Poésie Poème à partir d’un tableau 😅

  • Auteur de la discussion Brook
  • Date de début
Heyy ! C’est ma première discussion, donc jsp trop m’y prendre, ahah…
J’ai écris un poème en me référant au tableau de Caspar David Friedrich. « Le voyageur comptemplant une mer de nuages ». Votre avis ?

Le titre : L’Homme et le voyageur

L’Homme prête à son destin les désordres de l’univers,
Qu’il s’imagine apte à gouverner
Il s’élève et pénètre les terres
Sur lesquelles déjà il se voit régner.

Son regard se perd en chemin
Dans le creux d’un brumeux vallon
Ancré dans les roches, une canne à la main
Ses yeux ne quittent point l’horizon.

Tout de noir vêtu
Acceptant la fatalité
Ne réclamant aucun dû
Il toise le vide d’un air effacé.

Dans une mer de nuages, perché sur les rocs sombres
Arrivé dans la peine, et debout sans encombres
Son visage de dos laisse s’écouler les heures.
Il était parti Homme, le voici voyageur.

Bien que lui arrivé, le ciel deviendra rouge
Les heures s’écouleront, et lorsqu’il partira
Les rocs immobiles, même avec un déluge,
Resteront immobiles et le temps restera.

Bien que lui arrivé, le ciel deviendra rouge,
Il l’a vue, la voit et un jour la verra
Car la nature jamais ne bouge
Mais reprendra toujours ses droits.
 
Chuisbibi
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Heyy ! C’est ma première discussion, donc jsp trop m’y prendre, ahah…
J’ai écris un poème en me référant au tableau de Caspar David Friedrich. « Le voyageur comptemplant une mer de nuages ». Votre avis ?

Le titre : L’Homme et le voyageur

L’Homme prête à son destin les désordres de l’univers,
Qu’il s’imagine apte à gouverner
Il s’élève et pénètre les terres
Sur lesquelles déjà il se voit régner.

Son regard se perd en chemin
Dans le creux d’un brumeux vallon
Ancré dans les roches, une canne à la main
Ses yeux ne quittent point l’horizon.

Tout de noir vêtu
Acceptant la fatalité
Ne réclamant aucun dû
Il toise le vide d’un air effacé.

Dans une mer de nuages, perché sur les rocs sombres
Arrivé dans la peine, et debout sans encombres
Son visage de dos laisse s’écouler les heures.
Il était parti Homme, le voici voyageur.

Bien que lui arrivé, le ciel deviendra rouge
Les heures s’écouleront, et lorsqu’il partira
Les rocs immobiles, même avec un déluge,
Resteront immobiles et le temps restera.

Bien que lui arrivé, le ciel deviendra rouge,
Il l’a vue, la voit et un jour la verra
Car la nature jamais ne bouge
Mais reprendra toujours ses droits.
J'ADORE EN PLUS SUR CE FUCKING TABLEAU
N'arrête pas d'écrire 😭😭✨✨✨