Seule dans la nuit noire,
j’entends l’écho du soir.
J’avance en silence lentement,
attendant la fin imminente.
Sachant que tout cela aura un jour une fin,
je m’y accroche malgré tout en vain.
C’est le triste constat d’une réalité,
qui chaque soir me le fait réaliser.
Perdue dans mes sombres pensées,
j’essaie encore d’y échapper.
Mais la réalité sans cesse y demeure,
là où mes pleurs restent dans mon coeur.
Lasse et fatiguée de ce monde,
mon âme se perds dans les songes.
Qui pourrait voir la tristesse derrière mon sourire ?
Car après tout jamais ce masque ne se brise.
Je laisse échapper un soupire,
avant de recommencer à sourire.
Toi qui m’observe dans la pénombre,
sais-tu à quel point tu es tout mon monde ?
Ne vois-tu pas combien tu me manques ?
Ne sais-tu pas à quel point j’en tremble ?
Et même si nos chemins se sont éloignés,
chaque jours je continue d’espérer.
j’entends l’écho du soir.
J’avance en silence lentement,
attendant la fin imminente.
Sachant que tout cela aura un jour une fin,
je m’y accroche malgré tout en vain.
C’est le triste constat d’une réalité,
qui chaque soir me le fait réaliser.
Perdue dans mes sombres pensées,
j’essaie encore d’y échapper.
Mais la réalité sans cesse y demeure,
là où mes pleurs restent dans mon coeur.
Lasse et fatiguée de ce monde,
mon âme se perds dans les songes.
Qui pourrait voir la tristesse derrière mon sourire ?
Car après tout jamais ce masque ne se brise.
Je laisse échapper un soupire,
avant de recommencer à sourire.
Toi qui m’observe dans la pénombre,
sais-tu à quel point tu es tout mon monde ?
Ne vois-tu pas combien tu me manques ?
Ne sais-tu pas à quel point j’en tremble ?
Et même si nos chemins se sont éloignés,
chaque jours je continue d’espérer.