C’était le même pseudo ? Peut être qu’elle écrit sur plusieurs plateformes 🤷♀️Bonjour. Vos textes m'en rappellent certains, venant d'un site de récit érotique. C'est du copié collé !
Oui cest bon de se branlerAlors en vrai pour la branlette on est jamais mieux servis que par soi même
Bonsoir tu aime être vue ? Comment ?Merci pour vos appréciations.
Pour informations.
Je publie sur différents forums. Toujours sous le même pseudo.
Mes textes et mes récites sont sous copyright -© -
Je les poste donc selon mes convenances
Bisou
Coucou trop agréable j'aime cette sensation et j'espère que tu le fera encore et j'espère le savoir bisousÊtre vue
Nous sommes en 2017. Ce jour là, je suis en forêt sur June, la jument que je monte durant les beaux jours. C'est un des trois chevaux que nous laissons en pension au centre hippique. Maman monte souvent avec moi. Papa un peu moins. Cet après-midi de juin je suis seule sur ce sentier. Il fait beau. Il fait doux. Je suis plongée dans quelques réflexions quand au DNB que je prépare et que je passe d'ici quelques jours. L'an prochain je passe en seconde.
J'arrive à l'étang des trois chênes. En fait ce sont trois étangs d'environs cent mètres sur cent mètres. Entourés d'arbres majestueux. L'endroit est magique. À la belle saison il y a des pêcheurs. Il y en a d'ailleurs un, là-bas, de l'autre côté. Il est concentré sur l'hameçon jaune qui flotte à la surface de l'eau. Je descends du cheval que j'attache avec sa longe au tronc d'un acacias. Je reste derrière les genêts en fleurs.
J'ai toujours une toute petite paire de jumelles dans ma sacoche. Je la sors pour regarder. Elles grossissent huit fois. Suffisamment pour observer les détails qui m'intéressent. C'est un homme vêtu d'une tenue paramilitaire. L'âge de mon papy. Sans doute la soixantaine passée. Me voilà à nouveau dans mon rôle de voyeuse. J'ai soudain une fulgurance qui traverse mon esprit. Je passe ma main libre entre mes cuisses.
Je porte mon pantalon d'équitation. Aussi moulant qu'un collant. Je me touche. Je palpe les deux petites bosses que font les lèvres de mon sexe séparées par la couture de mon pantalon. J'aime beaucoup les faire rouler sous mes doigts. Je suis rapidement très excitée. Je suis parfaitement invisible. Personne ne vient d'ailleurs par ici si ce n'est d'autres rares pêcheurs. Je déboutonne mon pantalon. Je le descends à mi-cuisses avec ma culotte.
De me masturber ainsi dans la douceur de cette fin d'après-midi de juin me fait frissonner de plaisir. Parfois je saisis la paire de jumelles pour scruter dans toutes les directions. Personne. Je m'abandonne davantage à ma passion. Ce n'est pas la première fois que je fais "ça" en extérieur. C'est toujours un bonheur. Ce papillon blanc qui virevolte autour de moi. Le gazouillis des oiseaux. Il n'y a pas la moindre brise. L'eau est immobile. Un enchantement.
Je m'assois sur une souche. Je descends mon pantalon et ma culotte sur les mollets. Il fait trop chaud. Mon activité me couvre de sueur. Comme c'est bon. Ça picote de partout. << Bonjour mademoiselle ! >>. Là, à une dizaine de mètres, un petit homme qui me fait un immense sourire. << Excusez-moi, je ne fais que passer ! >> dit-il en tirant son chien minuscule. Jamais dans ma vie je n'ai eu aussi honte. J'aurais voulu disparaître dans un trou de souris.
Le monsieur continue son chemin. Je le regarde disparaître derrière les fourrés. Je remonte mes vêtements à toute vitesse. Je suis haletante. J'ai le souffle court. Je suis morte de honte. Terriblement gênée. Je remonte sur mon cheval avec toute sortes de pensées plus stupides les unes que les autres. L'esprit encore confus de ce qui vient de m'arriver. Et si je rencontrais un jour cet homme, dans la rue, au supermarché, me reconnaîtra t-il ? J'ai honte. Quelle horreur !
Pourtant, insidieusement, en revenant vers le centre hippique, il y a une curieuse excitation qui revient. Cette excitation se mêle au sentiment de honte. Tout au fond de moi il y a comme un basculement. Une inversion des sentiments. Je revis intérieurement la scène. J'essaie de me mettre à la place de cet homme qui vient de me surprendre. Au bout d'une dizaine de minutes, du chaos intérieur de mes ressentis, ne subsiste que l'excitation. Comme une exaltation.
Je viens de découvrir l'indicible plaisir d'être vue. Je viens d'être surprise entrain de me masturber. J'ai envie de m'arrêter. Je n'ai plus qu'une envie. Vivre une nouvelle fois cette situation. Je me surprends à échafauder des stratégies un peu folles. J'arrive au centre hippique. J'ai cette curieuse impression que les autres filles lisent tout au fond de moi. Je n'ose plus soutenir les regards. L'excitation prodigieuse dans laquelle je me trouve trouble ma lucidité. Je préfère me sauver rapidement.
À la maison, seule dans ma chambre, en me masturbant, couchée sur mon lit, devant le grand miroir de l'armoire, je prends conscience que rien ne sera plus comme avant. Je veux revivre ces émotions, ce mélange de honte et d'excitation. C'est trop bon. Mon image dans le miroir, depuis quelques mois m'érotise énormément. J'aime me regarder faire. Ce soir là, avant de descendre manger, je connais l'orgasme le plus extraordinaire. Maman me regarde d'une curieuse façon.
Bisou
J'adore tes envies encoreLe plaisir d'être vue
Première expérience délibérée
Une semaine a passé depuis ce "choc" émotionnel. Je n'ai cessé d'y penser. Surtout le soir, après mes devoirs et mes préparations. Je suis une excellente élève. Je tiens à le rester. Je privilégie donc toujours mes études. J'aime l'ambiance du lycée et les cours me passionnent. Je suis adorée de mes professeurs. Je sais faire le nécessaire et entretenir ces relations de professeurs à l'élève studieuse que je suis. Le plaisir des sens n'emporte jamais la victoire sur ma volonté.
Je suis à bicyclette cette fois. Un bon VTC qui m'emporte à travers la magnifique campagne dans laquelle je vis depuis toujours. Je reviens bien évidemment sur les lieux où j'ai découvert de nouveaux frissons. L'étang des trois chênes. Il fait beau. J'ai emmené de quoi réviser. L'ultime épreuve de mon DNB a lieu demain matin. Cette fin d'après-midi de juin est tellement agréable. Il est 18 h. J'ai une petite heure à moi et je ne suis qu'à trois kilomètres de la maison.
Mais c'est une autre idée que j'ai derrière la tête. Mes cours sont parfaitement révisés. Je suis affutée pour l'épreuve finale demain matin. Le cahier de notes et les deux livres que je tire de mon petit sac à dos ne sont que dérisoires prétextes. Il n'y a personne. Je scrute scrupuleusement les environs avec ma petite paire de jumelles. Là-bas, un pêcheur. Je ne l'avais pas vu. Leurs accoutrements paramilitaires les dissimulent à la vue. Quelle idée saugrenue !
Cette fois, je suis bien décidée à revivre mes émotions de la semaine dernière. Je sais qu'elles seront supérieures car souhaitées. Je retire ma culotte. Je suis dans les fourrés. Mon téléphone dans une main, au cas où... Ma bicyclette tournée vers le sentier. Je suis prête à filer à la moindre alerte. Je suis d'une prudence de Sioux. Rien ne doit échapper à mon contrôle total. Je tiens à vivre les instants qui vont venir dans la quiétude et la sérénité. Je maîtrise toujours tout.
Je regarde avec les jumelles. Les pêcheurs sont le plus souvent des hommes d'âges mûrs. Celui-là est un sénior vautré dans son fauteuil pliant et à dossier. Il est à une cinquantaine de mètres. Il lève rarement les yeux. Il allume un cigare. Il observe le flotteur de sa canne à pêche. Je me concentre. Je respire plusieurs fois à fond. Je sens les picotements de sueur dans mon dos. L'excitation me gagne. Je retiens mon souffle. Je quitte ma cachette. Je viens au bord de l'eau.
Je m'accroupis. J'ai mes lunettes noires de soleil. Mes cheveux défaits qui masquent mon visage. Je me sais dissimulée derrière un anonymat total. Je reste ainsi, jambes serrées. Il me faut un second courage. Je me concentre. Je louche derrière les verres fumés de mes lunettes. L'homme m'a vu. Je suis couverte de frissons. J'ai l'impression qu'un profond silence vient de s'installer sur l'étang et ses environs. Enveloppant mes délicieux frissons. Ce sentiment de honte me gagne.
