Ils demandent pourquoi.
Pourquoi j'accepte d'avoir mal.
Pourquoi je laisse les larmes couler sans ne jamais rien faire, mais tout en esquissant un sourire.
Pourquoi je ne lutte pas pour aller de l'avant.
Pourquoi je ne me bats pas pour oublier.
Pourquoi est-ce un réel choix de ma part.
Pourquoi ne pas me battre est une conviction chez moi...
Il y a 7 ans, j'ai rencontré un Dieu hors-du-commun. Le Dieu que je connais n'est pas qu'une représentation de justice et de pouvoir. Mon Dieu est quelqu'un d'infiniment fragile, peut-être plus que l'humain le plus insignifiant sur terre. Il rit et pleure en tout temps. Il ressent un grand chagrin d'amour pour ses enfants, qu'il voit de jour en jour se perdre.
Il a le goût des couleurs.
Il aime la musique.
Il passe son temps à dessiner de belles choses.
C'est un Dieu qui peut être surpris et distrait.
Si j'ai envie de suivre ce qu'il enseigne, et de lui obéir, ce n'est non pas pour incarner l'image de la bonne croyante, mais pour le rendre heureux.
Parce que je l'aime.
Pour eux, être fort, qu'est-ce que c'est ?
Oublier ? Enchaîner ? La rapidité... ?
Ils auront beau se prétendre résilients et nous le leur accordons, mais la fragilité de mon Dieu, est mille fois supérieure à leur force.
Moi, je ne ferais pas de différence.
J'enlacerais la joie comme la tristesse, car elles cachent toutes deux une histoire et sont toutes deux aussi belles l'une que l'autre.
Car aucun enfant ne mérite d'être abandonné.
Alors non je ne suis pas forte.
Pas comme vous le voyez.
Je ne cours pas après le bonheur, parce que ce n'est pas à moi de le faire. Lui-même viendra à moi, ou pas, en temps voulu.
La vie n'est pas un profit ni un dû.
Je ne prétends pas me connaître suffisamment pour ne pas avoir besoin d'apprendre du regard des autres.
Je ne serais jamais celle qui se remettra d'une peine d'il y a dix ans.
Je ne serais jamais celle que vous verrez chaque vendredi soir s'éclater en soirée.
Si c'est ce que vous attendez de moi, alors je vous décevrais toujours. Toujours. Je vous demande pardon.
Mais c'était ainsi que je suis à ma place et que j'ai su, que tout était sublime ainsi.
Pourquoi j'accepte d'avoir mal.
Pourquoi je laisse les larmes couler sans ne jamais rien faire, mais tout en esquissant un sourire.
Pourquoi je ne lutte pas pour aller de l'avant.
Pourquoi je ne me bats pas pour oublier.
Pourquoi est-ce un réel choix de ma part.
Pourquoi ne pas me battre est une conviction chez moi...
Il y a 7 ans, j'ai rencontré un Dieu hors-du-commun. Le Dieu que je connais n'est pas qu'une représentation de justice et de pouvoir. Mon Dieu est quelqu'un d'infiniment fragile, peut-être plus que l'humain le plus insignifiant sur terre. Il rit et pleure en tout temps. Il ressent un grand chagrin d'amour pour ses enfants, qu'il voit de jour en jour se perdre.
Il a le goût des couleurs.
Il aime la musique.
Il passe son temps à dessiner de belles choses.
C'est un Dieu qui peut être surpris et distrait.
Si j'ai envie de suivre ce qu'il enseigne, et de lui obéir, ce n'est non pas pour incarner l'image de la bonne croyante, mais pour le rendre heureux.
Parce que je l'aime.
Pour eux, être fort, qu'est-ce que c'est ?
Oublier ? Enchaîner ? La rapidité... ?
Ils auront beau se prétendre résilients et nous le leur accordons, mais la fragilité de mon Dieu, est mille fois supérieure à leur force.
Moi, je ne ferais pas de différence.
J'enlacerais la joie comme la tristesse, car elles cachent toutes deux une histoire et sont toutes deux aussi belles l'une que l'autre.
Car aucun enfant ne mérite d'être abandonné.
Alors non je ne suis pas forte.
Pas comme vous le voyez.
Je ne cours pas après le bonheur, parce que ce n'est pas à moi de le faire. Lui-même viendra à moi, ou pas, en temps voulu.
La vie n'est pas un profit ni un dû.
Je ne prétends pas me connaître suffisamment pour ne pas avoir besoin d'apprendre du regard des autres.
Je ne serais jamais celle qui se remettra d'une peine d'il y a dix ans.
Je ne serais jamais celle que vous verrez chaque vendredi soir s'éclater en soirée.
Si c'est ce que vous attendez de moi, alors je vous décevrais toujours. Toujours. Je vous demande pardon.
Mais c'était ainsi que je suis à ma place et que j'ai su, que tout était sublime ainsi.