Fiction générale Entre-deux:Prologue (série de récits.)

Bonjour.Je m'appelle Alex,j'ai 15 ans.Je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois. Ma coupe de cheveux est un choix délibéré, car elle me permet de mettre en valeur mon visage fin et mes traits délicats. Je préfère les cheveux courts, car je trouve que cela me donne une apparence plus androgyne et me permet de me sentir plus en phase avec ma nature complexe. Quand je m'habille le matin, je choisis des vêtements qui sont simples et élégants, avec des coupes fluides qui soulignent ma silhouette angélique. J'aime les couleurs douces et pastel, qui reflètent ma nature douce et sensible.Parfois, je me sens différent.e des autres personnes de mon âge, car je sais que mon apparence est complexe et difficile à comprendre pour certains. Mais je me rappelle toujours que je suis unique et spécial.e, et que ma différence est une force qui me permet de voir le monde d'une manière différente et plus profonde.
Je suis Alex, et je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois.

Je me souviens encore de mes 8 ans quand, dans la cour de récréation, j'ai commencé à réaliser que j'étais différent.e des autres enfants. Mes camarades de classe semblaient se diviser en deux groupes distincts : les garçons et les filles. Mais pour moi, les choses étaient plus compliquées.J'avais toujours su que quelque chose était différent chez moi, mais je n'avais jamais vraiment compris quoi. Je me souviens d'avoir regardé mes camarades de classe se faire des câlins et se donner des bisous, mais je ne savais pas où je me situais par rapport à eux. J'étais à la fois attiré.e par les garçons et les filles, et cela me rendait confus.e et anxieux.se.Cela a commencé à se manifester physiquement, aussi. Je me rappelle avoir remarqué que j'avais des caractéristiques physiques qui semblaient appartenir aux deux sexes. J'avais des hanches arrondies et une silhouette gracieuse, mais j'avais également des épaules étroites et des muscles bien définis.Cela a rendu les choses encore plus difficiles pour moi à l'école. Mes camarades de classe semblaient avoir des attentes très claires en matière de genre, mais pour moi, tout était flou et indistinct. Je me sentais souvent isolé.e et incompris.e, et j'ai commencé à me retirer progressivement de mes camarades de classe.Heureusement, j'ai eu un soutien important de la part de mes parents et de ma soeur. Ils ont toujours été là pour moi, m'encourageant à être moi-même et à m'exprimer librement. Même si je me sentais différent.e des autres enfants de mon âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux pour me soutenir et m'aider à traverser les moments difficiles.Les filles et les garçons, quant à eux, ont continué à me rejeter, à me tourmenter et à me faire sentir comme si j'étais un étranger dans mon propre corps. Je ne savais pas comment réagir, comment me défendre, comment leur faire comprendre que je n'étais pas différent.e, juste unique.C'est à ce moment-là que j'ai commencé à me cacher, à éviter les autres enfants, à avoir honte de moi-même et de mon corps. Je ne voulais pas être différent.e, je ne voulais pas être rejeté.e. J'ai commencé à me sentir comme si j'étais seul.e au monde, sans personne pour m'accepter tel.le que j'étais.

Je me souviens des regards des professeurs, mal à l'aise face à ma présence dans leur classe. Ils ne savaient pas comment me nommer, s'ils devaient m'appeler "monsieur" ou "mademoiselle". Ils semblaient gêné.e.s, comme s'ils étaient confronté.e.s à une situation qu'ils ne savaient pas comment gérer. Leur inconfort m'a fait me sentir encore plus isolé.e et différent.e.Leur malaise a été palpable dès le début de l'année scolaire. Ils ne savaient pas comment m'appeler, ni s'ils devaient utiliser des pronoms masculins ou féminins. Certains ont essayé de s'en sortir en utilisant mon prénom sans ajouter de genre, mais cela ne faisait qu'accentuer mon sentiment de différence.J'ai essayé de leur expliquer ma situation, mais la plupart semblaient perdus et mal à l'aise. Je sentais leur regard scrutateur sur moi, leur hésitation à me désigner d'un pronom. J'ai essayé de leur faciliter la tâche en leur disant de m'appeler par mon prénom ou par un pronom neutre, mais cela ne faisait que rendre la situation encore plus gênante.Je me rappelle d'un cours de sciences où le professeur a demandé à la classe d'identifier les parties génitales masculines et féminines sur un diagramme. J'ai senti les regards se tourner vers moi, comme si j'étais une anomalie à étudier. Le professeur s'est tourné vers moi et m'a demandé si j'étais un garçon ou une fille. J'ai senti les larmes me monter aux yeux, mais j'ai réussi à répondre calmement que j'étais hermaphrodite.Il a hoché la tête et a continué son cours, mais j'ai senti que la classe était tendue et mal à l'aise. Les autres élèves ont évité mon regard et ont murmuré entre eux. J'ai essayé de rester concentré.e sur le cours, mais je sentais le poids de leur jugement sur moi.Cela n'a pas été la seule fois où j'ai été confronté.e à l'incompréhension et à l'intolérance de mes professeurs et de mes camarades de classe.

Un jour, alors que j'étais en troisième année, je me suis retrouvé.e avec une fille et un garçon de ma classe qui m'ont clairement rejeté.e. Nous étions en train de travailler ensemble sur un projet, et j'avais remarqué que quelque chose ne tournait pas rond.Finalement, la fille a brisé le silence en me lançant : "Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"J'ai été pris.e de court, je ne savais pas comment répondre. Le garçon a ajouté : "Ouais, tout le monde dit que tu es un.e mutant.e ou quelque chose comme ça. Tu ne sais même pas de quel côté tu es !" J'ai essayé de leur expliquer que j'étais hermaphrodite, mais ils m'ont interrompu.e en riant et en se moquant de moi. J'ai alors compris que je ne serais jamais accepté.e par eux et que je devais simplement m'éloigner.Je me suis levé.e de ma chaise et je suis parti.e, les larmes aux yeux. Je me sentais si seul.e et si isolé.e à ce moment-là. Je me suis promis de ne jamais laisser les opinions des autres m'affecter à nouveau, mais la douleur de ce rejet était difficile à supporter.Cependant, je savais que je ne pouvais pas laisser cette situation m'abattre. J'ai commencé à me concentrer sur les gens qui m'acceptaient pour qui j'étais, plutôt que de perdre du temps avec des gens qui ne voulaient pas me comprendre. Cela m'a permis de trouver des amis fidèles qui m'ont soutenu.e et aimé.e pour qui j'étais réellement.

Je me souviens encore de cette journée ensoleillée de septembre, il y a de cela deux ans. J'étais en train de jouer seul.e dans la cour de récréation, les autres enfants ne semblaient pas vouloir s'approcher de moi, comme si j'étais contagieux.se. Je regardais tristement les autres s'amuser, en souhaitant ardemment faire partie de leur groupe.

C'est alors que je l'ai vue. Une petite fille, avec des cheveux blancs et une peau si pâle qu'elle semblait presque transparente. Elle était seule aussi, assise sur un banc, en train de dessiner sur un petit carnet.

Je me suis approché.e d'elle, timidement.

"Salut", ai-je dit, en espérant qu'elle ne me repousse pas.

Elle a levé la tête, m'a regardé.e avec ses grands yeux bleus et a souri.

"Salut", a-t-elle répondu.

Nous avons commencé à discuter, et j'ai appris qu'elle s'appelait Camille. Elle était nouvelle dans l'école, et avait dû changer d'établissement à cause des moqueries et des brimades dont elle était victime dans son ancienne école. Je me suis senti.e immédiatement connecté.e à elle, comme si nous avions une sorte de connexion spéciale.Nous avons parlé pendant des heures, de tout et de rien. Elle m'a montré ses dessins, et j'ai été émerveillé.e par leur beauté et leur originalité. J'ai découvert que nous partagions la même passion pour les livres, la musique et les films, et que nous avions beaucoup d'autres choses en commun.Au fil des jours, Camille est devenue ma meilleure amie. Nous passions tout notre temps libre ensemble, à jouer, à rire, à rêver. Elle m'a aidé.e à surmonter ma solitude et mes peurs, et m'a montré qu'il y avait de la beauté et de la joie dans le monde, même dans les moments les plus sombres.
Et puis, un jour, j'ai décidé de lui parler de ma condition. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle me rejette comme les autres l'avaient fait. Mais je savais que je ne pouvais rien lui cacher, qu'elle méritait de connaître la vérité sur moi.

"Camille, je dois te dire quelque chose", lui ai-je dit, en sentant mon cœur battre la chamade. "Je suis hermaphrodite."

Elle a levé les yeux de son livre et m'a regardé.e droit dans les yeux. Je me suis mis.e à regretter d'avoir commencé la conversation.

"Et alors ?", m'a-t-elle répondu après un moment. "Ça ne change rien à ce que je pense de toi. Tu es toujours la même personne incroyable que j'ai rencontrée il y a quelques mois."

Cette simple réponse m'a rempli.e de joie et d'un sentiment de soulagement. Enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui m'acceptait tel.le que j'étais. Elle a souri et m'a tendu la main pour me faire signe de m'asseoir près d'elle. "Je suis là pour toi", a-t-elle ajouté.

Depuis ce jour-là, Camille et moi sommes devenu.e.s inséparables. Nous avons partagé nos histoires, nos rêves, nos craintes et nos espoirs. Nous avons formé un lien indescriptible, basé sur l'acceptation et l'empathie. J'ai découvert que Camille aussi avait été rejetée par les autres enfants à cause de son apparence différente. Elle était atteinte d'albinisme, une maladie qui affecte la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. Les autres enfants se moquaient d'elle, la traitaient de fantôme ou de vampire. Mais elle avait réussi à surmonter leur méchanceté et à trouver du réconfort dans les livres et les dessins.J'ai admiré sa force et sa résilience, et j'ai été inspiré.e par son courage et sa gentillesse. Elle m'a appris à voir la beauté dans la différence, à être fier.ère de qui j'étais et à ne jamais me cacher ni me sentir honteux.se.Nous avons traversé des moments difficiles ensemble, mais nous avons toujours réussi à les surmonter grâce à notre amitié et notre soutien mutuel. Camille est devenue ma famille, ma sœur de cœur, et je sais que je peux compter sur elle dans n'importe quelle situation.Grâce à elle, j'ai découvert la beauté de la vie et la richesse de la diversité. Elle m'a montré que l'amour et l'acceptation sont plus forts que la haine et l'intolérance, et que la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e.
Je suis reconnaissant.e d'avoir rencontré Camille, et je sais que notre amitié durera pour toujours.
 
