B
Anonyme
Je rentre des cours. Après les attaques physiques voilà celles mentales. Chez moi on m'accueille avec les reproches. Je couvre les bleus que mes camarades ont fait. Je me cloître dans ma chambre. Tout est noir. Apaisant ou angoissant. Le téléphone se met à s'allumer plusieurs fois. Mes attaques mentales sont là. On me demande de mourir. On me demande de souffrir. Je les ignores mais leurs mots restent ancrés dans mes paupières. Tels des tatouages. Pourquoi ? Comment ? Qu'est-ce que je vous ais fait ? Comment pourrais-je m'en venger ?
J'arrive dans la cour, on me prend à part. On me bouscule, on me frappe. Rigolez tels des hyènes. Je pleurerai pas. Le soir vint enfin. Je m'excuse auprès de ma famille qui ne comprends pas.
Je m'enferme dans ma chambre où je pleure chaques soirs et chaques matins. Les minutes passèrent et mes yeux finirent pas se fermer.
Voilà...
Vous avez une mort sur la conscience.
Tous vos noms sont gravés sur ma peau.
À votre tour de pleurer.
J'arrive dans la cour, on me prend à part. On me bouscule, on me frappe. Rigolez tels des hyènes. Je pleurerai pas. Le soir vint enfin. Je m'excuse auprès de ma famille qui ne comprends pas.
Je m'enferme dans ma chambre où je pleure chaques soirs et chaques matins. Les minutes passèrent et mes yeux finirent pas se fermer.
Voilà...
Vous avez une mort sur la conscience.
Tous vos noms sont gravés sur ma peau.
À votre tour de pleurer.