L
Anonyme
Je courrais, je courrais. Je ne regardais même plus où j'allais, où je mettais les pieds. J'étais totalement obsédé par mon objectif.
Rester en vie!
Ici, par là, attention un obus...
Mais c'est à ce moment là, à la fois à cause et grâce à cet obus que je tombais. J'essayait de me relever mais je retombais au bout de quelques pas. Je m'étais pris un éclat d'obus dans la jambe.
Tout à coup, je sentis des mains s'enrouler avec force autour de ma taille. De grandes mains chaudes et réconfortante. L'homme à qui appartenait ces mains était grand et portait la même tenue de solda que moi et me tirait de toute ses forces pour m'éloigner du camp ennemi.
Mais c'est en voyant son visage pâle et ses longs cheveux ébènes que je compris, cet homme n'était pas n'importe qui, c'était mon homme. Je le savait, je le sentait au plus profond de mon cœur, c'était mon homme, et personne ne me l'enlèverais.
Mais, c'est alors qu'une fusillade commença, des camarades tombaient un par un autour de nous et, c'est dans un dernier élan de tendresse et d'amour que je me jetait sur cet homme, cet homme qui, dans le moment le plus sombre de ma vie avait apporté une lumière d'espoir et d'amour. Je le protégeait de tout mon corps et de toute mon âme des balles arrivants par centaines vers nous.
Rester en vie!
Ici, par là, attention un obus...
Mais c'est à ce moment là, à la fois à cause et grâce à cet obus que je tombais. J'essayait de me relever mais je retombais au bout de quelques pas. Je m'étais pris un éclat d'obus dans la jambe.
Tout à coup, je sentis des mains s'enrouler avec force autour de ma taille. De grandes mains chaudes et réconfortante. L'homme à qui appartenait ces mains était grand et portait la même tenue de solda que moi et me tirait de toute ses forces pour m'éloigner du camp ennemi.
Mais c'est en voyant son visage pâle et ses longs cheveux ébènes que je compris, cet homme n'était pas n'importe qui, c'était mon homme. Je le savait, je le sentait au plus profond de mon cœur, c'était mon homme, et personne ne me l'enlèverais.
Mais, c'est alors qu'une fusillade commença, des camarades tombaient un par un autour de nous et, c'est dans un dernier élan de tendresse et d'amour que je me jetait sur cet homme, cet homme qui, dans le moment le plus sombre de ma vie avait apporté une lumière d'espoir et d'amour. Je le protégeait de tout mon corps et de toute mon âme des balles arrivants par centaines vers nous.