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Bonjour.Je m'appelle Alex,j'ai 15 ans.Je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois. Ma coupe de cheveux est un choix délibéré, car elle me permet de mettre en valeur mon visage fin et mes traits délicats. Je préfère les cheveux courts, car je trouve que cela me donne une apparence plus androgyne et me permet de me sentir plus en phase avec ma nature complexe. Quand je m'habille le matin, je choisis des vêtements qui sont simples et élégants, avec des coupes fluides qui soulignent ma silhouette angélique. J'aime les couleurs douces et pastel, qui reflètent ma nature douce et sensible.Parfois, je me sens différent.e des autres personnes de mon âge, car je sais que mon apparence est complexe et difficile à comprendre pour certains. Mais je me rappelle toujours que je suis unique et spécial.e, et que ma différence est une force qui me permet de voir le monde d'une manière différente et plus profonde.
Je suis Alex, et je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois.

Je me souviens encore de mes 8 ans quand, dans la cour de récréation, j'ai commencé à réaliser que j'étais différent.e des autres enfants. Mes camarades de classe semblaient se diviser en deux groupes distincts : les garçons et les filles. Mais pour moi, les choses étaient plus compliquées.J'avais toujours su que quelque chose était différent chez moi, mais je n'avais jamais vraiment compris quoi. Je me souviens d'avoir regardé mes camarades de classe se faire des câlins et se donner des bisous, mais je ne savais pas où je me situais par rapport à eux. J'étais à la fois attiré.e par les garçons et les filles, et cela me rendait confus.e et anxieux.se.Cela a commencé à se manifester physiquement, aussi. Je me rappelle avoir remarqué que j'avais des caractéristiques physiques qui semblaient appartenir aux deux sexes. J'avais des hanches arrondies et une silhouette gracieuse, mais j'avais également des épaules étroites et des muscles bien définis.Cela a rendu les choses encore plus difficiles pour moi à l'école. Mes camarades de classe semblaient avoir des attentes très claires en matière de genre, mais pour moi, tout était flou et indistinct. Je me sentais souvent isolé.e et incompris.e, et j'ai commencé à me retirer progressivement de mes camarades de classe.Heureusement, j'ai eu un soutien important de la part de mes parents et de ma soeur. Ils ont toujours été là pour moi, m'encourageant à être moi-même et à m'exprimer librement. Même si je me sentais différent.e des autres enfants de mon âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux pour me soutenir et m'aider à traverser les moments difficiles.Les filles et les garçons, quant à eux, ont continué à me rejeter, à me tourmenter et à me faire sentir comme si j'étais un étranger dans mon propre corps. Je ne savais pas comment réagir, comment me défendre, comment leur faire comprendre que je n'étais pas différent.e, juste unique.C'est à ce moment-là que j'ai commencé à me cacher, à éviter les autres enfants, à avoir honte de moi-même et de mon corps. Je ne voulais pas être différent.e, je ne voulais pas être rejeté.e. J'ai commencé à me sentir comme si j'étais seul.e au monde, sans personne pour m'accepter tel.le que j'étais.

Je me souviens des regards des professeurs, mal à l'aise face à ma présence dans leur classe. Ils ne savaient pas comment me nommer, s'ils devaient m'appeler "monsieur" ou "mademoiselle". Ils semblaient gêné.e.s, comme s'ils étaient confronté.e.s à une situation qu'ils ne savaient pas comment gérer. Leur inconfort m'a fait me sentir encore plus isolé.e et différent.e.Leur malaise a été palpable dès le début de l'année scolaire. Ils ne savaient pas comment m'appeler, ni s'ils devaient utiliser des pronoms masculins ou féminins. Certains ont essayé de s'en sortir en utilisant mon prénom sans ajouter de genre, mais cela ne faisait qu'accentuer mon sentiment de différence.J'ai essayé de leur expliquer ma situation, mais la plupart semblaient perdus et mal à l'aise. Je sentais leur regard scrutateur sur moi, leur hésitation à me désigner d'un pronom. J'ai essayé de leur faciliter la tâche en leur disant de m'appeler par mon prénom ou par un pronom neutre, mais cela ne faisait que rendre la situation encore plus gênante.Je me rappelle d'un cours de sciences où le professeur a demandé à la classe d'identifier les parties génitales masculines et féminines sur un diagramme. J'ai senti les regards se tourner vers moi, comme si j'étais une anomalie à étudier. Le professeur s'est tourné vers moi et m'a demandé si j'étais un garçon ou une fille. J'ai senti les larmes me monter aux yeux, mais j'ai réussi à répondre calmement que j'étais hermaphrodite.Il a hoché la tête et a continué son cours, mais j'ai senti que la classe était tendue et mal à l'aise. Les autres élèves ont évité mon regard et ont murmuré entre eux. J'ai essayé de rester concentré.e sur le cours, mais je sentais le poids de leur jugement sur moi.Cela n'a pas été la seule fois où j'ai été confronté.e à l'incompréhension et à l'intolérance de mes professeurs et de mes camarades de classe.

Un jour, alors que j'étais en troisième année, je me suis retrouvé.e avec une fille et un garçon de ma classe qui m'ont clairement rejeté.e. Nous étions en train de travailler ensemble sur un projet, et j'avais remarqué que quelque chose ne tournait pas rond.Finalement, la fille a brisé le silence en me lançant : "Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"J'ai été pris.e de court, je ne savais pas comment répondre. Le garçon a ajouté : "Ouais, tout le monde dit que tu es un.e mutant.e ou quelque chose comme ça. Tu ne sais même pas de quel côté tu es !" J'ai essayé de leur expliquer que j'étais hermaphrodite, mais ils m'ont interrompu.e en riant et en se moquant de moi. J'ai alors compris que je ne serais jamais accepté.e par eux et que je devais simplement m'éloigner.Je me suis levé.e de ma chaise et je suis parti.e, les larmes aux yeux. Je me sentais si seul.e et si isolé.e à ce moment-là. Je me suis promis de ne jamais laisser les opinions des autres m'affecter à nouveau, mais la douleur de ce rejet était difficile à supporter.Cependant, je savais que je ne pouvais pas laisser cette situation m'abattre. J'ai commencé à me concentrer sur les gens qui m'acceptaient pour qui j'étais, plutôt que de perdre du temps avec des gens qui ne voulaient pas me comprendre. Cela m'a permis de trouver des amis fidèles qui m'ont soutenu.e et aimé.e pour qui j'étais réellement.

Je me souviens encore de cette journée ensoleillée de septembre, il y a de cela deux ans. J'étais en train de jouer seul.e dans la cour de récréation, les autres enfants ne semblaient pas vouloir s'approcher de moi, comme si j'étais contagieux.se. Je regardais tristement les autres s'amuser, en souhaitant ardemment faire partie de leur groupe.

C'est alors que je l'ai vue. Une petite fille, avec des cheveux blancs et une peau si pâle qu'elle semblait presque transparente. Elle était seule aussi, assise sur un banc, en train de dessiner sur un petit carnet.

Je me suis approché.e d'elle, timidement.

"Salut", ai-je dit, en espérant qu'elle ne me repousse pas.

Elle a levé la tête, m'a regardé.e avec ses grands yeux bleus et a souri.

"Salut", a-t-elle répondu.

Nous avons commencé à discuter, et j'ai appris qu'elle s'appelait Camille. Elle était nouvelle dans l'école, et avait dû changer d'établissement à cause des moqueries et des brimades dont elle était victime dans son ancienne école. Je me suis senti.e immédiatement connecté.e à elle, comme si nous avions une sorte de connexion spéciale.Nous avons parlé pendant des heures, de tout et de rien. Elle m'a montré ses dessins, et j'ai été émerveillé.e par leur beauté et leur originalité. J'ai découvert que nous partagions la même passion pour les livres, la musique et les films, et que nous avions beaucoup d'autres choses en commun.Au fil des jours, Camille est devenue ma meilleure amie. Nous passions tout notre temps libre ensemble, à jouer, à rire, à rêver. Elle m'a aidé.e à surmonter ma solitude et mes peurs, et m'a montré qu'il y avait de la beauté et de la joie dans le monde, même dans les moments les plus sombres.
Et puis, un jour, j'ai décidé de lui parler de ma condition. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle me rejette comme les autres l'avaient fait. Mais je savais que je ne pouvais rien lui cacher, qu'elle méritait de connaître la vérité sur moi.

"Camille, je dois te dire quelque chose", lui ai-je dit, en sentant mon cœur battre la chamade. "Je suis hermaphrodite."

Elle a levé les yeux de son livre et m'a regardé.e droit dans les yeux. Je me suis mis.e à regretter d'avoir commencé la conversation.

"Et alors ?", m'a-t-elle répondu après un moment. "Ça ne change rien à ce que je pense de toi. Tu es toujours la même personne incroyable que j'ai rencontrée il y a quelques mois."

Cette simple réponse m'a rempli.e de joie et d'un sentiment de soulagement. Enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui m'acceptait tel.le que j'étais. Elle a souri et m'a tendu la main pour me faire signe de m'asseoir près d'elle. "Je suis là pour toi", a-t-elle ajouté.

Depuis ce jour-là, Camille et moi sommes devenu.e.s inséparables. Nous avons partagé nos histoires, nos rêves, nos craintes et nos espoirs. Nous avons formé un lien indescriptible, basé sur l'acceptation et l'empathie. J'ai découvert que Camille aussi avait été rejetée par les autres enfants à cause de son apparence différente. Elle était atteinte d'albinisme, une maladie qui affecte la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. Les autres enfants se moquaient d'elle, la traitaient de fantôme ou de vampire. Mais elle avait réussi à surmonter leur méchanceté et à trouver du réconfort dans les livres et les dessins.J'ai admiré sa force et sa résilience, et j'ai été inspiré.e par son courage et sa gentillesse. Elle m'a appris à voir la beauté dans la différence, à être fier.ère de qui j'étais et à ne jamais me cacher ni me sentir honteux.se.Nous avons traversé des moments difficiles ensemble, mais nous avons toujours réussi à les surmonter grâce à notre amitié et notre soutien mutuel. Camille est devenue ma famille, ma sœur de cœur, et je sais que je peux compter sur elle dans n'importe quelle situation.Grâce à elle, j'ai découvert la beauté de la vie et la richesse de la diversité. Elle m'a montré que l'amour et l'acceptation sont plus forts que la haine et l'intolérance, et que la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e.
Je suis reconnaissant.e d'avoir rencontré Camille, et je sais que notre amitié durera pour toujours.
Mon dieu... C'est si beau... J'adore. ❤️
« la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e. » 😭✨
 
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Bonjour.Je m'appelle Alex,j'ai 15 ans.Je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois. Ma coupe de cheveux est un choix délibéré, car elle me permet de mettre en valeur mon visage fin et mes traits délicats. Je préfère les cheveux courts, car je trouve que cela me donne une apparence plus androgyne et me permet de me sentir plus en phase avec ma nature complexe. Quand je m'habille le matin, je choisis des vêtements qui sont simples et élégants, avec des coupes fluides qui soulignent ma silhouette angélique. J'aime les couleurs douces et pastel, qui reflètent ma nature douce et sensible.Parfois, je me sens différent.e des autres personnes de mon âge, car je sais que mon apparence est complexe et difficile à comprendre pour certains. Mais je me rappelle toujours que je suis unique et spécial.e, et que ma différence est une force qui me permet de voir le monde d'une manière différente et plus profonde.
Je suis Alex, et je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois.