Ce sentiment que j'ai tant souhaité pour revivre ces sensations uniques et incomparables. Il me faut faire preuve d'un nouveau courage. Celui d'écarter mes cuisses. C'est une intention délibérée. Je veux être vue. C'est ma volonté. Je mords ma lèvre inférieure afin de faire cesser les tremblements de ma mâchoire. J'écarte les cuisses. Mon Dieu. Quelle émotion. J'en ai des vertiges. Je vais m'évanouir. Je dois me retenir d'une main au tronc de l'acacias à ma droite. Je reste ainsi, immobile.
Je peux sentir mon cœur battre la chamade. Jusque dans mes tempes. Je sens la sueur ruisseler dans mon dos, entre mes seins minuscules. Ça me picote le nez, les joues. Je vais perdre connaissance. C'est trop bon. L'intensité de ce moment restera à jamais gravé en moi. Impossible de faire pipi. Ce serait pourtant tellement bien. Je me moque éperdument de ce que cet inconnu peut ressentir à cet instant. Seul compte mon plaisir. Mes sensations, Mes émotions. Le reste m'importe très peu. Je ne désire rien d'autre.
Il y a soudain des voix. Là-bas, plus loin, c'est un couple qui arrive par ici. Ils se tiennent par la main, s'arrêtent pour se faire des bisous. Je me redresse prestement. Ma culotte pend au guidon de mon vélo. Je n'ai pas le temps de l'enfiler. Je monte sur ma bicyclette. Je déteste le contact de la selle contre mon sexe trempé. Ça glisse en plus. C'est détestable. Les amoureux me font un beau sourire sans se douter de rien. Je m'arrête un peu plus loin pour remettre ma culotte.
Je rentre à la maison toute contente d'avoir réalisé mon souhait. Nous mangeons pour 19 h15...
Bisou
Serais tu comme Valona un peu exhibitionniste ?J'adore tes envies encore
Bonsoir trop agréable et j'espère que vous allez nous faire partagé certaines histoire j'aimebonjour vallona !! je lis ton histoire en allant regarder les réponses à mes demandes je veux te dire que moi aussi j'aime être vue j'ai 38 ans donc je pourrais être ta mère depuis l'âge de mes 8 ans avec mes parents nous sommes naturistes au cap d'agde j'ai découvert au fil du temps que j'aime me montrer nue Depuis que je suis mariée et mère de deux filles j'ai fait réaliser une épilation intégrale de mon sexe et avec ma fille ainée nous passons nos journées en été à bronzer sur la plage sur des transat mon plaisir est de m'allonger sur le dos les jambes bien écartées pour laisser rentrer le soleil et le vent le plus possible da j'aime aussi sentir les hommes autour de moi me regarder droit dans mon intimité je crois que je suis un peu exhibitionniste alors pour ton histoire on est un peu pareilles voila ce que je voulais te dire Bises d'une maman impudique
Bonsoir Valona très excitante tes histoires merciÊtre vue
Nous sommes en 2017. Ce jour là, je suis en forêt sur June, la jument que je monte durant les beaux jours. C'est un des trois chevaux que nous laissons en pension au centre hippique. Maman monte souvent avec moi. Papa un peu moins. Cet après-midi de juin je suis seule sur ce sentier. Il fait beau. Il fait doux. Je suis plongée dans quelques réflexions quand au DNB que je prépare et que je passe d'ici quelques jours. L'an prochain je passe en seconde.
J'arrive à l'étang des trois chênes. En fait ce sont trois étangs d'environs cent mètres sur cent mètres. Entourés d'arbres majestueux. L'endroit est magique. À la belle saison il y a des pêcheurs. Il y en a d'ailleurs un, là-bas, de l'autre côté. Il est concentré sur l'hameçon jaune qui flotte à la surface de l'eau. Je descends du cheval que j'attache avec sa longe au tronc d'un acacias. Je reste derrière les genêts en fleurs.
J'ai toujours une toute petite paire de jumelles dans ma sacoche. Je la sors pour regarder. Elles grossissent huit fois. Suffisamment pour observer les détails qui m'intéressent. C'est un homme vêtu d'une tenue paramilitaire. L'âge de mon papy. Sans doute la soixantaine passée. Me voilà à nouveau dans mon rôle de voyeuse. J'ai soudain une fulgurance qui traverse mon esprit. Je passe ma main libre entre mes cuisses.
