron et moi étions meilleurs amis.
Le prince de l'Empire Xeomar, la virgule de ma vie, mon ami d'enfance.
Mon "Everything".
Tout a changé quand son père a tué le miens. Et moi, l'enfant d'un duc de grande renommée suis-je à présent obligée de l'épouser.
"Notre mariage me sera bénéfique", me dit Aaron d'un ton neutre.
"Je n'ai aucune raison de l'annuler."
Il agit comme si notre amitié n’avait jamais signifié rien. Comme si ce n'était pas son père qui avait ruiné notre relation.
"Allez vous faire foutre, Aaron."
Mon cœur se fige à chaque fois que nous parlons, il est tellement froid.
C'est un Prince formé pour devenir roi, il est impitoyable, calculateur, rusé et froid :
Un prince cruel qui vous utilisera pour obtenir ce qu'il veut et vous laissera ensuite dans la poussière. Son père lui a appris que le monde est plein de monstres, alors il en est devenu un. Et moi… Il me veut.
Mon amour, mon corps,... mon âme.
Il veut me posséder. Parce qu'à ses yeux, je suis à lui.
"Que voulez-vous ?" Lui dis-je.
"Je vous veux.", Me répond il.
"Je vous veux à mes côtés sur le trône, la parfaite petite épouse.
Vous êtes ma fiancée.
Je veux votre chaleur dans mon lit la nuit.
Je veux votre rire dans le hall de mon château.
Je veux que vous soyez à moi. Pour toujours."
Je le regarde avec un profond dégoût. Je sais qu'il ment. Qu'il me ment.
Je me rapproche de son oreille et lui chuchote :
"Et si je ne veux pas?"
"Alors je vous donnerai envie." Me murmure t-il à son tour avec sa voix rauque.
"Parce que vous serez ma femme", répète-t-il.
"Vous me faites pitié." Lui dis-je, toujours avec cette expression de dégoût.
"Je n'ai pas besoin de votre pitié."
La réponse de Aaron est aussi froide qu’on pourrait s’y attendre.
"Je n'ai besoin de rien de votre part à part votre obéissance. Votre obéissance. Je vous épouserai. Je vous prendrai pour épouse et vous ferez ce que je vous ordonne.", dit il, sourire en coin.
Son sourire m'énerve, je ne me retiens pas et je le gifle.
Son visage prend une teinte rouge qui, je le sais, signifie que je l'ai énervé.
"Est-ce que vous venez réellement gifler votre fiancé ?".
"Oui et ?", Lui dis-je, sourire au lèvres.
"N'aimez vous pas ça ?".
"Personne ne fait ça à un prince. Pas dans l'Empire de Xeomar, et certainement personne ne le fait à son fiancé."
"Surtout pas à moi", termine Aaron menaçant dans la voix.
Cette discussion, je le sais, ne mènera nul part, alors je prends l'initiative, de lui faire la révérence, et de sortir du bureau dans lequel nous nous trouvons.
Il me regarde partir avec un mélange de colère et de frustration.
"Où allez-vous ?" dit Aaron tendit qu'il avance d'un pas.
"J'en ai fini avec cette ennuyeuse discussion." Lui dis-je d'un ton froid.
"Vous avez fini quand je dis que vous avez fini." Me dit-il d'une voix méprisable.
"Asseyez-vous !", ordonne-t-il, désignant la chaise en face de lui.
"Nous n'avons pas fini de parler !"
Je sais qu'il attend que je lui obeïsse, mais il n'en est pas question, alors j'ouvre la porte et sors.
"Revenez ici!" Dit-il.
Trop tard, je ne reviendrai pas en arrière.
Le prince de l'Empire Xeomar, la virgule de ma vie, mon ami d'enfance.
Mon "Everything".
Tout a changé quand son père a tué le miens. Et moi, l'enfant d'un duc de grande renommée suis-je à présent obligée de l'épouser.
"Notre mariage me sera bénéfique", me dit Aaron d'un ton neutre.
"Je n'ai aucune raison de l'annuler."
Il agit comme si notre amitié n’avait jamais signifié rien. Comme si ce n'était pas son père qui avait ruiné notre relation.
"Allez vous faire foutre, Aaron."
Mon cœur se fige à chaque fois que nous parlons, il est tellement froid.
C'est un Prince formé pour devenir roi, il est impitoyable, calculateur, rusé et froid :
Un prince cruel qui vous utilisera pour obtenir ce qu'il veut et vous laissera ensuite dans la poussière. Son père lui a appris que le monde est plein de monstres, alors il en est devenu un. Et moi… Il me veut.
Mon amour, mon corps,... mon âme.
Il veut me posséder. Parce qu'à ses yeux, je suis à lui.
"Que voulez-vous ?" Lui dis-je.
"Je vous veux.", Me répond il.
"Je vous veux à mes côtés sur le trône, la parfaite petite épouse.
Vous êtes ma fiancée.
Je veux votre chaleur dans mon lit la nuit.
Je veux votre rire dans le hall de mon château.
Je veux que vous soyez à moi. Pour toujours."
Je le regarde avec un profond dégoût. Je sais qu'il ment. Qu'il me ment.
Je me rapproche de son oreille et lui chuchote :
"Et si je ne veux pas?"
"Alors je vous donnerai envie." Me murmure t-il à son tour avec sa voix rauque.
"Parce que vous serez ma femme", répète-t-il.
"Vous me faites pitié." Lui dis-je, toujours avec cette expression de dégoût.
"Je n'ai pas besoin de votre pitié."
La réponse de Aaron est aussi froide qu’on pourrait s’y attendre.
"Je n'ai besoin de rien de votre part à part votre obéissance. Votre obéissance. Je vous épouserai. Je vous prendrai pour épouse et vous ferez ce que je vous ordonne.", dit il, sourire en coin.
Son sourire m'énerve, je ne me retiens pas et je le gifle.
Son visage prend une teinte rouge qui, je le sais, signifie que je l'ai énervé.
"Est-ce que vous venez réellement gifler votre fiancé ?".
"Oui et ?", Lui dis-je, sourire au lèvres.
"N'aimez vous pas ça ?".
"Personne ne fait ça à un prince. Pas dans l'Empire de Xeomar, et certainement personne ne le fait à son fiancé."
"Surtout pas à moi", termine Aaron menaçant dans la voix.
Cette discussion, je le sais, ne mènera nul part, alors je prends l'initiative, de lui faire la révérence, et de sortir du bureau dans lequel nous nous trouvons.
Il me regarde partir avec un mélange de colère et de frustration.
"Où allez-vous ?" dit Aaron tendit qu'il avance d'un pas.
"J'en ai fini avec cette ennuyeuse discussion." Lui dis-je d'un ton froid.
"Vous avez fini quand je dis que vous avez fini." Me dit-il d'une voix méprisable.
"Asseyez-vous !", ordonne-t-il, désignant la chaise en face de lui.
"Nous n'avons pas fini de parler !"
Je sais qu'il attend que je lui obeïsse, mais il n'en est pas question, alors j'ouvre la porte et sors.
"Revenez ici!" Dit-il.
Trop tard, je ne reviendrai pas en arrière.
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