Je me souviens encore de mes 8 ans quand, dans la cour de récréation, j'ai commencé à réaliser que j'étais différent.e des autres enfants. Mes camarades de classe semblaient se diviser en deux groupes distincts : les garçons et les filles. Mais pour moi, les choses étaient plus compliquées.J'avais toujours su que quelque chose était différent chez moi, mais je n'avais jamais vraiment compris quoi. Je me souviens d'avoir regardé mes camarades de classe se faire des câlins et se donner des bisous, mais je ne savais pas où je me situais par rapport à eux. J'étais à la fois attiré.e par les garçons et les filles, et cela me rendait confus.e et anxieux.se.Cela a commencé à se manifester physiquement, aussi. Je me rappelle avoir remarqué que j'avais des caractéristiques physiques qui semblaient appartenir aux deux sexes. J'avais des hanches arrondies et une silhouette gracieuse, mais j'avais également des épaules étroites et des muscles bien définis.Cela a rendu les choses encore plus difficiles pour moi à l'école. Mes camarades de classe semblaient avoir des attentes très claires en matière de genre, mais pour moi, tout était flou et indistinct. Je me sentais souvent isolé.e et incompris.e, et j'ai commencé à me retirer progressivement de mes camarades de classe.Heureusement, j'ai eu un soutien important de la part de mes parents et de ma soeur. Ils ont toujours été là pour moi, m'encourageant à être moi-même et à m'exprimer librement. Même si je me sentais différent.e des autres enfants de mon âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux pour me soutenir et m'aider à traverser les moments difficiles.Les filles et les garçons, quant à eux, ont continué à me rejeter, à me tourmenter et à me faire sentir comme si j'étais un étranger dans mon propre corps. Je ne savais pas comment réagir, comment me défendre, comment leur faire comprendre que je n'étais pas différent.e, juste unique.C'est à ce moment-là que j'ai commencé à me cacher, à éviter les autres enfants, à avoir honte de moi-même et de mon corps. Je ne voulais pas être différent.e, je ne voulais pas être rejeté.e. J'ai commencé à me sentir comme si j'étais seul.e au monde, sans personne pour m'accepter tel.le que j'étais.

Je me souviens des regards des professeurs, mal à l'aise face à ma présence dans leur classe. Ils ne savaient pas comment me nommer, s'ils devaient m'appeler "monsieur" ou "mademoiselle". Ils semblaient gêné.e.s, comme s'ils étaient confronté.e.s à une situation qu'ils ne savaient pas comment gérer. Leur inconfort m'a fait me sentir encore plus isolé.e et différent.e.Leur malaise a été palpable dès le début de l'année scolaire. Ils ne savaient pas comment m'appeler, ni s'ils devaient utiliser des pronoms masculins ou féminins. Certains ont essayé de s'en sortir en utilisant mon prénom sans ajouter de genre, mais cela ne faisait qu'accentuer mon sentiment de différence.J'ai essayé de leur expliquer ma situation, mais la plupart semblaient perdus et mal à l'aise. Je sentais leur regard scrutateur sur moi, leur hésitation à me désigner d'un pronom. J'ai essayé de leur faciliter la tâche en leur disant de m'appeler par mon prénom ou par un pronom neutre, mais cela ne faisait que rendre la situation encore plus gênante.Je me rappelle d'un cours de sciences où le professeur a demandé à la classe d'identifier les parties génitales masculines et féminines sur un diagramme. J'ai senti les regards se tourner vers moi, comme si j'étais une anomalie à étudier. Le professeur s'est tourné vers moi et m'a demandé si j'étais un garçon ou une fille. J'ai senti les larmes me monter aux yeux, mais j'ai réussi à répondre calmement que j'étais hermaphrodite.Il a hoché la tête et a continué son cours, mais j'ai senti que la classe était tendue et mal à l'aise. Les autres élèves ont évité mon regard et ont murmuré entre eux. J'ai essayé de rester concentré.e sur le cours, mais je sentais le poids de leur jugement sur moi.Cela n'a pas été la seule fois où j'ai été confronté.e à l'incompréhension et à l'intolérance de mes professeurs et de mes camarades de classe.

Un jour, alors que j'étais en troisième année, je me suis retrouvé.e avec une fille et un garçon de ma classe qui m'ont clairement rejeté.e. Nous étions en train de travailler ensemble sur un projet, et j'avais remarqué que quelque chose ne tournait pas rond.Finalement, la fille a brisé le silence en me lançant : "Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"J'ai été pris.e de court, je ne savais pas comment répondre. Le garçon a ajouté : "Ouais, tout le monde dit que tu es un.e mutant.e ou quelque chose comme ça. Tu ne sais même pas de quel côté tu es !" J'ai essayé de leur expliquer que j'étais hermaphrodite, mais ils m'ont interrompu.e en riant et en se moquant de moi. J'ai alors compris que je ne serais jamais accepté.e par eux et que je devais simplement m'éloigner.Je me suis levé.e de ma chaise et je suis parti.e, les larmes aux yeux. Je me sentais si seul.e et si isolé.e à ce moment-là. Je me suis promis de ne jamais laisser les opinions des autres m'affecter à nouveau, mais la douleur de ce rejet était difficile à supporter.Cependant, je savais que je ne pouvais pas laisser cette situation m'abattre. J'ai commencé à me concentrer sur les gens qui m'acceptaient pour qui j'étais, plutôt que de perdre du temps avec des gens qui ne voulaient pas me comprendre. Cela m'a permis de trouver des amis fidèles qui m'ont soutenu.e et aimé.e pour qui j'étais réellement.

Je me souviens encore de cette journée ensoleillée de septembre, il y a de cela deux ans. J'étais en train de jouer seul.e dans la cour de récréation, les autres enfants ne semblaient pas vouloir s'approcher de moi, comme si j'étais contagieux.se. Je regardais tristement les autres s'amuser, en souhaitant ardemment faire partie de leur groupe.

C'est alors que je l'ai vue. Une petite fille, avec des cheveux blancs et une peau si pâle qu'elle semblait presque transparente. Elle était seule aussi, assise sur un banc, en train de dessiner sur un petit carnet.

Je me suis approché.e d'elle, timidement.

"Salut", ai-je dit, en espérant qu'elle ne me repousse pas.

Elle a levé la tête, m'a regardé.e avec ses grands yeux bleus et a souri.

"Salut", a-t-elle répondu.

Nous avons commencé à discuter, et j'ai appris qu'elle s'appelait Camille. Elle était nouvelle dans l'école, et avait dû changer d'établissement à cause des moqueries et des brimades dont elle était victime dans son ancienne école. Je me suis senti.e immédiatement connecté.e à elle, comme si nous avions une sorte de connexion spéciale.Nous avons parlé pendant des heures, de tout et de rien. Elle m'a montré ses dessins, et j'ai été émerveillé.e par leur beauté et leur originalité. J'ai découvert que nous partagions la même passion pour les livres, la musique et les films, et que nous avions beaucoup d'autres choses en commun.Au fil des jours, Camille est devenue ma meilleure amie. Nous passions tout notre temps libre ensemble, à jouer, à rire, à rêver. Elle m'a aidé.e à surmonter ma solitude et mes peurs, et m'a montré qu'il y avait de la beauté et de la joie dans le monde, même dans les moments les plus sombres.
Et puis, un jour, j'ai décidé de lui parler de ma condition. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle me rejette comme les autres l'avaient fait. Mais je savais que je ne pouvais rien lui cacher, qu'elle méritait de connaître la vérité sur moi.

"Camille, je dois te dire quelque chose", lui ai-je dit, en sentant mon cœur battre la chamade. "Je suis hermaphrodite."

Elle a levé les yeux de son livre et m'a regardé.e droit dans les yeux. Je me suis mis.e à regretter d'avoir commencé la conversation.

"Et alors ?", m'a-t-elle répondu après un moment. "Ça ne change rien à ce que je pense de toi. Tu es toujours la même personne incroyable que j'ai rencontrée il y a quelques mois."

Cette simple réponse m'a rempli.e de joie et d'un sentiment de soulagement. Enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui m'acceptait tel.le que j'étais. Elle a souri et m'a tendu la main pour me faire signe de m'asseoir près d'elle. "Je suis là pour toi", a-t-elle ajouté.

Depuis ce jour-là, Camille et moi sommes devenu.e.s inséparables. Nous avons partagé nos histoires, nos rêves, nos craintes et nos espoirs. Nous avons formé un lien indescriptible, basé sur l'acceptation et l'empathie. J'ai découvert que Camille aussi avait été rejetée par les autres enfants à cause de son apparence différente. Elle était atteinte d'albinisme, une maladie qui affecte la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. Les autres enfants se moquaient d'elle, la traitaient de fantôme ou de vampire. Mais elle avait réussi à surmonter leur méchanceté et à trouver du réconfort dans les livres et les dessins.J'ai admiré sa force et sa résilience, et j'ai été inspiré.e par son courage et sa gentillesse. Elle m'a appris à voir la beauté dans la différence, à être fier.ère de qui j'étais et à ne jamais me cacher ni me sentir honteux.se.Nous avons traversé des moments difficiles ensemble, mais nous avons toujours réussi à les surmonter grâce à notre amitié et notre soutien mutuel. Camille est devenue ma famille, ma sœur de cœur, et je sais que je peux compter sur elle dans n'importe quelle situation.Grâce à elle, j'ai découvert la beauté de la vie et la richesse de la diversité. Elle m'a montré que l'amour et l'acceptation sont plus forts que la haine et l'intolérance, et que la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e.
Je suis reconnaissant.e d'avoir rencontré Camille, et je sais que notre amitié durera pour toujours.
On se croirait dans un livre, je ne me reconnais pas dans ce texte, mais je me suis noyé dans ton récit. 😊
 
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Bonjour.Je m'appelle Alex,j'ai 15 ans.Je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois. Ma coupe de cheveux est un choix délibéré, car elle me permet de mettre en valeur mon visage fin et mes traits délicats. Je préfère les cheveux courts, car je trouve que cela me donne une apparence plus androgyne et me permet de me sentir plus en phase avec ma nature complexe. Quand je m'habille le matin, je choisis des vêtements qui sont simples et élégants, avec des coupes fluides qui soulignent ma silhouette angélique. J'aime les couleurs douces et pastel, qui reflètent ma nature douce et sensible.Parfois, je me sens différent.e des autres personnes de mon âge, car je sais que mon apparence est complexe et difficile à comprendre pour certains. Mais je me rappelle toujours que je suis unique et spécial.e, et que ma différence est une force qui me permet de voir le monde d'une manière différente et plus profonde.
Je suis Alex, et je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois.

