Pourquoi tant de gentillesse, Monsieur le Président. On dirait que vous êtes fébrile, en tout cas pas tranquille. On va recevoir un deuxième virement de 100 euros, peut-on lire dans les médias ? Et la suite, c'est quoi ?
Après les élections, ce n'est pas vous, c'est nous qui allons régler l'addition.
Après les élections, ce n'est pas vous, c'est nous qui allons régler l'addition.