Il est temps que tout s'arrête.
Je suis épuisée...
Je n'ai même plus la force de pleurer.
De crier tout ce qui m'a blessée.
Brisée.
À mes pieds, tout est noir.
Le sol se craquelle sous mon désespoir.
Les ombres me tuent.
Mains à la gorge, je ne respire plus.
Elles murmurent.
Mais je n'en suis pas sûre.
C'est un boucan infernal.
Ça me fait tellement mal.
Les voix me hurlent dessus.
Elles me tuent.
Même les oreilles bouchées...
Elles continuent de crier.
Alors j'ai cherché.
Cherché l'issue pour me sauver.
Sans jamais la trouver.
Enfouie sous les souvenirs.
Des souvenirs à braver.
Tout pour me retenir.
Bribes démoniaques du passé.
Et les ombres commencent à revenir.
Chaque jour est un cauchemar.
Et le soir...
J'ai cherché à m'évader de la réalité.
Mais elle finit toujours par vous rattraper.
Il n'y a pas d'arrivée.
Juste le temps entre le début et la fin.
Je n'aurais jamais voulu débuter.
Mais ce destin n'est pas le mien.
Alors avec les ombres, j'ai commencé à chercher mon chemin.
J'ai appris à ne plus avoir peur, à les accepter, pour la fin.
Les voix dans ma tête me rabaissaient.
Minable,
Pouilleuse,
Débile,
Sale.
Mais ça m'aidait à avancer.
Ivre de douleur je me suis battue.
Et j'ai commencé à sortir de cette obscurité.
Le brouillard autour de moi s'est dissipé.
Mes plaies se sont refermées.
Les voix se sont évaporées.
Des ombres je me suis échappée.
Regarde dans mes yeux.
Tu les verras, elles sont bien là.
Ces ombres, ces voix.
Elles font parties de moi.
Je les ai acceptées.
Comme mes souvenirs du passé.
Parce que c'est dans le présent que se forgent les souvenirs.
Et je ne veux plus revivre ça, devoir survivre.
J'ai changé.
J'apprends à aimer.
De douces voix pour me guider.
M'apprendre à récupérer les morceaux brisés.
Les recoller.
J'ai trouvé le moyen de m'en sortir.
Je l'avais dit.
Il était temps que tout s'arrête.
J'étais épuisée.
« Vis, vole le bonheur à la vie. Car elle ne t'en fera jamais cadeau. »
Je suis épuisée...
Je n'ai même plus la force de pleurer.
De crier tout ce qui m'a blessée.
Brisée.
À mes pieds, tout est noir.
Le sol se craquelle sous mon désespoir.
Les ombres me tuent.
Mains à la gorge, je ne respire plus.
Elles murmurent.
Mais je n'en suis pas sûre.
C'est un boucan infernal.
Ça me fait tellement mal.
Les voix me hurlent dessus.
Elles me tuent.
Même les oreilles bouchées...
Elles continuent de crier.
Alors j'ai cherché.
Cherché l'issue pour me sauver.
Sans jamais la trouver.
Enfouie sous les souvenirs.
Des souvenirs à braver.
Tout pour me retenir.
Bribes démoniaques du passé.
Et les ombres commencent à revenir.
Chaque jour est un cauchemar.
Et le soir...
J'ai cherché à m'évader de la réalité.
Mais elle finit toujours par vous rattraper.
Il n'y a pas d'arrivée.
Juste le temps entre le début et la fin.
Je n'aurais jamais voulu débuter.
Mais ce destin n'est pas le mien.
Alors avec les ombres, j'ai commencé à chercher mon chemin.
J'ai appris à ne plus avoir peur, à les accepter, pour la fin.
Les voix dans ma tête me rabaissaient.
Minable,
Pouilleuse,
Débile,
Sale.
Mais ça m'aidait à avancer.
Ivre de douleur je me suis battue.
Et j'ai commencé à sortir de cette obscurité.
Le brouillard autour de moi s'est dissipé.
Mes plaies se sont refermées.
Les voix se sont évaporées.
Des ombres je me suis échappée.
Regarde dans mes yeux.
Tu les verras, elles sont bien là.
Ces ombres, ces voix.
Elles font parties de moi.
Je les ai acceptées.
Comme mes souvenirs du passé.
Parce que c'est dans le présent que se forgent les souvenirs.
Et je ne veux plus revivre ça, devoir survivre.
J'ai changé.
J'apprends à aimer.
De douces voix pour me guider.
M'apprendre à récupérer les morceaux brisés.
Les recoller.
J'ai trouvé le moyen de m'en sortir.
Je l'avais dit.
Il était temps que tout s'arrête.
J'étais épuisée.
« Vis, vole le bonheur à la vie. Car elle ne t'en fera jamais cadeau. »