Je me souviens encore de mes 8 ans quand, dans la cour de récréation, j'ai commencé à réaliser que j'étais différent.e des autres enfants. Mes camarades de classe semblaient se diviser en deux groupes distincts : les garçons et les filles. Mais pour moi, les choses étaient plus compliquées.J'avais toujours su que quelque chose était différent chez moi, mais je n'avais jamais vraiment compris quoi. Je me souviens d'avoir regardé mes camarades de classe se faire des câlins et se donner des bisous, mais je ne savais pas où je me situais par rapport à eux. J'étais à la fois attiré.e par les garçons et les filles, et cela me rendait confus.e et anxieux.se.Cela a commencé à se manifester physiquement, aussi. Je me rappelle avoir remarqué que j'avais des caractéristiques physiques qui semblaient appartenir aux deux sexes. J'avais des hanches arrondies et une silhouette gracieuse, mais j'avais également des épaules étroites et des muscles bien définis.Cela a rendu les choses encore plus difficiles pour moi à l'école. Mes camarades de classe semblaient avoir des attentes très claires en matière de genre, mais pour moi, tout était flou et indistinct. Je me sentais souvent isolé.e et incompris.e, et j'ai commencé à me retirer progressivement de mes camarades de classe.Heureusement, j'ai eu un soutien important de la part de mes parents et de ma soeur. Ils ont toujours été là pour moi, m'encourageant à être moi-même et à m'exprimer librement. Même si je me sentais différent.e des autres enfants de mon âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux pour me soutenir et m'aider à traverser les moments difficiles.Les filles et les garçons, quant à eux, ont continué à me rejeter, à me tourmenter et à me faire sentir comme si j'étais un étranger dans mon propre corps. Je ne savais pas comment réagir, comment me défendre, comment leur faire comprendre que je n'étais pas différent.e, juste unique.C'est à ce moment-là que j'ai commencé à me cacher, à éviter les autres enfants, à avoir honte de moi-même et de mon corps. Je ne voulais pas être différent.e, je ne voulais pas être rejeté.e. J'ai commencé à me sentir comme si j'étais seul.e au monde, sans personne pour m'accepter tel.le que j'étais.

Je me souviens des regards des professeurs, mal à l'aise face à ma présence dans leur classe. Ils ne savaient pas comment me nommer, s'ils devaient m'appeler "monsieur" ou "mademoiselle". Ils semblaient gêné.e.s, comme s'ils étaient confronté.e.s à une situation qu'ils ne savaient pas comment gérer. Leur inconfort m'a fait me sentir encore plus isolé.e et différent.e.Leur malaise a été palpable dès le début de l'année scolaire. Ils ne savaient pas comment m'appeler, ni s'ils devaient utiliser des pronoms masculins ou féminins. Certains ont essayé de s'en sortir en utilisant mon prénom sans ajouter de genre, mais cela ne faisait qu'accentuer mon sentiment de différence.J'ai essayé de leur expliquer ma situation, mais la plupart semblaient perdus et mal à l'aise. Je sentais leur regard scrutateur sur moi, leur hésitation à me désigner d'un pronom. J'ai essayé de leur faciliter la tâche en leur disant de m'appeler par mon prénom ou par un pronom neutre, mais cela ne faisait que rendre la situation encore plus gênante.Je me rappelle d'un cours de sciences où le professeur a demandé à la classe d'identifier les parties génitales masculines et féminines sur un diagramme. J'ai senti les regards se tourner vers moi, comme si j'étais une anomalie à étudier. Le professeur s'est tourné vers moi et m'a demandé si j'étais un garçon ou une fille. J'ai senti les larmes me monter aux yeux, mais j'ai réussi à répondre calmement que j'étais hermaphrodite.Il a hoché la tête et a continué son cours, mais j'ai senti que la classe était tendue et mal à l'aise. Les autres élèves ont évité mon regard et ont murmuré entre eux. J'ai essayé de rester concentré.e sur le cours, mais je sentais le poids de leur jugement sur moi.Cela n'a pas été la seule fois où j'ai été confronté.e à l'incompréhension et à l'intolérance de mes professeurs et de mes camarades de classe.

Un jour, alors que j'étais en troisième année, je me suis retrouvé.e avec une fille et un garçon de ma classe qui m'ont clairement rejeté.e. Nous étions en train de travailler ensemble sur un projet, et j'avais remarqué que quelque chose ne tournait pas rond.Finalement, la fille a brisé le silence en me lançant : "Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"J'ai été pris.e de court, je ne savais pas comment répondre. Le garçon a ajouté : "Ouais, tout le monde dit que tu es un.e mutant.e ou quelque chose comme ça. Tu ne sais même pas de quel côté tu es !" J'ai essayé de leur expliquer que j'étais hermaphrodite, mais ils m'ont interrompu.e en riant et en se moquant de moi. J'ai alors compris que je ne serais jamais accepté.e par eux et que je devais simplement m'éloigner.Je me suis levé.e de ma chaise et je suis parti.e, les larmes aux yeux. Je me sentais si seul.e et si isolé.e à ce moment-là. Je me suis promis de ne jamais laisser les opinions des autres m'affecter à nouveau, mais la douleur de ce rejet était difficile à supporter.Cependant, je savais que je ne pouvais pas laisser cette situation m'abattre. J'ai commencé à me concentrer sur les gens qui m'acceptaient pour qui j'étais, plutôt que de perdre du temps avec des gens qui ne voulaient pas me comprendre. Cela m'a permis de trouver des amis fidèles qui m'ont soutenu.e et aimé.e pour qui j'étais réellement.

Je me souviens encore de cette journée ensoleillée de septembre, il y a de cela deux ans. J'étais en train de jouer seul.e dans la cour de récréation, les autres enfants ne semblaient pas vouloir s'approcher de moi, comme si j'étais contagieux.se. Je regardais tristement les autres s'amuser, en souhaitant ardemment faire partie de leur groupe.

C'est alors que je l'ai vue. Une petite fille, avec des cheveux blancs et une peau si pâle qu'elle semblait presque transparente. Elle était seule aussi, assise sur un banc, en train de dessiner sur un petit carnet.

Je me suis approché.e d'elle, timidement.

"Salut", ai-je dit, en espérant qu'elle ne me repousse pas.

Elle a levé la tête, m'a regardé.e avec ses grands yeux bleus et a souri.

"Salut", a-t-elle répondu.

Nous avons commencé à discuter, et j'ai appris qu'elle s'appelait Camille. Elle était nouvelle dans l'école, et avait dû changer d'établissement à cause des moqueries et des brimades dont elle était victime dans son ancienne école. Je me suis senti.e immédiatement connecté.e à elle, comme si nous avions une sorte de connexion spéciale.Nous avons parlé pendant des heures, de tout et de rien. Elle m'a montré ses dessins, et j'ai été émerveillé.e par leur beauté et leur originalité. J'ai découvert que nous partagions la même passion pour les livres, la musique et les films, et que nous avions beaucoup d'autres choses en commun.Au fil des jours, Camille est devenue ma meilleure amie. Nous passions tout notre temps libre ensemble, à jouer, à rire, à rêver. Elle m'a aidé.e à surmonter ma solitude et mes peurs, et m'a montré qu'il y avait de la beauté et de la joie dans le monde, même dans les moments les plus sombres.
Et puis, un jour, j'ai décidé de lui parler de ma condition. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle me rejette comme les autres l'avaient fait. Mais je savais que je ne pouvais rien lui cacher, qu'elle méritait de connaître la vérité sur moi.

"Camille, je dois te dire quelque chose", lui ai-je dit, en sentant mon cœur battre la chamade. "Je suis hermaphrodite."

Elle a levé les yeux de son livre et m'a regardé.e droit dans les yeux. Je me suis mis.e à regretter d'avoir commencé la conversation.

"Et alors ?", m'a-t-elle répondu après un moment. "Ça ne change rien à ce que je pense de toi. Tu es toujours la même personne incroyable que j'ai rencontrée il y a quelques mois."

Cette simple réponse m'a rempli.e de joie et d'un sentiment de soulagement. Enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui m'acceptait tel.le que j'étais. Elle a souri et m'a tendu la main pour me faire signe de m'asseoir près d'elle. "Je suis là pour toi", a-t-elle ajouté.

Depuis ce jour-là, Camille et moi sommes devenu.e.s inséparables. Nous avons partagé nos histoires, nos rêves, nos craintes et nos espoirs. Nous avons formé un lien indescriptible, basé sur l'acceptation et l'empathie. J'ai découvert que Camille aussi avait été rejetée par les autres enfants à cause de son apparence différente. Elle était atteinte d'albinisme, une maladie qui affecte la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. Les autres enfants se moquaient d'elle, la traitaient de fantôme ou de vampire. Mais elle avait réussi à surmonter leur méchanceté et à trouver du réconfort dans les livres et les dessins.J'ai admiré sa force et sa résilience, et j'ai été inspiré.e par son courage et sa gentillesse. Elle m'a appris à voir la beauté dans la différence, à être fier.ère de qui j'étais et à ne jamais me cacher ni me sentir honteux.se.Nous avons traversé des moments difficiles ensemble, mais nous avons toujours réussi à les surmonter grâce à notre amitié et notre soutien mutuel. Camille est devenue ma famille, ma sœur de cœur, et je sais que je peux compter sur elle dans n'importe quelle situation.Grâce à elle, j'ai découvert la beauté de la vie et la richesse de la diversité. Elle m'a montré que l'amour et l'acceptation sont plus forts que la haine et l'intolérance, et que la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e.
Je suis reconnaissant.e d'avoir rencontré Camille, et je sais que notre amitié durera pour toujours.
C'est, trop beau, à chaque fois que je lis un de tes nouveaux texte ou poésie je suis choquée de comment tu écris bien :love: :love:
 
Saule
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C'est beau, le message que tu veux transmettre est magnifique. Ça fait un peu penser à un témoignage au début.
Bon par contre hermaphrodite on l'utilise beaucoup moins pour les humains, on dit plutôt intersexe. ^^ mais c'est la même chose.
Si je devais faire une critique constructive, je te dirais que ces phrases là ne sont pas très naturelle dans la façon de parler surtout pour des jeunes un peu malveillants : 《"Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"》
Après tu as ton style d'écriture, c'est vraiment bien ^^
 
Deer Alastor. ~
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C'est beau, le message que tu veux transmettre est magnifique. Ça fait un peu penser à un témoignage au début.
Bon par contre hermaphrodite on l'utilise beaucoup moins pour les humains, on dit plutôt intersexe. ^^ mais c'est la même chose.
Si je devais faire une critique constructive, je te dirais que ces phrases là ne sont pas très naturelle dans la façon de parler surtout pour des jeunes un peu malveillants : 《"Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"》
Après tu as ton style d'écriture, c'est vraiment bien ^^
Merci.Et tu verras,au fil de la série,le message serra plus complexe que ça,ce n'est qu'une infime partie de ce que je vais écrire. Personnellement,j'ai toujours utilisé le terme "hermaphrodite" et je pense que je ne vais pas le changer dans ma série.Pour les phrases,j'ai déjà lu et même entendu IRL ce genre de phrase sur d'autres sujets etc,donc c'est pertinent.
 
