B
Anonyme
p***ain...Je suffoque. Enveloppée dans les légers draps, essayant d'arrêter cette crise.
Je me tord en tout sens, les muscles crispés par une douleur qu'on ne voit pas. Je me lève. Je titube.
Je parcours la maison où j'ai grandis. Où j'ai changé. Où j'ai souffert. Où j'ai perdu ma joie de vivre.
Et je cherche. Je pleure, mais je cherche. Chaque recoin me rappelle une souffrance. J'ai mal. Qu'est-ce que je cherche ? Ma joie ? Le Bonheur ? Bordel, où es-tu ? Toi, ma raison de vivre ?!
J'ouvre un tiroir. Je te trouve.
Ma lame...
Je dessine sur ma peau chaque souffrance que j'endure. Je pars trop loin. Je me couche sur le sol froid de la cuisine. La couleur de mon sang teint le sol. J'ai mal. Mais grâce à toi, je vais bien.
J'ai vécu et je suis morte grâce à toi.
Merci, chère Lame.
Je me tord en tout sens, les muscles crispés par une douleur qu'on ne voit pas. Je me lève. Je titube.
Je parcours la maison où j'ai grandis. Où j'ai changé. Où j'ai souffert. Où j'ai perdu ma joie de vivre.
Et je cherche. Je pleure, mais je cherche. Chaque recoin me rappelle une souffrance. J'ai mal. Qu'est-ce que je cherche ? Ma joie ? Le Bonheur ? Bordel, où es-tu ? Toi, ma raison de vivre ?!
J'ouvre un tiroir. Je te trouve.
Ma lame...
Je dessine sur ma peau chaque souffrance que j'endure. Je pars trop loin. Je me couche sur le sol froid de la cuisine. La couleur de mon sang teint le sol. J'ai mal. Mais grâce à toi, je vais bien.
J'ai vécu et je suis morte grâce à toi.
Merci, chère Lame.