Je porte mon pantalon d'équitation. Aussi moulant qu'un collant. Je me touche. Je palpe les deux petites bosses que font les lèvres de mon sexe séparées par la couture de mon pantalon. J'aime beaucoup les faire rouler sous mes doigts. Je suis rapidement très excitée. Je suis parfaitement invisible. Personne ne vient d'ailleurs par ici si ce n'est d'autres rares pêcheurs. Je déboutonne mon pantalon. Je le descends à mi-cuisses avec ma culotte.
De me masturber ainsi dans la douceur de cette fin d'après-midi de juin me fait frissonner de plaisir. Parfois je saisis la paire de jumelles pour scruter dans toutes les directions. Personne. Je m'abandonne davantage à ma passion. Ce n'est pas la première fois que je fais "ça" en extérieur. C'est toujours un bonheur. Ce papillon blanc qui virevolte autour de moi. Le gazouillis des oiseaux. Il n'y a pas la moindre brise. L'eau est immobile. Un enchantement.
Je m'assois sur une souche. Je descends mon pantalon et ma culotte sur les mollets. Il fait trop chaud. Mon activité me couvre de sueur. Comme c'est bon. Ça picote de partout. << Bonjour mademoiselle ! >>. Là, à une dizaine de mètres, un petit homme qui me fait un immense sourire. << Excusez-moi, je ne fais que passer ! >> dit-il en tirant son chien minuscule. Jamais dans ma vie je n'ai eu aussi honte. J'aurais voulu disparaître dans un trou de souris.
Le monsieur continue son chemin. Je le regarde disparaître derrière les fourrés. Je remonte mes vêtements à toute vitesse. Je suis haletante. J'ai le souffle court. Je suis morte de honte. Terriblement gênée. Je remonte sur mon cheval avec toute sortes de pensées plus stupides les unes que les autres. L'esprit encore confus de ce qui vient de m'arriver. Et si je rencontrais un jour cet homme, dans la rue, au supermarché, me reconnaîtra t-il ? J'ai honte. Quelle horreur !
Pourtant, insidieusement, en revenant vers le centre hippique, il y a une curieuse excitation qui revient. Cette excitation se mêle au sentiment de honte. Tout au fond de moi il y a comme un basculement. Une inversion des sentiments. Je revis intérieurement la scène. J'essaie de me mettre à la place de cet homme qui vient de me surprendre. Au bout d'une dizaine de minutes, du chaos intérieur de mes ressentis, ne subsiste que l'excitation. Comme une exaltation.
Je viens de découvrir l'indicible plaisir d'être vue. Je viens d'être surprise entrain de me masturber. J'ai envie de m'arrêter. Je n'ai plus qu'une envie. Vivre une nouvelle fois cette situation. Je me surprends à échafauder des stratégies un peu folles. J'arrive au centre hippique. J'ai cette curieuse impression que les autres filles lisent tout au fond de moi. Je n'ose plus soutenir les regards. L'excitation prodigieuse dans laquelle je me trouve trouble ma lucidité. Je préfère me sauver rapidement.
À la maison, seule dans ma chambre, en me masturbant, couchée sur mon lit, devant le grand miroir de l'armoire, je prends conscience que rien ne sera plus comme avant. Je veux revivre ces émotions, ce mélange de honte et d'excitation. C'est trop bon. Mon image dans le miroir, depuis quelques mois m'érotise énormément. J'aime me regarder faire. Ce soir là, avant de descendre manger, je connais l'orgasme le plus extraordinaire. Maman me regarde d'une curieuse façon.
Bisou
J'avoue que je me suis masturber avec ton histoireÊtre vue
Nous sommes en 2017. Ce jour là, je suis en forêt sur June, la jument que je monte durant les beaux jours. C'est un des trois chevaux que nous laissons en pension au centre hippique. Maman monte souvent avec moi. Papa un peu moins. Cet après-midi de juin je suis seule sur ce sentier. Il fait beau. Il fait doux. Je suis plongée dans quelques réflexions quand au DNB que je prépare et que je passe d'ici quelques jours. L'an prochain je passe en seconde.
J'arrive à l'étang des trois chênes. En fait ce sont trois étangs d'environs cent mètres sur cent mètres. Entourés d'arbres majestueux. L'endroit est magique. À la belle saison il y a des pêcheurs. Il y en a d'ailleurs un, là-bas, de l'autre côté. Il est concentré sur l'hameçon jaune qui flotte à la surface de l'eau. Je descends du cheval que j'attache avec sa longe au tronc d'un acacias. Je reste derrière les genêts en fleurs.
J'ai toujours une toute petite paire de jumelles dans ma sacoche. Je la sors pour regarder. Elles grossissent huit fois. Suffisamment pour observer les détails qui m'intéressent. C'est un homme vêtu d'une tenue paramilitaire. L'âge de mon papy. Sans doute la soixantaine passée. Me voilà à nouveau dans mon rôle de voyeuse. J'ai soudain une fulgurance qui traverse mon esprit. Je passe ma main libre entre mes cuisses.
Je porte mon pantalon d'équitation. Aussi moulant qu'un collant. Je me touche. Je palpe les deux petites bosses que font les lèvres de mon sexe séparées par la couture de mon pantalon. J'aime beaucoup les faire rouler sous mes doigts. Je suis rapidement très excitée. Je suis parfaitement invisible. Personne ne vient d'ailleurs par ici si ce n'est d'autres rares pêcheurs. Je déboutonne mon pantalon. Je le descends à mi-cuisses avec ma culotte.
De me masturber ainsi dans la douceur de cette fin d'après-midi de juin me fait frissonner de plaisir. Parfois je saisis la paire de jumelles pour scruter dans toutes les directions. Personne. Je m'abandonne davantage à ma passion. Ce n'est pas la première fois que je fais "ça" en extérieur. C'est toujours un bonheur. Ce papillon blanc qui virevolte autour de moi. Le gazouillis des oiseaux. Il n'y a pas la moindre brise. L'eau est immobile. Un enchantement.
Je m'assois sur une souche. Je descends mon pantalon et ma culotte sur les mollets. Il fait trop chaud. Mon activité me couvre de sueur. Comme c'est bon. Ça picote de partout. << Bonjour mademoiselle ! >>. Là, à une dizaine de mètres, un petit homme qui me fait un immense sourire. << Excusez-moi, je ne fais que passer ! >> dit-il en tirant son chien minuscule. Jamais dans ma vie je n'ai eu aussi honte. J'aurais voulu disparaître dans un trou de souris.
Le monsieur continue son chemin. Je le regarde disparaître derrière les fourrés. Je remonte mes vêtements à toute vitesse. Je suis haletante. J'ai le souffle court. Je suis morte de honte. Terriblement gênée. Je remonte sur mon cheval avec toute sortes de pensées plus stupides les unes que les autres. L'esprit encore confus de ce qui vient de m'arriver. Et si je rencontrais un jour cet homme, dans la rue, au supermarché, me reconnaîtra t-il ? J'ai honte. Quelle horreur !
Pourtant, insidieusement, en revenant vers le centre hippique, il y a une curieuse excitation qui revient. Cette excitation se mêle au sentiment de honte. Tout au fond de moi il y a comme un basculement. Une inversion des sentiments. Je revis intérieurement la scène. J'essaie de me mettre à la place de cet homme qui vient de me surprendre. Au bout d'une dizaine de minutes, du chaos intérieur de mes ressentis, ne subsiste que l'excitation. Comme une exaltation.
Je viens de découvrir l'indicible plaisir d'être vue. Je viens d'être surprise entrain de me masturber. J'ai envie de m'arrêter. Je n'ai plus qu'une envie. Vivre une nouvelle fois cette situation. Je me surprends à échafauder des stratégies un peu folles. J'arrive au centre hippique. J'ai cette curieuse impression que les autres filles lisent tout au fond de moi. Je n'ose plus soutenir les regards. L'excitation prodigieuse dans laquelle je me trouve trouble ma lucidité. Je préfère me sauver rapidement.
À la maison, seule dans ma chambre, en me masturbant, couchée sur mon lit, devant le grand miroir de l'armoire, je prends conscience que rien ne sera plus comme avant. Je veux revivre ces émotions, ce mélange de honte et d'excitation. C'est trop bon. Mon image dans le miroir, depuis quelques mois m'érotise énormément. J'aime me regarder faire. Ce soir là, avant de descendre manger, je connais l'orgasme le plus extraordinaire. Maman me regarde d'une curieuse façon.
Bisou
Bonsoir qu'elle culotte tu portais ?Un petit frisson exhibitionniste - 1
Je suis à bicyclette sur la petite route qui mène du centre hippique au bourg. Deux kilomètres. Il y a une chapelle sur la droite, juste avant le dernier virage. Il y a quelques voitures garées là. Je suis une fille d'un naturel curieux. Je prends le chemin qui contourne le mur du cimetière. Je pose mon vélo contre le socle du calvaire. Il y a des gens qui s'affairent. Certainement une exposition de peinture ou de sculpture. J'entre dans la chapelle rarement ouverte. Le lieu est désacralisé.