Orion✨️
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Bonjour.Je m'appelle Alex,j'ai 15 ans.Je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois. Ma coupe de cheveux est un choix délibéré, car elle me permet de mettre en valeur mon visage fin et mes traits délicats. Je préfère les cheveux courts, car je trouve que cela me donne une apparence plus androgyne et me permet de me sentir plus en phase avec ma nature complexe. Quand je m'habille le matin, je choisis des vêtements qui sont simples et élégants, avec des coupes fluides qui soulignent ma silhouette angélique. J'aime les couleurs douces et pastel, qui reflètent ma nature douce et sensible.Parfois, je me sens différent.e des autres personnes de mon âge, car je sais que mon apparence est complexe et difficile à comprendre pour certains. Mais je me rappelle toujours que je suis unique et spécial.e, et que ma différence est une force qui me permet de voir le monde d'une manière différente et plus profonde.
Je suis Alex, et je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois.

Je me souviens encore de mes 8 ans quand, dans la cour de récréation, j'ai commencé à réaliser que j'étais différent.e des autres enfants. Mes camarades de classe semblaient se diviser en deux groupes distincts : les garçons et les filles. Mais pour moi, les choses étaient plus compliquées.J'avais toujours su que quelque chose était différent chez moi, mais je n'avais jamais vraiment compris quoi. Je me souviens d'avoir regardé mes camarades de classe se faire des câlins et se donner des bisous, mais je ne savais pas où je me situais par rapport à eux. J'étais à la fois attiré.e par les garçons et les filles, et cela me rendait confus.e et anxieux.se.Cela a commencé à se manifester physiquement, aussi. Je me rappelle avoir remarqué que j'avais des caractéristiques physiques qui semblaient appartenir aux deux sexes. J'avais des hanches arrondies et une silhouette gracieuse, mais j'avais également des épaules étroites et des muscles bien définis.Cela a rendu les choses encore plus difficiles pour moi à l'école. Mes camarades de classe semblaient avoir des attentes très claires en matière de genre, mais pour moi, tout était flou et indistinct. Je me sentais souvent isolé.e et incompris.e, et j'ai commencé à me retirer progressivement de mes camarades de classe.Heureusement, j'ai eu un soutien important de la part de mes parents et de ma soeur. Ils ont toujours été là pour moi, m'encourageant à être moi-même et à m'exprimer librement. Même si je me sentais différent.e des autres enfants de mon âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux pour me soutenir et m'aider à traverser les moments difficiles.Les filles et les garçons, quant à eux, ont continué à me rejeter, à me tourmenter et à me faire sentir comme si j'étais un étranger dans mon propre corps. Je ne savais pas comment réagir, comment me défendre, comment leur faire comprendre que je n'étais pas différent.e, juste unique.C'est à ce moment-là que j'ai commencé à me cacher, à éviter les autres enfants, à avoir honte de moi-même et de mon corps. Je ne voulais pas être différent.e, je ne voulais pas être rejeté.e. J'ai commencé à me sentir comme si j'étais seul.e au monde, sans personne pour m'accepter tel.le que j'étais.

Je me souviens des regards des professeurs, mal à l'aise face à ma présence dans leur classe. Ils ne savaient pas comment me nommer, s'ils devaient m'appeler "monsieur" ou "mademoiselle". Ils semblaient gêné.e.s, comme s'ils étaient confronté.e.s à une situation qu'ils ne savaient pas comment gérer. Leur inconfort m'a fait me sentir encore plus isolé.e et différent.e.Leur malaise a été palpable dès le début de l'année scolaire. Ils ne savaient pas comment m'appeler, ni s'ils devaient utiliser des pronoms masculins ou féminins. Certains ont essayé de s'en sortir en utilisant mon prénom sans ajouter de genre, mais cela ne faisait qu'accentuer mon sentiment de différence.J'ai essayé de leur expliquer ma situation, mais la plupart semblaient perdus et mal à l'aise. Je sentais leur regard scrutateur sur moi, leur hésitation à me désigner d'un pronom. J'ai essayé de leur faciliter la tâche en leur disant de m'appeler par mon prénom ou par un pronom neutre, mais cela ne faisait que rendre la situation encore plus gênante.Je me rappelle d'un cours de sciences où le professeur a demandé à la classe d'identifier les parties génitales masculines et féminines sur un diagramme. J'ai senti les regards se tourner vers moi, comme si j'étais une anomalie à étudier. Le professeur s'est tourné vers moi et m'a demandé si j'étais un garçon ou une fille. J'ai senti les larmes me monter aux yeux, mais j'ai réussi à répondre calmement que j'étais hermaphrodite.Il a hoché la tête et a continué son cours, mais j'ai senti que la classe était tendue et mal à l'aise. Les autres élèves ont évité mon regard et ont murmuré entre eux. J'ai essayé de rester concentré.e sur le cours, mais je sentais le poids de leur jugement sur moi.Cela n'a pas été la seule fois où j'ai été confronté.e à l'incompréhension et à l'intolérance de mes professeurs et de mes camarades de classe.

Un jour, alors que j'étais en troisième année, je me suis retrouvé.e avec une fille et un garçon de ma classe qui m'ont clairement rejeté.e. Nous étions en train de travailler ensemble sur un projet, et j'avais remarqué que quelque chose ne tournait pas rond.Finalement, la fille a brisé le silence en me lançant : "Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"J'ai été pris.e de court, je ne savais pas comment répondre. Le garçon a ajouté : "Ouais, tout le monde dit que tu es un.e mutant.e ou quelque chose comme ça. Tu ne sais même pas de quel côté tu es !" J'ai essayé de leur expliquer que j'étais hermaphrodite, mais ils m'ont interrompu.e en riant et en se moquant de moi. J'ai alors compris que je ne serais jamais accepté.e par eux et que je devais simplement m'éloigner.Je me suis levé.e de ma chaise et je suis parti.e, les larmes aux yeux. Je me sentais si seul.e et si isolé.e à ce moment-là. Je me suis promis de ne jamais laisser les opinions des autres m'affecter à nouveau, mais la douleur de ce rejet était difficile à supporter.Cependant, je savais que je ne pouvais pas laisser cette situation m'abattre. J'ai commencé à me concentrer sur les gens qui m'acceptaient pour qui j'étais, plutôt que de perdre du temps avec des gens qui ne voulaient pas me comprendre. Cela m'a permis de trouver des amis fidèles qui m'ont soutenu.e et aimé.e pour qui j'étais réellement.

Je me souviens encore de cette journée ensoleillée de septembre, il y a de cela deux ans. J'étais en train de jouer seul.e dans la cour de récréation, les autres enfants ne semblaient pas vouloir s'approcher de moi, comme si j'étais contagieux.se. Je regardais tristement les autres s'amuser, en souhaitant ardemment faire partie de leur groupe.

C'est alors que je l'ai vue. Une petite fille, avec des cheveux blancs et une peau si pâle qu'elle semblait presque transparente. Elle était seule aussi, assise sur un banc, en train de dessiner sur un petit carnet.

Je me suis approché.e d'elle, timidement.

"Salut", ai-je dit, en espérant qu'elle ne me repousse pas.

Elle a levé la tête, m'a regardé.e avec ses grands yeux bleus et a souri.

"Salut", a-t-elle répondu.

Nous avons commencé à discuter, et j'ai appris qu'elle s'appelait Camille. Elle était nouvelle dans l'école, et avait dû changer d'établissement à cause des moqueries et des brimades dont elle était victime dans son ancienne école. Je me suis senti.e immédiatement connecté.e à elle, comme si nous avions une sorte de connexion spéciale.Nous avons parlé pendant des heures, de tout et de rien. Elle m'a montré ses dessins, et j'ai été émerveillé.e par leur beauté et leur originalité. J'ai découvert que nous partagions la même passion pour les livres, la musique et les films, et que nous avions beaucoup d'autres choses en commun.Au fil des jours, Camille est devenue ma meilleure amie. Nous passions tout notre temps libre ensemble, à jouer, à rire, à rêver. Elle m'a aidé.e à surmonter ma solitude et mes peurs, et m'a montré qu'il y avait de la beauté et de la joie dans le monde, même dans les moments les plus sombres.
Et puis, un jour, j'ai décidé de lui parler de ma condition. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle me rejette comme les autres l'avaient fait. Mais je savais que je ne pouvais rien lui cacher, qu'elle méritait de connaître la vérité sur moi.

"Camille, je dois te dire quelque chose", lui ai-je dit, en sentant mon cœur battre la chamade. "Je suis hermaphrodite."

Elle a levé les yeux de son livre et m'a regardé.e droit dans les yeux. Je me suis mis.e à regretter d'avoir commencé la conversation.

"Et alors ?", m'a-t-elle répondu après un moment. "Ça ne change rien à ce que je pense de toi. Tu es toujours la même personne incroyable que j'ai rencontrée il y a quelques mois."

Cette simple réponse m'a rempli.e de joie et d'un sentiment de soulagement. Enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui m'acceptait tel.le que j'étais. Elle a souri et m'a tendu la main pour me faire signe de m'asseoir près d'elle. "Je suis là pour toi", a-t-elle ajouté.

Depuis ce jour-là, Camille et moi sommes devenu.e.s inséparables. Nous avons partagé nos histoires, nos rêves, nos craintes et nos espoirs. Nous avons formé un lien indescriptible, basé sur l'acceptation et l'empathie. J'ai découvert que Camille aussi avait été rejetée par les autres enfants à cause de son apparence différente. Elle était atteinte d'albinisme, une maladie qui affecte la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. Les autres enfants se moquaient d'elle, la traitaient de fantôme ou de vampire. Mais elle avait réussi à surmonter leur méchanceté et à trouver du réconfort dans les livres et les dessins.J'ai admiré sa force et sa résilience, et j'ai été inspiré.e par son courage et sa gentillesse. Elle m'a appris à voir la beauté dans la différence, à être fier.ère de qui j'étais et à ne jamais me cacher ni me sentir honteux.se.Nous avons traversé des moments difficiles ensemble, mais nous avons toujours réussi à les surmonter grâce à notre amitié et notre soutien mutuel. Camille est devenue ma famille, ma sœur de cœur, et je sais que je peux compter sur elle dans n'importe quelle situation.Grâce à elle, j'ai découvert la beauté de la vie et la richesse de la diversité. Elle m'a montré que l'amour et l'acceptation sont plus forts que la haine et l'intolérance, et que la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e.
Je suis reconnaissant.e d'avoir rencontré Camille, et je sais que notre amitié durera pour toujours.
C'est si beau ✨️💕
C'est un ressenti ou de l'inspiration ? (Désolée, je ne te connais pas vraiment)
Personnellement je me reconnais dans les deux personnages.
 
cielbleu
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Homme
Bonjour.Je m'appelle Alex,j'ai 15 ans.Je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois. Ma coupe de cheveux est un choix délibéré, car elle me permet de mettre en valeur mon visage fin et mes traits délicats. Je préfère les cheveux courts, car je trouve que cela me donne une apparence plus androgyne et me permet de me sentir plus en phase avec ma nature complexe. Quand je m'habille le matin, je choisis des vêtements qui sont simples et élégants, avec des coupes fluides qui soulignent ma silhouette angélique. J'aime les couleurs douces et pastel, qui reflètent ma nature douce et sensible.Parfois, je me sens différent.e des autres personnes de mon âge, car je sais que mon apparence est complexe et difficile à comprendre pour certains. Mais je me rappelle toujours que je suis unique et spécial.e, et que ma différence est une force qui me permet de voir le monde d'une manière différente et plus profonde.
Je suis Alex, et je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois.

