Un soir comme un autre, je rentrais chez moi fatiguée.
Couchée dans mon lit, je me réveilla en sursaut, dans l'impossibilité de me rendormir.
Les ronflements bruyants de mon père étaient parfaitement audibles, malgré le fait que sa chambre soit à l'autre bout du couloir, la porte fermée.
J'avais l'habitude que mon père ronfle, parfois au point de me réveiller.
Je pris mon téléphone, les yeux plissés par la soudaine lumière de l'écran.
Deux heures du matin...D'ici trois heures je devais me lever.
Je me recoucha, mettant l'oreiller sur ma tête dans l'espoir de couvrir le bruit.
Après une trentaine de minutes, j'ai dû me rendre à l'évidence. Je ne pourrai dormir ainsi.
Je me leva doucement de mon lit, le bois craquant légèrement.
Je m'engagea dans le couloir sans lumière, et alla vers la porte de la chambre de mon père.
Évidemment, je ne souhaitais pas le réveiller brutalement alors je toque avant de dire ;
- "Papa ? Je ne voulais pas te réveiller mais tu ronfles vraiment fort. Peux-tu essayer de te tourner pour faire moins de bruit s'il te plaît ?".
Aucune réponse, mais le ronflement avait cessé. Ça m'intriguait mais au moins, je pouvais dormir.
De retour dans mon lit, bien décidée à dormir j'étais détendue. Alors que je fermais les yeux, le ronflement recommença mais...Comme si il était juste derrière la porte.
Je souffla puis me leva pour aller voir.
En ouvrant la porte, mon cœur ratta un battement. Je voyais, vers le milieu du couloir, la silhouette de mon père. Il était debout mais ronflait toujours.
Il y avait que très peu de lumière, et je ne voulais pas savoir ce que ça fait de réveiller un somnambule.
Je m'avança doucement vers lui, et posa mes mains sur ses épaules.
Je le dirigea et je retourna dans le couloir qu'une fois que j'étais assuré qu'il soit bien couché et la porte fermée.
Cependant, j'alla dans la cuisine pour prendre des somnifères au cas où il recommencerait à ronfler.
Je pris deux somnifères avec satisfaction, puis retourna sans un bruit dans ma chambre.
Une fois dans mon lit, désormais froid, mes yeux s'alourdissaient tandis que je fixais le plafond.
Alors que j'allais fermer les yeux, vers le monde des rêves, je vis que j'avais un message sur mon téléphone.
Curieuse de savoir qui avait quelque chose à me dire si tard dans la nuit, j'ouvris le message.
C'était un message de mon père, envoyé vers minuit.
(Je rentrerai tard ce soir, je sors avec des collègues. Bonne nuit !)
Alors que je réalisais ce qu'il se passait, s'entendit les ronflements.
Mais cette fois, ils venaient de l'intérieur de ma chambre.
Ce n'était pas mon père...Ni des ronflements. Ce que j'entendais était...Des grognements.
À suivre ?
Couchée dans mon lit, je me réveilla en sursaut, dans l'impossibilité de me rendormir.
Les ronflements bruyants de mon père étaient parfaitement audibles, malgré le fait que sa chambre soit à l'autre bout du couloir, la porte fermée.
J'avais l'habitude que mon père ronfle, parfois au point de me réveiller.
Je pris mon téléphone, les yeux plissés par la soudaine lumière de l'écran.
Deux heures du matin...D'ici trois heures je devais me lever.
Je me recoucha, mettant l'oreiller sur ma tête dans l'espoir de couvrir le bruit.
Après une trentaine de minutes, j'ai dû me rendre à l'évidence. Je ne pourrai dormir ainsi.
Je me leva doucement de mon lit, le bois craquant légèrement.
Je m'engagea dans le couloir sans lumière, et alla vers la porte de la chambre de mon père.
Évidemment, je ne souhaitais pas le réveiller brutalement alors je toque avant de dire ;
- "Papa ? Je ne voulais pas te réveiller mais tu ronfles vraiment fort. Peux-tu essayer de te tourner pour faire moins de bruit s'il te plaît ?".
Aucune réponse, mais le ronflement avait cessé. Ça m'intriguait mais au moins, je pouvais dormir.
De retour dans mon lit, bien décidée à dormir j'étais détendue. Alors que je fermais les yeux, le ronflement recommença mais...Comme si il était juste derrière la porte.
Je souffla puis me leva pour aller voir.
En ouvrant la porte, mon cœur ratta un battement. Je voyais, vers le milieu du couloir, la silhouette de mon père. Il était debout mais ronflait toujours.
Il y avait que très peu de lumière, et je ne voulais pas savoir ce que ça fait de réveiller un somnambule.
Je m'avança doucement vers lui, et posa mes mains sur ses épaules.
Je le dirigea et je retourna dans le couloir qu'une fois que j'étais assuré qu'il soit bien couché et la porte fermée.
Cependant, j'alla dans la cuisine pour prendre des somnifères au cas où il recommencerait à ronfler.
Je pris deux somnifères avec satisfaction, puis retourna sans un bruit dans ma chambre.
Une fois dans mon lit, désormais froid, mes yeux s'alourdissaient tandis que je fixais le plafond.
Alors que j'allais fermer les yeux, vers le monde des rêves, je vis que j'avais un message sur mon téléphone.
Curieuse de savoir qui avait quelque chose à me dire si tard dans la nuit, j'ouvris le message.
C'était un message de mon père, envoyé vers minuit.
(Je rentrerai tard ce soir, je sors avec des collègues. Bonne nuit !)
Alors que je réalisais ce qu'il se passait, s'entendit les ronflements.
Mais cette fois, ils venaient de l'intérieur de ma chambre.
Ce n'était pas mon père...Ni des ronflements. Ce que j'entendais était...Des grognements.
À suivre ?
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