opération Spéciale Russe en Ukraine...Le Donbass...

Les pays occidentaux ont oublié par qui tout cela à commencé, tout à commencer par le coup d'état à Kiev en 2014 perpétrer par les occidentaux "USA et l'Union Européenne" au fameux Maïdan, par contre à Odessa l'occident n'a jamais condamner les 48 morts brûlé vif "des Russophones" dans l’incendie de la maison des syndicats, ce qui à fait réfléchir les habitants du côté du Donbass et même d'autres régions Russophones, mais c'est le Donbass de Donetsk et Lougansk qui ont fait sécessions et qui ont refusés de rejoindre un gouvernement de Kiev néo-nazis (le régiment Azov était déjà présent et encourager par les USA et l'U-E). Après nous connaissons la suite enfin ceux qui veulent la comprendre et savoir au lieu de fermer les yeux sur les massacres de l'armée Ukrainienne sur ses deux provinces d'enfants, de femmes et vieillards pendant ces 8 années et encore aujourd'hui "l'armée Ukrainienne tire sur les zones résidentiels (écoles, hôpitaux, marchés, etc...) avec des armes lourdes livrer par l'occident" si c'est cela leur vision de la paix, là pour la communauté international occidental on en a jamais parler et même aujourd'hui ils ont oublier ce qui c'est passer et pour lequel les gens se battent de ce côté...Que faisait l'OTAN en Ukraine depuis des années, et que faisait le fils de Biden en finançant les 30 laboratoires biologiques US, là non plus les médias occidentaux n'en parlent guères...Sans compter les sanctions contre la Russie qui ne sert à rien "Poutine avait tout prévu" cependant ce qui à fait l'effet inverse c'est l'Europe et les USA qui sont les dindons de leurs propres farces...L'U-E veulent la paix en envoyant des armes...S'il en a un qui voulait la paix c'est bien Poutine et la Russie, mais l'occident faisait la sourde oreille vu qu'ils sont les vassaux de la plus grande dictature au monde que sont les USA et tout ce que l'Oncle Sam dit l'Union Européenne s'exécutent directement, sans voir le pour et le contre...Les occidentaux ont fait une très grande erreur qui va lui couté très cher "ou plutôt les peuple vont le payer très cher" puisque leurs élus sont blindés dans leurs portefeuilles...Peuple occidentaux ouvrez vos yeux et n'écoutez pas ce que racontent vos médias que ne sont que des Russophobes payé par leurs gouvernements...Je vous tiendrez au courant au fur et a mesures des évènements sur le terrain...Enfin ce que serai vous apprendre en plus de ce que vos médias ne vous dites pas...
 
Donbass
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Bonjour
Ici Radio TF1 nous aimerions vous engager comme pigiste au côté de Zemmour. Vous pourriez couvrir le conflit avec lui en Ukraine tous frais payés. Cerise sur le gâteau les relations intimes entre collègues sont autorisés et encouragés par notre politbureau pour renforcer les liens de solidarité entre collègues.
C'est toujours mieux que de dire et de vomir des mensonges comme TF1, BFMTV, CNEWS, Franceinfo, n'est pas le transgenre ?:sick:
 