Je me souviens encore de mes 8 ans quand, dans la cour de récréation, j'ai commencé à réaliser que j'étais différent.e des autres enfants. Mes camarades de classe semblaient se diviser en deux groupes distincts : les garçons et les filles. Mais pour moi, les choses étaient plus compliquées.J'avais toujours su que quelque chose était différent chez moi, mais je n'avais jamais vraiment compris quoi. Je me souviens d'avoir regardé mes camarades de classe se faire des câlins et se donner des bisous, mais je ne savais pas où je me situais par rapport à eux. J'étais à la fois attiré.e par les garçons et les filles, et cela me rendait confus.e et anxieux.se.Cela a commencé à se manifester physiquement, aussi. Je me rappelle avoir remarqué que j'avais des caractéristiques physiques qui semblaient appartenir aux deux sexes. J'avais des hanches arrondies et une silhouette gracieuse, mais j'avais également des épaules étroites et des muscles bien définis.Cela a rendu les choses encore plus difficiles pour moi à l'école. Mes camarades de classe semblaient avoir des attentes très claires en matière de genre, mais pour moi, tout était flou et indistinct. Je me sentais souvent isolé.e et incompris.e, et j'ai commencé à me retirer progressivement de mes camarades de classe.Heureusement, j'ai eu un soutien important de la part de mes parents et de ma soeur. Ils ont toujours été là pour moi, m'encourageant à être moi-même et à m'exprimer librement. Même si je me sentais différent.e des autres enfants de mon âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux pour me soutenir et m'aider à traverser les moments difficiles.Les filles et les garçons, quant à eux, ont continué à me rejeter, à me tourmenter et à me faire sentir comme si j'étais un étranger dans mon propre corps. Je ne savais pas comment réagir, comment me défendre, comment leur faire comprendre que je n'étais pas différent.e, juste unique.C'est à ce moment-là que j'ai commencé à me cacher, à éviter les autres enfants, à avoir honte de moi-même et de mon corps. Je ne voulais pas être différent.e, je ne voulais pas être rejeté.e. J'ai commencé à me sentir comme si j'étais seul.e au monde, sans personne pour m'accepter tel.le que j'étais.

Je me souviens des regards des professeurs, mal à l'aise face à ma présence dans leur classe. Ils ne savaient pas comment me nommer, s'ils devaient m'appeler "monsieur" ou "mademoiselle". Ils semblaient gêné.e.s, comme s'ils étaient confronté.e.s à une situation qu'ils ne savaient pas comment gérer. Leur inconfort m'a fait me sentir encore plus isolé.e et différent.e.Leur malaise a été palpable dès le début de l'année scolaire. Ils ne savaient pas comment m'appeler, ni s'ils devaient utiliser des pronoms masculins ou féminins. Certains ont essayé de s'en sortir en utilisant mon prénom sans ajouter de genre, mais cela ne faisait qu'accentuer mon sentiment de différence.J'ai essayé de leur expliquer ma situation, mais la plupart semblaient perdus et mal à l'aise. Je sentais leur regard scrutateur sur moi, leur hésitation à me désigner d'un pronom. J'ai essayé de leur faciliter la tâche en leur disant de m'appeler par mon prénom ou par un pronom neutre, mais cela ne faisait que rendre la situation encore plus gênante.Je me rappelle d'un cours de sciences où le professeur a demandé à la classe d'identifier les parties génitales masculines et féminines sur un diagramme. J'ai senti les regards se tourner vers moi, comme si j'étais une anomalie à étudier. Le professeur s'est tourné vers moi et m'a demandé si j'étais un garçon ou une fille. J'ai senti les larmes me monter aux yeux, mais j'ai réussi à répondre calmement que j'étais hermaphrodite.Il a hoché la tête et a continué son cours, mais j'ai senti que la classe était tendue et mal à l'aise. Les autres élèves ont évité mon regard et ont murmuré entre eux. J'ai essayé de rester concentré.e sur le cours, mais je sentais le poids de leur jugement sur moi.Cela n'a pas été la seule fois où j'ai été confronté.e à l'incompréhension et à l'intolérance de mes professeurs et de mes camarades de classe.

Un jour, alors que j'étais en troisième année, je me suis retrouvé.e avec une fille et un garçon de ma classe qui m'ont clairement rejeté.e. Nous étions en train de travailler ensemble sur un projet, et j'avais remarqué que quelque chose ne tournait pas rond.Finalement, la fille a brisé le silence en me lançant : "Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"J'ai été pris.e de court, je ne savais pas comment répondre. Le garçon a ajouté : "Ouais, tout le monde dit que tu es un.e mutant.e ou quelque chose comme ça. Tu ne sais même pas de quel côté tu es !" J'ai essayé de leur expliquer que j'étais hermaphrodite, mais ils m'ont interrompu.e en riant et en se moquant de moi. J'ai alors compris que je ne serais jamais accepté.e par eux et que je devais simplement m'éloigner.Je me suis levé.e de ma chaise et je suis parti.e, les larmes aux yeux. Je me sentais si seul.e et si isolé.e à ce moment-là. Je me suis promis de ne jamais laisser les opinions des autres m'affecter à nouveau, mais la douleur de ce rejet était difficile à supporter.Cependant, je savais que je ne pouvais pas laisser cette situation m'abattre. J'ai commencé à me concentrer sur les gens qui m'acceptaient pour qui j'étais, plutôt que de perdre du temps avec des gens qui ne voulaient pas me comprendre. Cela m'a permis de trouver des amis fidèles qui m'ont soutenu.e et aimé.e pour qui j'étais réellement.

Je me souviens encore de cette journée ensoleillée de septembre, il y a de cela deux ans. J'étais en train de jouer seul.e dans la cour de récréation, les autres enfants ne semblaient pas vouloir s'approcher de moi, comme si j'étais contagieux.se. Je regardais tristement les autres s'amuser, en souhaitant ardemment faire partie de leur groupe.

C'est alors que je l'ai vue. Une petite fille, avec des cheveux blancs et une peau si pâle qu'elle semblait presque transparente. Elle était seule aussi, assise sur un banc, en train de dessiner sur un petit carnet.

Je me suis approché.e d'elle, timidement.

"Salut", ai-je dit, en espérant qu'elle ne me repousse pas.

Elle a levé la tête, m'a regardé.e avec ses grands yeux bleus et a souri.

"Salut", a-t-elle répondu.

Nous avons commencé à discuter, et j'ai appris qu'elle s'appelait Camille. Elle était nouvelle dans l'école, et avait dû changer d'établissement à cause des moqueries et des brimades dont elle était victime dans son ancienne école. Je me suis senti.e immédiatement connecté.e à elle, comme si nous avions une sorte de connexion spéciale.Nous avons parlé pendant des heures, de tout et de rien. Elle m'a montré ses dessins, et j'ai été émerveillé.e par leur beauté et leur originalité. J'ai découvert que nous partagions la même passion pour les livres, la musique et les films, et que nous avions beaucoup d'autres choses en commun.Au fil des jours, Camille est devenue ma meilleure amie. Nous passions tout notre temps libre ensemble, à jouer, à rire, à rêver. Elle m'a aidé.e à surmonter ma solitude et mes peurs, et m'a montré qu'il y avait de la beauté et de la joie dans le monde, même dans les moments les plus sombres.
Et puis, un jour, j'ai décidé de lui parler de ma condition. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle me rejette comme les autres l'avaient fait. Mais je savais que je ne pouvais rien lui cacher, qu'elle méritait de connaître la vérité sur moi.

"Camille, je dois te dire quelque chose", lui ai-je dit, en sentant mon cœur battre la chamade. "Je suis hermaphrodite."

Elle a levé les yeux de son livre et m'a regardé.e droit dans les yeux. Je me suis mis.e à regretter d'avoir commencé la conversation.

"Et alors ?", m'a-t-elle répondu après un moment. "Ça ne change rien à ce que je pense de toi. Tu es toujours la même personne incroyable que j'ai rencontrée il y a quelques mois."

Cette simple réponse m'a rempli.e de joie et d'un sentiment de soulagement. Enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui m'acceptait tel.le que j'étais. Elle a souri et m'a tendu la main pour me faire signe de m'asseoir près d'elle. "Je suis là pour toi", a-t-elle ajouté.

Depuis ce jour-là, Camille et moi sommes devenu.e.s inséparables. Nous avons partagé nos histoires, nos rêves, nos craintes et nos espoirs. Nous avons formé un lien indescriptible, basé sur l'acceptation et l'empathie. J'ai découvert que Camille aussi avait été rejetée par les autres enfants à cause de son apparence différente. Elle était atteinte d'albinisme, une maladie qui affecte la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. Les autres enfants se moquaient d'elle, la traitaient de fantôme ou de vampire. Mais elle avait réussi à surmonter leur méchanceté et à trouver du réconfort dans les livres et les dessins.J'ai admiré sa force et sa résilience, et j'ai été inspiré.e par son courage et sa gentillesse. Elle m'a appris à voir la beauté dans la différence, à être fier.ère de qui j'étais et à ne jamais me cacher ni me sentir honteux.se.Nous avons traversé des moments difficiles ensemble, mais nous avons toujours réussi à les surmonter grâce à notre amitié et notre soutien mutuel. Camille est devenue ma famille, ma sœur de cœur, et je sais que je peux compter sur elle dans n'importe quelle situation.Grâce à elle, j'ai découvert la beauté de la vie et la richesse de la diversité. Elle m'a montré que l'amour et l'acceptation sont plus forts que la haine et l'intolérance, et que la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e.
Je suis reconnaissant.e d'avoir rencontré Camille, et je sais que notre amitié durera pour toujours.
Un conglomérat d'une multitude de chose. Je t'invite à lire Entre-deux : Axel.
C'est un beau texte !!!
 