Il y a des toiles suspendues à des cimaises provisoires. Des sculptures posées sur des socles en résine imitant la pierre. Je suis assise sur un des trois bancs. J'observe avec intérêt les allées et venues. Un monsieur me demande si je participe à l'exposition de dimanche. 12 mai (2019). Je le rassure. Je ne fais que regarder. Il bavarde un peu avec moi. Il est membre d'une association qui organise de petites manifestations culturelles dans les lieux de cultes de la région.
Il me laisse pour aller rejoindre une dame qui dépose des objets dans une sorte de vitrine. Il y a un jeune homme très élégant qui vérifie l'alignement des toiles fixées sur la gauche. Je suis en jupette sport. J'écarte un peu mes cuisses. Il regarde quelquefois dans ma direction. Je fais semblant de feuilleter une brochure trouvée sur le banc. Je porte mes lunettes de soleil. Je peux donc loucher tout à loisir sans que personne ne s'en doute. J'excelle dans ce genre de pratique assez vicieuse.
J'aimerais retirer ma culotte pour rajouter un peu de piment à mon exhibition. Je grelotte. L'intérieur de la chapelle est plein de cette fraîcheur pintannière parfois assez désagréable. Je me contente d'écarter mes cuisses encore davantage. Le jeune homme est le seul à pouvoir s'en apercevoir. Il ne s'en prive pas. Il me croit absorbée dans ma lecture. Derrière mes lunettes noires, je vois tout. Je reste encore quelques minutes. Je suis morte de froid. Je salue les gens présent et je m'en vais.
Je retrouve le soleil avec joie. Je suis assise sur le muret à côté de mon vélo. J'ai une jambe relevée. Impossible de ne pas avoir une vue parfaite sur ma culotte. Je fais dépasser les poils de chaque côté. J'ai une toison pubienne volontairement dense. Je reste ainsi un moment avec le secret espoir que le type sorte. Qu'il tombe sur le spectacle. Hélas, c'est une des deux vieilles dames qui me surprend ainsi. Je me sens ridicule. Je fais un sourire gêné. Je monte sur ma bicyclette et je file à toute vitesse.
Bisou
En quoi ça de l'importance la culotte ? Je comprends pasBonsoir qu'elle culotte tu portais ?
Non seulement cette question n’a aucun rapport, mais c’est également très étrange cette question qui est d’après moi très mal placée, voir malsaine.Bonsoir qu'elle culotte tu portais ?
Je voyais pas ça pour le côté malsain mais pour le côté quelle importance la forme de la culotte et la couleurNon seulement cette question n’a aucun rapport, mais c’est également très étrange cette question qui est d’après moi très mal placée, voir malsaine.
Je trouve ce genre de question un peu vulgaire et même peut être vicieuse !!!Bonsoir qu'elle culotte tu portais ?
Je ne sais pas qui est "Douce" mais ses questions et ses suggestions sont toutes insidieuses et pernicieuses.Je trouve ce genre de question un peu vulgaire et même peut être vicieuse !!!
Je ne suis certainement pas avec une mentalité "bonne sœur coincée 1900" mais je pense ça aussi ! En tout cas c'est ridicule dans un forum comme celui-ci 😮 😮 😮Je ne sais pas qui est "Douce" mais ses questions et ses suggestions sont toutes insidieuses et pernicieuses.
Elle dit qu'elle a 46 ans et se dit chaude comme de la braiseJe ne sais pas qui est "Douce" mais ses questions et ses suggestions sont toutes insidieuses et pernicieuses.
C'est son droit mais alors je trouve que à 46 ans elle devrait plus aller dans un truc avec des adultes plutôt que de venir ici où il y a plein de jeunes et ados et c'est un peu dégueux avec ses messages et commentaires de s'amuser à exciter des 12-13 .... 16-17 ansElle dit qu'elle a 46 ans et se dit chaude comme de la braise
Elle a rien fais de malC'est son droit mais alors je trouve que à 46 ans elle devrait plus aller dans un truc avec des adultes plutôt que de venir ici où il y a plein de jeunes et ados et c'est un peu dégueux avec ses messages et commentaires de s'amuser à exciter des 12-13 .... 16-17 ans
On pourrait peut être lui envoyer les pompiers pour éteindre les braises !!! 😂😂😂
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