Donbass
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Alors que les médias occidentaux nous vendent le conflit militaire en Ukraine, comme une grande guerre nationale de libération contre le méchant agresseur russe, l'on ne cesse d'apprendre, de source anglo-saxonne, la participation de militaires de pays de l'OTAN dans les rangs de l'armée ukrainienne. A tel point, que l'armée ukrainienne ne semble être qu'une dénomination vide, à l'image de l'Etat ukrainien, servant à cacher les véritables mécanismes de gouvernance. Ici, en ce qui concerne les Britanniques. Autrement dit, c'est plutôt l'internationale atlantiste, qui se bat en Ukraine contre le Russie !
Il y a quelques jours de cela, le journal The Independant a rapporté une interview d'un commandant géorgien, se battant en Ukraine côté ukrainien. Il est vrai que la Géorgie a une grande expérience en matière de déstabilisation intérieure et est totalement sous contrôle américain (il suffit de se promener dans Tbilissi, pour voir l'ampleur de l'occupation physique militaire du pays), qu'elle a même recyclé son ancien président-escroc-révolutionnaire Saakachvilli auprès du Gouvernement ukrainien post-Maïdan et comme gouverneur d'Odessa un temps. L'on ne parlera pas non plus des snipers du Maïdan ... Bref, l'amitié des pays "libérés" d'eux-mêmes dans l'espace post-soviétique en pleine action !
Ainsi, selon ce commandant géorgien, à cette grande guerre de libération nationale participent pas moins de 3 000 militaires britanniques ... dans les rangs de l'armée ukrainienne. Et d'une manière générale, environ 20 000 militaires étrangers sont dans l'armée de l'Ukraine.
De quelle armée nationale parle-t-on ? De quel combat s'agit-il ?
Un mercenaire américain a déclaré au journaliste américain Seth Harp, que l'on trouvait même des membres des forces spéciales britanniques
SAS.
Les Russes déclarent justement que c'est bien la présence de ces combattants étrangers à Azot, qui bloque le processus de pourparlers et donc la libération des otages civiles. Ce qui est vrai pour cette usine, est vrai pour le pays. La situation de l'Ukraine s'est profondément détériorée, dès le moment où elle est passée sous contrôle étranger. Et actuellement, c'est bien l'implication directe des pays de l'OTAN dans le conflit militaire sur le sol ukrainien, qui fait durer ce conflit. Pour la simple et bonne raison, qu'ils n'ont aucun intérêt à voir cohabiter paisiblement les peuples frères ukrainien et russe, qu'ils veulent utiliser une minorité extrémiste, pour semer la terreur à l'intérieur du pays et combattre formellement à travers elle contre la Russie.
 

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C'est toujours mieux que de dire et de vomir des mensonges comme TF1, BFMTV, CNEWS, Franceinfo, n'est pas le transgenre ?:sick:
Et si on arrêtez de se parler comme ça ?
Est-ce que seulement tu es sur le terrain ?
Les infos que tu nous sort, se sont les tiennes ?
C'est ce que tu as vu sur le terrain ?
Si ce n'est pas le cas, c'est pareil que TF1, BFMTV, CNEWS, ou autres.
 
GRANIT
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Ce que les Russes comme les Ukrainiens font depuis des années, c'est de la boucherie , et ces 2 nations ont perdues toute notion du respect de l'humain !!!!
Que ce soit Poutine ou Zelenski , aucun des deux n'a plus aucune notion du respect de la vie , la seule chose qui les intéresse , avoir l'un et l'autre des moyens de destruction pour s'anéantir réciproquement !!!!
C'est malheureux mais il nous faut attendre que ces deux là aient disparu !!!!
 
J
junne1
Anonyme
qu'est ce que tu as avec zelznski ! il se fait attaqué sans aucune raison et tu voudrais l'enfermer ?
Je trouve qu'il est cool. Il est un comédien, rien de plus, il n'a pas demandé d'être president, je sais pas ce qu'on peut lui reprocher. Alors que Poutine, c'est un criminel de guerre, c'est un gangster né comme tel. A titre indicatif, je suis Suédois, et c'est la première chose que j'écris sur ce forum. J'aurais bien voulu écrire sur des forums dans mon pays, en suédois (bien plus facile pour moi), mais ca marche plus, je suis bloqué par tout. La censure y est très efficace une fois que tu affiche une opinion qui ne colle pas avec celle du pouvoir en place. J'espère que c'est plus "relax" ici.
 
J
junne1
Anonyme
qu'est ce que tu as avec zelznski ! il se fait attaqué sans aucune raison et tu voudrais l'enfermer ?
Exactement. Et une chose qui est intéressant aussi en lui: il parle très rarement des "russes", il parle presque uniquement des "envahisseurs" ou des "ennemis". Alors, est-ce que c'est de la russophobie? A mon avis, non.
 
J
junne1
Anonyme
Je penses que tu n'y connais absolument rien à la Russie ni l'Ukraine, tu t'es même pas donner la peine de lire, Poutine n'est pas un psychopathe tel que tu le dis, regarde tes amis yankees qui eux n'ont fait qu'envahir des pays sans l'avale de l'ONU, tu parles de crimes de guerre sans preuve, par contre à Boutcha les cadavres que tu as vu ont été déposer par la gentil armée Ukrainienne sur la rue avec là des preuves.
Pour la grande histoire Kiev est le berceau de la Russie, et le mur de Berlin était prévu qu'il tombe avec le mentor de Poutine.
Des types comme toi ne parlent jamais du Donbass pendant 8 ans ta gentil armée Ukrainienne ont tuer "enfants, femmes et vieillard et d'autre", là on ne t'entendait pas du tout, d'un côté ont peu tuer mais pas de l'autre, j'ai comme la certitude que tu es une copie conforme aux yankees.:sick:
Je crois sincérement, en tant que Suédois, citoyen neutre, que vous avez raison. L'Allemagne aurait du payer le prix fort pour cette guerre et je comprends pas pourquoi la Russie ne s'en prenne pas à elle, le comble du nazisme et du mal absolu. L'Allemagne a jamais payé son dù aux peuples qu'elle a detruit, par dessus tout les Juifs bien surs. Je trouve ca ahurrissant.
 
J
junne1
Anonyme
Mais continuez de défendre poutine. Je vous suggère même d'aller vous installer en Russie pour y vivre pleinement à l'heure poutine, vous y serez très heureux.
L'histoire racontera la vérité.

Mais continuez de défendre poutine. Je vous suggère même d'aller vous installer en Russie pour y vivre pleinement à l'heure poutine, vous y serez très heureux.
L'histoire racontera la vérité.
La vie en Russie est cool. Le problème n'est pas là. Je suis Suédois, et vu la proximité de la Russie je suis allé plusieurs fois, parfois plusieurs fois par an. La vie y est exactement comme ici, en Occident. En Bielorussie je dirais mieux qu'ici, mieux qu'á Stockholm mème. A force de capital chinois, Minsk est une ville ultra florissante, tu y trouvera le dernier cri des mobile phone qui ne sont pas encore sorti dans le marché. C'est la propagande Russe qui est si intélligente, si insinueuse, si perfide. Je ne sais pas pourqoi ils ont cette intelligence "accrue" mais ce qui peut jouer est le manque de reciprocité voyagereuse: eux, ils peuvent voyager chez nous, en Suede, en Finlande, tandis que pour nous, il faut des visas etc. Je les vois comme trés pauvres en culture generale: Plus Américains que les Américans eux-mèmes. Pour comprendre La Russie, ca aide enormément de les voir comme ca, comme plus américains que les USA eux-memes, avec tout que cela implique en manque de dialectes etc.
 
Donbass
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Les forces spéciales des pays de l'OTAN opèrent secrètement sur le territoire ukrainien, aidant les forces armées ukrainiennes à mener des opérations militaires contre la Russie. Le journal américain The New York Times écrit à ce sujet, citant des sources.
Selon la publication, les troupes ukrainiennes dépendent de l'aide des États-Unis et de leurs alliés, y compris "un réseau caché de commandos et d'espions". Des responsables américains et européens en ont parlé au journal. Dans le même temps, il a été noté que la plupart de ces travaux sont effectués en dehors de l'Ukraine. Nous parlons du transfert de renseignements et de la formation de l'armée ukrainienne.
Néanmoins, "plusieurs dizaines de commandos" travaillent directement en Ukraine. Fait remarquable, il n'y a pas d'Américains parmi eux, mais il y a des commandos de Grande-Bretagne, de France, du Canada et de Lituanie, indique la publication.:mad:
 