🌻
🌻Sunflower🌻
Anonyme
Bonjour.Je m'appelle Alex,j'ai 15 ans.Je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois. Ma coupe de cheveux est un choix délibéré, car elle me permet de mettre en valeur mon visage fin et mes traits délicats. Je préfère les cheveux courts, car je trouve que cela me donne une apparence plus androgyne et me permet de me sentir plus en phase avec ma nature complexe. Quand je m'habille le matin, je choisis des vêtements qui sont simples et élégants, avec des coupes fluides qui soulignent ma silhouette angélique. J'aime les couleurs douces et pastel, qui reflètent ma nature douce et sensible.Parfois, je me sens différent.e des autres personnes de mon âge, car je sais que mon apparence est complexe et difficile à comprendre pour certains. Mais je me rappelle toujours que je suis unique et spécial.e, et que ma différence est une force qui me permet de voir le monde d'une manière différente et plus profonde.
Je suis Alex, et je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois.

Je me souviens encore de mes 8 ans quand, dans la cour de récréation, j'ai commencé à réaliser que j'étais différent.e des autres enfants. Mes camarades de classe semblaient se diviser en deux groupes distincts : les garçons et les filles. Mais pour moi, les choses étaient plus compliquées.J'avais toujours su que quelque chose était différent chez moi, mais je n'avais jamais vraiment compris quoi. Je me souviens d'avoir regardé mes camarades de classe se faire des câlins et se donner des bisous, mais je ne savais pas où je me situais par rapport à eux. J'étais à la fois attiré.e par les garçons et les filles, et cela me rendait confus.e et anxieux.se.Cela a commencé à se manifester physiquement, aussi. Je me rappelle avoir remarqué que j'avais des caractéristiques physiques qui semblaient appartenir aux deux sexes. J'avais des hanches arrondies et une silhouette gracieuse, mais j'avais également des épaules étroites et des muscles bien définis.Cela a rendu les choses encore plus difficiles pour moi à l'école. Mes camarades de classe semblaient avoir des attentes très claires en matière de genre, mais pour moi, tout était flou et indistinct. Je me sentais souvent isolé.e et incompris.e, et j'ai commencé à me retirer progressivement de mes camarades de classe.Heureusement, j'ai eu un soutien important de la part de mes parents et de ma soeur. Ils ont toujours été là pour moi, m'encourageant à être moi-même et à m'exprimer librement. Même si je me sentais différent.e des autres enfants de mon âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux pour me soutenir et m'aider à traverser les moments difficiles.Les filles et les garçons, quant à eux, ont continué à me rejeter, à me tourmenter et à me faire sentir comme si j'étais un étranger dans mon propre corps. Je ne savais pas comment réagir, comment me défendre, comment leur faire comprendre que je n'étais pas différent.e, juste unique.C'est à ce moment-là que j'ai commencé à me cacher, à éviter les autres enfants, à avoir honte de moi-même et de mon corps. Je ne voulais pas être différent.e, je ne voulais pas être rejeté.e. J'ai commencé à me sentir comme si j'étais seul.e au monde, sans personne pour m'accepter tel.le que j'étais.

Je me souviens des regards des professeurs, mal à l'aise face à ma présence dans leur classe. Ils ne savaient pas comment me nommer, s'ils devaient m'appeler "monsieur" ou "mademoiselle". Ils semblaient gêné.e.s, comme s'ils étaient confronté.e.s à une situation qu'ils ne savaient pas comment gérer. Leur inconfort m'a fait me sentir encore plus isolé.e et différent.e.Leur malaise a été palpable dès le début de l'année scolaire. Ils ne savaient pas comment m'appeler, ni s'ils devaient utiliser des pronoms masculins ou féminins. Certains ont essayé de s'en sortir en utilisant mon prénom sans ajouter de genre, mais cela ne faisait qu'accentuer mon sentiment de différence.J'ai essayé de leur expliquer ma situation, mais la plupart semblaient perdus et mal à l'aise. Je sentais leur regard scrutateur sur moi, leur hésitation à me désigner d'un pronom. J'ai essayé de leur faciliter la tâche en leur disant de m'appeler par mon prénom ou par un pronom neutre, mais cela ne faisait que rendre la situation encore plus gênante.Je me rappelle d'un cours de sciences où le professeur a demandé à la classe d'identifier les parties génitales masculines et féminines sur un diagramme. J'ai senti les regards se tourner vers moi, comme si j'étais une anomalie à étudier. Le professeur s'est tourné vers moi et m'a demandé si j'étais un garçon ou une fille. J'ai senti les larmes me monter aux yeux, mais j'ai réussi à répondre calmement que j'étais hermaphrodite.Il a hoché la tête et a continué son cours, mais j'ai senti que la classe était tendue et mal à l'aise. Les autres élèves ont évité mon regard et ont murmuré entre eux. J'ai essayé de rester concentré.e sur le cours, mais je sentais le poids de leur jugement sur moi.Cela n'a pas été la seule fois où j'ai été confronté.e à l'incompréhension et à l'intolérance de mes professeurs et de mes camarades de classe.

Un jour, alors que j'étais en troisième année, je me suis retrouvé.e avec une fille et un garçon de ma classe qui m'ont clairement rejeté.e. Nous étions en train de travailler ensemble sur un projet, et j'avais remarqué que quelque chose ne tournait pas rond.Finalement, la fille a brisé le silence en me lançant : "Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"J'ai été pris.e de court, je ne savais pas comment répondre. Le garçon a ajouté : "Ouais, tout le monde dit que tu es un.e mutant.e ou quelque chose comme ça. Tu ne sais même pas de quel côté tu es !" J'ai essayé de leur expliquer que j'étais hermaphrodite, mais ils m'ont interrompu.e en riant et en se moquant de moi. J'ai alors compris que je ne serais jamais accepté.e par eux et que je devais simplement m'éloigner.Je me suis levé.e de ma chaise et je suis parti.e, les larmes aux yeux. Je me sentais si seul.e et si isolé.e à ce moment-là. Je me suis promis de ne jamais laisser les opinions des autres m'affecter à nouveau, mais la douleur de ce rejet était difficile à supporter.Cependant, je savais que je ne pouvais pas laisser cette situation m'abattre. J'ai commencé à me concentrer sur les gens qui m'acceptaient pour qui j'étais, plutôt que de perdre du temps avec des gens qui ne voulaient pas me comprendre. Cela m'a permis de trouver des amis fidèles qui m'ont soutenu.e et aimé.e pour qui j'étais réellement.

Je me souviens encore de cette journée ensoleillée de septembre, il y a de cela deux ans. J'étais en train de jouer seul.e dans la cour de récréation, les autres enfants ne semblaient pas vouloir s'approcher de moi, comme si j'étais contagieux.se. Je regardais tristement les autres s'amuser, en souhaitant ardemment faire partie de leur groupe.

C'est alors que je l'ai vue. Une petite fille, avec des cheveux blancs et une peau si pâle qu'elle semblait presque transparente. Elle était seule aussi, assise sur un banc, en train de dessiner sur un petit carnet.

Je me suis approché.e d'elle, timidement.

"Salut", ai-je dit, en espérant qu'elle ne me repousse pas.

Elle a levé la tête, m'a regardé.e avec ses grands yeux bleus et a souri.

"Salut", a-t-elle répondu.

Nous avons commencé à discuter, et j'ai appris qu'elle s'appelait Camille. Elle était nouvelle dans l'école, et avait dû changer d'établissement à cause des moqueries et des brimades dont elle était victime dans son ancienne école. Je me suis senti.e immédiatement connecté.e à elle, comme si nous avions une sorte de connexion spéciale.Nous avons parlé pendant des heures, de tout et de rien. Elle m'a montré ses dessins, et j'ai été émerveillé.e par leur beauté et leur originalité. J'ai découvert que nous partagions la même passion pour les livres, la musique et les films, et que nous avions beaucoup d'autres choses en commun.Au fil des jours, Camille est devenue ma meilleure amie. Nous passions tout notre temps libre ensemble, à jouer, à rire, à rêver. Elle m'a aidé.e à surmonter ma solitude et mes peurs, et m'a montré qu'il y avait de la beauté et de la joie dans le monde, même dans les moments les plus sombres.
Et puis, un jour, j'ai décidé de lui parler de ma condition. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle me rejette comme les autres l'avaient fait. Mais je savais que je ne pouvais rien lui cacher, qu'elle méritait de connaître la vérité sur moi.

"Camille, je dois te dire quelque chose", lui ai-je dit, en sentant mon cœur battre la chamade. "Je suis hermaphrodite."

Elle a levé les yeux de son livre et m'a regardé.e droit dans les yeux. Je me suis mis.e à regretter d'avoir commencé la conversation.

"Et alors ?", m'a-t-elle répondu après un moment. "Ça ne change rien à ce que je pense de toi. Tu es toujours la même personne incroyable que j'ai rencontrée il y a quelques mois."

Cette simple réponse m'a rempli.e de joie et d'un sentiment de soulagement. Enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui m'acceptait tel.le que j'étais. Elle a souri et m'a tendu la main pour me faire signe de m'asseoir près d'elle. "Je suis là pour toi", a-t-elle ajouté.

Depuis ce jour-là, Camille et moi sommes devenu.e.s inséparables. Nous avons partagé nos histoires, nos rêves, nos craintes et nos espoirs. Nous avons formé un lien indescriptible, basé sur l'acceptation et l'empathie. J'ai découvert que Camille aussi avait été rejetée par les autres enfants à cause de son apparence différente. Elle était atteinte d'albinisme, une maladie qui affecte la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. Les autres enfants se moquaient d'elle, la traitaient de fantôme ou de vampire. Mais elle avait réussi à surmonter leur méchanceté et à trouver du réconfort dans les livres et les dessins.J'ai admiré sa force et sa résilience, et j'ai été inspiré.e par son courage et sa gentillesse. Elle m'a appris à voir la beauté dans la différence, à être fier.ère de qui j'étais et à ne jamais me cacher ni me sentir honteux.se.Nous avons traversé des moments difficiles ensemble, mais nous avons toujours réussi à les surmonter grâce à notre amitié et notre soutien mutuel. Camille est devenue ma famille, ma sœur de cœur, et je sais que je peux compter sur elle dans n'importe quelle situation.Grâce à elle, j'ai découvert la beauté de la vie et la richesse de la diversité. Elle m'a montré que l'amour et l'acceptation sont plus forts que la haine et l'intolérance, et que la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e.
Je suis reconnaissant.e d'avoir rencontré Camille, et je sais que notre amitié durera pour toujours.
Ok, je reprends depuis le début. 💪🏻😂
Non, plus sérieusement, tu écris super bien !
Et le sujet de ton histoire est une petite pépite.
 
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Bonjour.Je m'appelle Alex,j'ai 15 ans.Je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois. Ma coupe de cheveux est un choix délibéré, car elle me permet de mettre en valeur mon visage fin et mes traits délicats. Je préfère les cheveux courts, car je trouve que cela me donne une apparence plus androgyne et me permet de me sentir plus en phase avec ma nature complexe. Quand je m'habille le matin, je choisis des vêtements qui sont simples et élégants, avec des coupes fluides qui soulignent ma silhouette angélique. J'aime les couleurs douces et pastel, qui reflètent ma nature douce et sensible.Parfois, je me sens différent.e des autres personnes de mon âge, car je sais que mon apparence est complexe et difficile à comprendre pour certains. Mais je me rappelle toujours que je suis unique et spécial.e, et que ma différence est une force qui me permet de voir le monde d'une manière différente et plus profonde.
Je suis Alex, et je suis né.e avec une apparence qui est difficile à définir en termes de genre. Quand je regarde dans le miroir, je vois un visage qui est à la fois masculin et féminin, avec des traits qui semblent se fondre et se mélanger pour créer une apparence androgyne. C'est parfois difficile de s'identifier comme étant un homme ou une femme, car je ressens souvent que je suis les deux à la fois.

Je me souviens encore de mes 8 ans quand, dans la cour de récréation, j'ai commencé à réaliser que j'étais différent.e des autres enfants. Mes camarades de classe semblaient se diviser en deux groupes distincts : les garçons et les filles. Mais pour moi, les choses étaient plus compliquées.J'avais toujours su que quelque chose était différent chez moi, mais je n'avais jamais vraiment compris quoi. Je me souviens d'avoir regardé mes camarades de classe se faire des câlins et se donner des bisous, mais je ne savais pas où je me situais par rapport à eux. J'étais à la fois attiré.e par les garçons et les filles, et cela me rendait confus.e et anxieux.se.Cela a commencé à se manifester physiquement, aussi. Je me rappelle avoir remarqué que j'avais des caractéristiques physiques qui semblaient appartenir aux deux sexes. J'avais des hanches arrondies et une silhouette gracieuse, mais j'avais également des épaules étroites et des muscles bien définis.Cela a rendu les choses encore plus difficiles pour moi à l'école. Mes camarades de classe semblaient avoir des attentes très claires en matière de genre, mais pour moi, tout était flou et indistinct. Je me sentais souvent isolé.e et incompris.e, et j'ai commencé à me retirer progressivement de mes camarades de classe.Heureusement, j'ai eu un soutien important de la part de mes parents et de ma soeur. Ils ont toujours été là pour moi, m'encourageant à être moi-même et à m'exprimer librement. Même si je me sentais différent.e des autres enfants de mon âge, j'ai su que je pouvais compter sur eux pour me soutenir et m'aider à traverser les moments difficiles.Les filles et les garçons, quant à eux, ont continué à me rejeter, à me tourmenter et à me faire sentir comme si j'étais un étranger dans mon propre corps. Je ne savais pas comment réagir, comment me défendre, comment leur faire comprendre que je n'étais pas différent.e, juste unique.C'est à ce moment-là que j'ai commencé à me cacher, à éviter les autres enfants, à avoir honte de moi-même et de mon corps. Je ne voulais pas être différent.e, je ne voulais pas être rejeté.e. J'ai commencé à me sentir comme si j'étais seul.e au monde, sans personne pour m'accepter tel.le que j'étais.

Je me souviens des regards des professeurs, mal à l'aise face à ma présence dans leur classe. Ils ne savaient pas comment me nommer, s'ils devaient m'appeler "monsieur" ou "mademoiselle". Ils semblaient gêné.e.s, comme s'ils étaient confronté.e.s à une situation qu'ils ne savaient pas comment gérer. Leur inconfort m'a fait me sentir encore plus isolé.e et différent.e.Leur malaise a été palpable dès le début de l'année scolaire. Ils ne savaient pas comment m'appeler, ni s'ils devaient utiliser des pronoms masculins ou féminins. Certains ont essayé de s'en sortir en utilisant mon prénom sans ajouter de genre, mais cela ne faisait qu'accentuer mon sentiment de différence.J'ai essayé de leur expliquer ma situation, mais la plupart semblaient perdus et mal à l'aise. Je sentais leur regard scrutateur sur moi, leur hésitation à me désigner d'un pronom. J'ai essayé de leur faciliter la tâche en leur disant de m'appeler par mon prénom ou par un pronom neutre, mais cela ne faisait que rendre la situation encore plus gênante.Je me rappelle d'un cours de sciences où le professeur a demandé à la classe d'identifier les parties génitales masculines et féminines sur un diagramme. J'ai senti les regards se tourner vers moi, comme si j'étais une anomalie à étudier. Le professeur s'est tourné vers moi et m'a demandé si j'étais un garçon ou une fille. J'ai senti les larmes me monter aux yeux, mais j'ai réussi à répondre calmement que j'étais hermaphrodite.Il a hoché la tête et a continué son cours, mais j'ai senti que la classe était tendue et mal à l'aise. Les autres élèves ont évité mon regard et ont murmuré entre eux. J'ai essayé de rester concentré.e sur le cours, mais je sentais le poids de leur jugement sur moi.Cela n'a pas été la seule fois où j'ai été confronté.e à l'incompréhension et à l'intolérance de mes professeurs et de mes camarades de classe.

Un jour, alors que j'étais en troisième année, je me suis retrouvé.e avec une fille et un garçon de ma classe qui m'ont clairement rejeté.e. Nous étions en train de travailler ensemble sur un projet, et j'avais remarqué que quelque chose ne tournait pas rond.Finalement, la fille a brisé le silence en me lançant : "Pourquoi es-tu si bizarre ? Tu es à la fois un garçon et une fille ?"J'ai été pris.e de court, je ne savais pas comment répondre. Le garçon a ajouté : "Ouais, tout le monde dit que tu es un.e mutant.e ou quelque chose comme ça. Tu ne sais même pas de quel côté tu es !" J'ai essayé de leur expliquer que j'étais hermaphrodite, mais ils m'ont interrompu.e en riant et en se moquant de moi. J'ai alors compris que je ne serais jamais accepté.e par eux et que je devais simplement m'éloigner.Je me suis levé.e de ma chaise et je suis parti.e, les larmes aux yeux. Je me sentais si seul.e et si isolé.e à ce moment-là. Je me suis promis de ne jamais laisser les opinions des autres m'affecter à nouveau, mais la douleur de ce rejet était difficile à supporter.Cependant, je savais que je ne pouvais pas laisser cette situation m'abattre. J'ai commencé à me concentrer sur les gens qui m'acceptaient pour qui j'étais, plutôt que de perdre du temps avec des gens qui ne voulaient pas me comprendre. Cela m'a permis de trouver des amis fidèles qui m'ont soutenu.e et aimé.e pour qui j'étais réellement.

Je me souviens encore de cette journée ensoleillée de septembre, il y a de cela deux ans. J'étais en train de jouer seul.e dans la cour de récréation, les autres enfants ne semblaient pas vouloir s'approcher de moi, comme si j'étais contagieux.se. Je regardais tristement les autres s'amuser, en souhaitant ardemment faire partie de leur groupe.

C'est alors que je l'ai vue. Une petite fille, avec des cheveux blancs et une peau si pâle qu'elle semblait presque transparente. Elle était seule aussi, assise sur un banc, en train de dessiner sur un petit carnet.

Je me suis approché.e d'elle, timidement.

"Salut", ai-je dit, en espérant qu'elle ne me repousse pas.

Elle a levé la tête, m'a regardé.e avec ses grands yeux bleus et a souri.

"Salut", a-t-elle répondu.

Nous avons commencé à discuter, et j'ai appris qu'elle s'appelait Camille. Elle était nouvelle dans l'école, et avait dû changer d'établissement à cause des moqueries et des brimades dont elle était victime dans son ancienne école. Je me suis senti.e immédiatement connecté.e à elle, comme si nous avions une sorte de connexion spéciale.Nous avons parlé pendant des heures, de tout et de rien. Elle m'a montré ses dessins, et j'ai été émerveillé.e par leur beauté et leur originalité. J'ai découvert que nous partagions la même passion pour les livres, la musique et les films, et que nous avions beaucoup d'autres choses en commun.Au fil des jours, Camille est devenue ma meilleure amie. Nous passions tout notre temps libre ensemble, à jouer, à rire, à rêver. Elle m'a aidé.e à surmonter ma solitude et mes peurs, et m'a montré qu'il y avait de la beauté et de la joie dans le monde, même dans les moments les plus sombres.
Et puis, un jour, j'ai décidé de lui parler de ma condition. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle me rejette comme les autres l'avaient fait. Mais je savais que je ne pouvais rien lui cacher, qu'elle méritait de connaître la vérité sur moi.

"Camille, je dois te dire quelque chose", lui ai-je dit, en sentant mon cœur battre la chamade. "Je suis hermaphrodite."

Elle a levé les yeux de son livre et m'a regardé.e droit dans les yeux. Je me suis mis.e à regretter d'avoir commencé la conversation.

"Et alors ?", m'a-t-elle répondu après un moment. "Ça ne change rien à ce que je pense de toi. Tu es toujours la même personne incroyable que j'ai rencontrée il y a quelques mois."

Cette simple réponse m'a rempli.e de joie et d'un sentiment de soulagement. Enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui m'acceptait tel.le que j'étais. Elle a souri et m'a tendu la main pour me faire signe de m'asseoir près d'elle. "Je suis là pour toi", a-t-elle ajouté.

Depuis ce jour-là, Camille et moi sommes devenu.e.s inséparables. Nous avons partagé nos histoires, nos rêves, nos craintes et nos espoirs. Nous avons formé un lien indescriptible, basé sur l'acceptation et l'empathie. J'ai découvert que Camille aussi avait été rejetée par les autres enfants à cause de son apparence différente. Elle était atteinte d'albinisme, une maladie qui affecte la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. Les autres enfants se moquaient d'elle, la traitaient de fantôme ou de vampire. Mais elle avait réussi à surmonter leur méchanceté et à trouver du réconfort dans les livres et les dessins.J'ai admiré sa force et sa résilience, et j'ai été inspiré.e par son courage et sa gentillesse. Elle m'a appris à voir la beauté dans la différence, à être fier.ère de qui j'étais et à ne jamais me cacher ni me sentir honteux.se.Nous avons traversé des moments difficiles ensemble, mais nous avons toujours réussi à les surmonter grâce à notre amitié et notre soutien mutuel. Camille est devenue ma famille, ma sœur de cœur, et je sais que je peux compter sur elle dans n'importe quelle situation.Grâce à elle, j'ai découvert la beauté de la vie et la richesse de la diversité. Elle m'a montré que l'amour et l'acceptation sont plus forts que la haine et l'intolérance, et que la véritable beauté réside dans la singularité de chacun.e.
Je suis reconnaissant.e d'avoir rencontré Camille, et je sais que notre amitié durera pour toujours.
C'est vraiment très bien écrit avec un beau message sur la tolérance, la résilience, l'amitié et la différence ! 😁
Bravo à toi ! 👏
 

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