TW : sang, mort, suicide (poème)
C'est pas excellent je sais mais je voulais juste m'exprimer autrement qu'en prose.
Toi, qui sans cesse me fatigue
Toi, qui a fait monté ma peine
Toi, qui sans cesse me dénigre
Toi, qui a fait saigné mes veines
Tu me lances des mots, d'insignifiantes phrases,
Croyant au mensonge, tu veux te donner raison.
Tu me fait comprendre que ce n'est qu'une phase,
N'ayant pas encore compris que c'est toi mon poison.
J'ai reçu des milliers de coups de poignard,
Tout comme mes idées, mon sang était noir,
Alors j'ai posé la corde sur ma peau.
Tout ça car tu n'as pas mesuré tes propos.
Depuis ce jour-là rien n'est plus jamais pareil,
J'ai la haine dès que j'aperçois ton visage.
Parfois envie de voir ma peau couleur vermeille,
De prendre des conneries en surdosage.
À quoi bon te parler tout en faisant semblant ?
Tu n'as pas réalisé ce qui est blessant.
J'ai cessé de croire que tu accepteras,
Tu es toujours au même endroit depuis six mois.
Toi, qui a fait monté ma peine
Toi, qui sans cesse me dénigre
Toi, qui a fait saigné mes veines
Tu me lances des mots, d'insignifiantes phrases,
Croyant au mensonge, tu veux te donner raison.
Tu me fait comprendre que ce n'est qu'une phase,
N'ayant pas encore compris que c'est toi mon poison.
J'ai reçu des milliers de coups de poignard,
Tout comme mes idées, mon sang était noir,
Alors j'ai posé la corde sur ma peau.
Tout ça car tu n'as pas mesuré tes propos.
Depuis ce jour-là rien n'est plus jamais pareil,
J'ai la haine dès que j'aperçois ton visage.
Parfois envie de voir ma peau couleur vermeille,
De prendre des conneries en surdosage.
À quoi bon te parler tout en faisant semblant ?
Tu n'as pas réalisé ce qui est blessant.
J'ai cessé de croire que tu accepteras,
Tu es toujours au même endroit depuis six mois.
C'est pas excellent je sais mais je voulais juste m'exprimer autrement qu'en prose.