Donbass
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Les résidents du Royaume-Uni en ont assez des réfugiés ukrainiens. Les Britanniques demandent aux Ukrainiens de chercher un autre endroit où vivre.
Au début, les Britanniques ont accepté avec plaisir les réfugiés ukrainiens. Mais après quatre mois, leur enthousiasme s'est estompé, écrit la chroniqueuse de Getreading Hannah Roberts.
De nombreux Britanniques ont commencé à chasser les réfugiés de leurs maisons.
Ils vous demandent de trouver un autre endroit où vivre et de partir parce que cette [opération spéciale russe en Ukraine] dure depuis trop longtemps.
Rappelons que les Européens se sont plaints à plusieurs reprises des réfugiés ukrainiens. Les Ukrainiens se comportent avec impudence dans les pays qui les accueillent : ils sont grossiers avec les résidents locaux, se battent, organisent des provocations.

Plus tôt, les résidents de Belgique, qui ont décidé d'héberger des réfugiés ukrainiens, ont commencé à demander de plus en plus de leur trouver un autre logement. Il s'est avéré que les citoyens du pays étaient confrontés à l'impolitesse et à l'ivresse des invités.
 
Donbass
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"Les forces armées de la Fédération de Russie poursuivent leur offensive réussie dans la région de Lisichansk . Au cours des trois derniers jours, la raffinerie de pétrole de Lisichansk, la mine Matrosskaya, l'usine de gélatine et le village de Topolevka ont été pris sous contrôle. Les forces alliées sont allées directement à Lisichansk", a indiqué le ministère.
Ils ont ajouté que l'armée ukrainienne dans cette zone subit de lourdes pertes.
"Seulement dans le village de Verkhnekamenka, l'ennemi a perdu plus de 120 personnes tuées en une journée et à Verkhnekamensky - 70".
Dans le même temps, en raison des échecs des forces armées ukrainiennes, le nombre de déserteurs et de militaires échappant à la participation aux hostilités augmente sur le champ de bataille.
Le ministère de la Défense a ajouté que le commandement ukrainien cache de toutes les manières possibles les faits de sous-effectif des unités.

"Ainsi, dans l'un des bataillons de la 17e brigade de chars, opérant dans la zone de la colonie de Novaya Poltavka de la République populaire de Donetsk, pas plus de 20% du personnel de l'effectif régulier est resté dans les rangs ".
 
Donbass
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La Russie a détruit un peloton d'artillerie d'obusiers M777 avec des frappes de précision.
L'armée russe a diffusé des séquences vidéo de la destruction d'un peloton d'artillerie d'obusiers légers remorqués M777 de fabrication américaine. On sait que les radars de contre-batterie ont identifié avec succès la zone de déploiement des obusiers ukrainiens, après quoi, grâce à l'utilisation de drones, les coordonnées exactes du déploiement des canons ont été établies, et en quelques minutes, haute- des frappes de précision ont été infligées aux positions des Forces armées ukrainiennes - selon toute vraisemblance, ces dernières ont été menées à l'aide de munitions corrigées "Krasnopol", qui avaient déjà réussi à faire leurs preuves.
 

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Anonyme
On en parle du fait que les ukrainiens ont bombardés les troupes russes alors qu'ils évacuaient justement les civils ukrainiens d'une usine ? Le pire, c'est qu'ils savaient que des civils étaient là donc ils ont sciemment tirés sur leur propres habitants pour une "opération militaire" qui n'a jamais eu lieu étrangement des suites du bombardements. Nos médias continuent de dire qu'ils sont blancs comme neige alors qu'ils commettent aussi des crimes de guerre 🙄
 
M
Membre supprimé 350
Anonyme
opération Spéciale Russe en Ukraine...Le Donbass...

