Bonsoir ! ^^
J'ai écris un nouveau poème, plus long cette fois, et je voulais vous le partager !
D'abord, si vous vous demandez pourquoi mes thèmes ne respirent pas la gaieté, c'est juste que souvent j'écris en rentrant du lycée, pour me défouler et parce que je ressens pleins de sentiments faciles à exploiter, mais ça va relativement bien, enfin je vais tenir jusqu'aux vacances ! xD
Bref, dites-moi ce que vous en pensez, j'aimerai tellement m'améliorer ! :''''')
(J'ai du réduire la police pour que les vers ne soient pas coupé par contre, désolée xD)
(Et aussi, merci à
OrlandoGreen pour m'avoir soufflé le titre ! <3)
-----------------------------------------------------------------
Je suis entrée au lycée; remplie d'espoirs, d'idéaux.
Sur mon petit nuage d'espérances,
Je rêvais de connaissances,
Je rêvais de savoir et d'un avenir plus beau.
Mais mes illusions se sont brisées.
Une fois confrontées, à la sombre réalité.
Je n'étais peut-être pas préparée,
À une éducation tant robotisée.
J'ai décompté les heures.
J'ai décompté les jours.
En espérant mettre en lumière,
L'antre de cet Enfer.
Septembre.
Le temps tourne, les jours passent.
Leur système m'échappe.
Nouvel établissement, environnement.
Seule comme une fleur fanée, au milieu d'un champs.
Je suis un corps inanimé, fragile pantin figé.
Ils jouent à la poupée, je suis l'un de leur jouet.
Puis octobre.
Le temps tourne, les jours passent.
Les cours défilent, et puis me dépassent.
Pourquoi suis-je ici ? Où est donc ma place ?
Crises existentielles, qui secouent mon âme.
Je crains, j'ai peur, je suis terrifiée,
À la simple idée, de ne pas être acceptée.
Viens novembre.
Le temps tourne, les jours passent.
Si peu d'éclaircies, dans un ciel d'orage.
Maintenant des amies, des vraies, pour la vie ?
Je vis seulement au présent, à grande vitesse.
Dure réalité, des notes qui tombent sans cesse.
Cette moyenne, est-ce vraiment ma valeur ? Dépit.
Désormais décembre.
Le temps, les jours, encore... Défilent...
S'il-vous-plaît, faites que ça s'arrête...
Je lâche prise, je n'ais plus aucune force.
Plus de volonté, ni même de vigueur
Drôle d'idée : et si j'écrivais quelques...
Poèmes ? Ces vers, pour soulager mon cœur.
J'ai écris un nouveau poème, plus long cette fois, et je voulais vous le partager !
D'abord, si vous vous demandez pourquoi mes thèmes ne respirent pas la gaieté, c'est juste que souvent j'écris en rentrant du lycée, pour me défouler et parce que je ressens pleins de sentiments faciles à exploiter, mais ça va relativement bien, enfin je vais tenir jusqu'aux vacances ! xD
Bref, dites-moi ce que vous en pensez, j'aimerai tellement m'améliorer ! :''''')
(J'ai du réduire la police pour que les vers ne soient pas coupé par contre, désolée xD)
(Et aussi, merci à

-----------------------------------------------------------------
Je suis entrée au lycée; remplie d'espoirs, d'idéaux.
Sur mon petit nuage d'espérances,
Je rêvais de connaissances,
Je rêvais de savoir et d'un avenir plus beau.
Mais mes illusions se sont brisées.
Une fois confrontées, à la sombre réalité.
Je n'étais peut-être pas préparée,
À une éducation tant robotisée.
J'ai décompté les heures.
J'ai décompté les jours.
En espérant mettre en lumière,
L'antre de cet Enfer.
Septembre.
Le temps tourne, les jours passent.
Leur système m'échappe.
Nouvel établissement, environnement.
Seule comme une fleur fanée, au milieu d'un champs.
Je suis un corps inanimé, fragile pantin figé.
Ils jouent à la poupée, je suis l'un de leur jouet.
Puis octobre.
Le temps tourne, les jours passent.
Les cours défilent, et puis me dépassent.
Pourquoi suis-je ici ? Où est donc ma place ?
Crises existentielles, qui secouent mon âme.
Je crains, j'ai peur, je suis terrifiée,
À la simple idée, de ne pas être acceptée.
Viens novembre.
Le temps tourne, les jours passent.
Si peu d'éclaircies, dans un ciel d'orage.
Maintenant des amies, des vraies, pour la vie ?
Je vis seulement au présent, à grande vitesse.
Dure réalité, des notes qui tombent sans cesse.
Cette moyenne, est-ce vraiment ma valeur ? Dépit.
Désormais décembre.
Le temps, les jours, encore... Défilent...
S'il-vous-plaît, faites que ça s'arrête...
Je lâche prise, je n'ais plus aucune force.
Plus de volonté, ni même de vigueur
Drôle d'idée : et si j'écrivais quelques...
Poèmes ? Ces vers, pour soulager mon cœur.
Dernière édition par un modérateur: