C
Anonyme
Coucou,
j’écris ce petit texte pour avoir les idées plus claires sur moi même et ma situation.
Bon on commence.
Lorsque j’étais petite j’ai été victime d’une agression à 4 ans le monsieur était comme un monsieur qui priait pour nous et d’un viol à l’âge de 4/5 ans par un ´´ cousin ´´. Ma famille m’avait confier à une famille de ´´ confiance ´´.
Suite à ces événements sans m’en rendre compte j’ai commencé à me frotter pour je ne sais qu’elle raison. J’ai me suis même frotter sur mon frère autiste. Je ne savais pas que c’était de l’agression sexuelle. Je n’étais même pas consciente de se que j’avais fais mais rien n’excuse mon acte.
A un certain âge je me suis rappelé de mon agression/ agresseur et de mon viol/ violeur j’ai commencé à être folle et pas stable mentalement à chercher beaucoup d’attention pour aucune raison, je me mutilais, j’étais très sensible au parole de mes parents, ma mère me frappait mais étant donner qu’on est noir et africain je me suis dis que c’est dans la culture puisque tout le monde autour de moi c’était la même chose donc j’ai pas fais attention mais j’avais très peur de mes parents. J’avais 11 ans. J’avais 11 ans et je ne voulais que mourir.
En 4e du coup à 14 ans j’ai eu mes troubles alimentaires. Des TCA, je voulais maigrir mais je cherchais à côté les conséquences de se faire vomir. Les conséquences de chaque truc. Parfois je ne voulais pas le faire mais je me l’obligeais.
Tout me reviens en tête et parfois je me dis avance, je veux mais je ne veux pas. Je ne m’imagine pas heureuse, je m’imagine calme, une femme qui souffre et que personne ne sache réellement ce qu’elle traverse. Voilà comment j’imaginais ma vie.
Je ne sais pas réellement si j’ai souffert, j’avais l’impression de faire semblant , de souffrir. Je veux souffrir car pour moi après tout ce que j’ai fais je ne mérite pas le bonheur ce que j’ai fais à mon frère c’est juste horrible je ne vaut pas mieux que mes agresseurs. J’ai grandi à partir de mes 14 ans qu’il faut que je souffre assez pour que mon frère me pardonne pour que ce que j’ai fais à mon frère ne soit rien comparer à ce que j’ai vécue. Que je suis un monstre et qu’il faut que je souffrir car c’est ce que font les monstres. Je devais souffrir, me couper, me brûler ou encore me faire vomir pour ´´rembourser’´ mon frère. Je cherchais par tous les moyens de le faire pardonner.
J’avais l’impression de faire semblant car si j’avais réellement souffert de mon viol, je n’aurais jamais commencer à me frotter, je me serais direct arrêter si j’avais été consciente de mon acte ce qui n’était pas le cas j’ai continué. Je n’aurais pas chercher à trouver des excuses à mon violeur, ou chercher à faire en sorte que mes parents ne l’attrape pas, par ce que je ne veux pas qu’il finisse en prison.
Je n’aurais jamais eu cette pensée de ne pas vouloir se vomir dessus, je n’aurais pas chercher les conséquences, et aujourd’hui j’aurais été mince.
J’aimerais que vous répondiez à mes questions.
- Ai je réellement souffert ou c’est juste dans ma tête?
- est ce que je dramatisais trop ma situation ?
- Qu’elle message me diriez vous ?
j’écris ce petit texte pour avoir les idées plus claires sur moi même et ma situation.
Bon on commence.
Lorsque j’étais petite j’ai été victime d’une agression à 4 ans le monsieur était comme un monsieur qui priait pour nous et d’un viol à l’âge de 4/5 ans par un ´´ cousin ´´. Ma famille m’avait confier à une famille de ´´ confiance ´´.
Suite à ces événements sans m’en rendre compte j’ai commencé à me frotter pour je ne sais qu’elle raison. J’ai me suis même frotter sur mon frère autiste. Je ne savais pas que c’était de l’agression sexuelle. Je n’étais même pas consciente de se que j’avais fais mais rien n’excuse mon acte.
A un certain âge je me suis rappelé de mon agression/ agresseur et de mon viol/ violeur j’ai commencé à être folle et pas stable mentalement à chercher beaucoup d’attention pour aucune raison, je me mutilais, j’étais très sensible au parole de mes parents, ma mère me frappait mais étant donner qu’on est noir et africain je me suis dis que c’est dans la culture puisque tout le monde autour de moi c’était la même chose donc j’ai pas fais attention mais j’avais très peur de mes parents. J’avais 11 ans. J’avais 11 ans et je ne voulais que mourir.
En 4e du coup à 14 ans j’ai eu mes troubles alimentaires. Des TCA, je voulais maigrir mais je cherchais à côté les conséquences de se faire vomir. Les conséquences de chaque truc. Parfois je ne voulais pas le faire mais je me l’obligeais.
Tout me reviens en tête et parfois je me dis avance, je veux mais je ne veux pas. Je ne m’imagine pas heureuse, je m’imagine calme, une femme qui souffre et que personne ne sache réellement ce qu’elle traverse. Voilà comment j’imaginais ma vie.
Je ne sais pas réellement si j’ai souffert, j’avais l’impression de faire semblant , de souffrir. Je veux souffrir car pour moi après tout ce que j’ai fais je ne mérite pas le bonheur ce que j’ai fais à mon frère c’est juste horrible je ne vaut pas mieux que mes agresseurs. J’ai grandi à partir de mes 14 ans qu’il faut que je souffre assez pour que mon frère me pardonne pour que ce que j’ai fais à mon frère ne soit rien comparer à ce que j’ai vécue. Que je suis un monstre et qu’il faut que je souffrir car c’est ce que font les monstres. Je devais souffrir, me couper, me brûler ou encore me faire vomir pour ´´rembourser’´ mon frère. Je cherchais par tous les moyens de le faire pardonner.
J’avais l’impression de faire semblant car si j’avais réellement souffert de mon viol, je n’aurais jamais commencer à me frotter, je me serais direct arrêter si j’avais été consciente de mon acte ce qui n’était pas le cas j’ai continué. Je n’aurais pas chercher à trouver des excuses à mon violeur, ou chercher à faire en sorte que mes parents ne l’attrape pas, par ce que je ne veux pas qu’il finisse en prison.
Je n’aurais jamais eu cette pensée de ne pas vouloir se vomir dessus, je n’aurais pas chercher les conséquences, et aujourd’hui j’aurais été mince.
J’aimerais que vous répondiez à mes questions.
- Ai je réellement souffert ou c’est juste dans ma tête?
- est ce que je dramatisais trop ma situation ?
- Qu’elle message me diriez vous ?