Regardez ce que j'ai trouvé !!!! C'est trop bien fait avec les couleurs et tout, en bleu donc l'Ukraine et en rouge les russes et forces pro-russes. En vrai c'est clair et permet de mieux observer la situation UwU
 
M
Membre supprimé 350
Anonyme
Les ukrainiens se font encercler à Lsychans'k. J'ai mal écris oui, et puis ? ;-;'
Non franchement, je ne vois pas comment les ukrainiens font avec des voies de ravitaillement aussi étroits en plus des bombardements intensif. C'est du suicide juste pour de la propagande et érigé ces soldats sacrifiés en héro. ça fait classe mais c'est surtout dégueulasse humainement parlant
 
Donbass
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Les USA experts incontestés de Crimes de Guerre :

Une nouvelle fois, dirigeants américains et européens, grands médias dominants et réseaux sociaux ont répandu leur indignation affichée, après le bombardement, le 27 juin, de Krementchouk. Seule la thèse ukrainienne, des dizaines de victimes civiles dans le bombardement d’un centre commercial, a été relayée comme parole d’évangile. La thèse russe, le ciblage d’un dépôt d’armes dans une usine attenante, n’a souvent même pas été citée.
Les États-Unis et l’Union européenne veulent à tout prix éviter d’apparaître comme « co-belligérants » dans la guerre en Ukraine. Ils le sont pourtant bel et bien que ce soit par les sanctions, par la fourniture massive d’armements lourds, par l’entraînement des troupes de Kiev, par la mise à
Disposition de renseignements stratégiques.
Il y a une autre guerre encore pour laquelle les dirigeants occidentaux ne sont pas seulement « co-belligérants », mais bien en première ligne : la guerre de l’information. Certes, les conflits ont toujours fait une première victime : la vérité.
Cette fois, une dimension nouvelle semble se dessiner : l’exploitation en temps réel du concept de « crime de guerre
». Et tout se passe comme si les experts, à Washington notamment, avaient méticuleusement préparé ces offensives médiatico-idéologiques en amont même du déclenchement des hostilités.
Depuis des semaines, des bataillons de juristes et d’experts mandatés par des États, des institutions et des ONG sont à l’œuvre : procureur de la Cour pénale internationale, équipes conjointes avec plusieurs pays parties prenantes, « plateforme de coopération judiciaire », envoyés d’États en tant que tels… Il est à noter que deux organes de l’UE, Europol et Eurojust, sont mobilisés. Censés, en temps normal, coordonner les activités policières et judiciaires dans certaines affaires transnationales, ils ont vu en un clin d’œil leurs compétences opportunément élargies. Le tout pour « appuyer » le procureur général d’Ukraine.
Jusqu’à présent, les enquêtes et procès pour crimes de guerre étaient postérieurs aux affrontements. Cette fois, les stratèges occidentaux comptent bien que les investigations des dispositifs policiers et juridiques saturent les réseaux sociaux et chaînes d’information, heure par heure.
Car il n’y a jamais eu, et il n’y aura jamais de « guerre propre ». C’est même la première raison qui légitime les nécessaires combats pour la paix, passés et à venir. Ce qui laisse pantois, c’est l’identité de ceux qui prétendent dénoncer les horreurs et atrocités au nom de considérations
humanistes. À commencer par les dirigeants américains. Car s’il y a un expert incontesté en matière de « crimes de guerre
» depuis 1945, c’est avant tout à l’Oncle Sam qu’il faut décerner la palme toutes catégories.
Du massacre de My Lai (Viet-nam, 1968) et de l’épandage de napalm sur les populations civiles vietnamiennes jusqu’au sinistre centre de détention et de torture de Bagram (base américaine en Afghanistan, à partir de 2002), en passant par les pyramides de corps dénudés et suppliciés à Abou Ghraïb (centre militaire US en Irak, dont les images sinistres de 2003-2004 ont fait le tour du monde), ce sont les auteurs de ces charmantes expériences qui s’indignent aujourd’hui des exactions alléguées en Ukraine. Il faudrait aussi évoquer les opérations dites d’« extraordinary rendition », véritables délocalisations à l’échelle industrielle de sites de torture vers des États consentants de l’UE.
Et que dire des déclarations restées célèbres de Madeleine Albright, récemment décédée ? En 2018, interrogée sur la mort de 500 000 enfants irakiens au cours de l’embargo et de la guerre contre ce pays, l’ancienne secrétaire d’État répondait
: « C’est une question difficile, mais oui, ce prix à payer en valait la peine ». A-t-on jamais entendu un tel crime de guerre aussi ouvertement assumé et revendiqué ? Et c’est Washington qui ose donner des leçons aujourd’hui ?
On pourrait aussi rappeler qu’un seul pays a jamais utilisé la bombe atomique. En mai 1945, ce fut une décision américaine qui grava le nom des villes d’Hiroshima et de Nagasaki dans les pires horreurs de l’Histoire, et ce sans qu’aucune justification militaire ne l’imposât. En réalité, des livres entiers sont nécessaires pour relater les forfaits imprescriptibles ordonnés par Washington, tant il est vrai que l’histoire de ce pays est une longue suite d’interventions extérieures, ouvertes ou sous couverture, dont aucune ne se fit en gants blancs.
Aujourd’hui encore, des millions d’Afghans connaissent une situation durable de quasi-famine, résultat direct de l’occupation otanienne qui a fait dépendre l’économie de ce pays du commerce de drogue et des subsides occidentaux aujourd’hui coupés. Les conséquences effroyables de la guerre au Yémen ne sont pas plus enviables. Et que dire de l’écrasement et de l’humiliation du peuple palestinien sous occupation israélienne depuis sept décennies ?
Or nul n’imagine réclamer que le président américain, le prince héritier saoudien et encore moins le Premier ministre de l’État hébreu soient traduits devant quelque Cour que ce soit.

Quant aux dirigeants européens, beaucoup rêvent de construire une « Europe géopolitique ». Certains, comme le ministre français Bruno Le Maire, et avant lui l’ancien président de la Commission européenne José Manuel Barroso, ont la franchise de nommer cela un empire.



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Une nouvelle fois, dirigeants américains et européens, grands médias dominants et réseaux sociaux ont répandu leur indignation affichée, après le bombardement, le 27 juin, de Krementchouk. Seule la thèse ukrainienne, des dizaines de victimes civiles dans le bombardement d’un centre commercial, a été relayée comme parole d’évangile. La thèse russe, le ciblage d’un dépôt d’armes dans une usine attenante, n’a souvent même pas été citée.
Les États-Unis et l’Union européenne veulent à tout prix éviter d’apparaître comme « co-belligérants » dans la guerre en Ukraine. Ils le sont pourtant bel et bien que ce soit par les sanctions, par la fourniture massive d’armements lourds, par l’entraînement des troupes de Kiev, par la mise à
Disposition de renseignements stratégiques.
Il y a une autre guerre encore pour laquelle les dirigeants occidentaux ne sont pas seulement « co-belligérants », mais bien en première ligne : la guerre de l’information. Certes, les conflits ont toujours fait une première victime : la vérité.
Cette fois, une dimension nouvelle semble se dessiner : l’exploitation en temps réel du concept de « crime de guerre
». Et tout se passe comme si les experts, à Washington notamment, avaient méticuleusement préparé ces offensives médiatico-idéologiques en amont même du déclenchement des hostilités.
Depuis des semaines, des bataillons de juristes et d’experts mandatés par des États, des institutions et des ONG sont à l’œuvre : procureur de la Cour pénale internationale, équipes conjointes avec plusieurs pays parties prenantes, « plateforme de coopération judiciaire », envoyés d’États en tant que tels… Il est à noter que deux organes de l’UE, Europol et Eurojust, sont mobilisés. Censés, en temps normal, coordonner les activités policières et judiciaires dans certaines affaires transnationales, ils ont vu en un clin d’œil leurs compétences opportunément élargies. Le tout pour « appuyer » le procureur général d’Ukraine.
Jusqu’à présent, les enquêtes et procès pour crimes de guerre étaient postérieurs aux affrontements. Cette fois, les stratèges occidentaux comptent bien que les investigations des dispositifs policiers et juridiques saturent les réseaux sociaux et chaînes d’information, heure par heure.
Car il n’y a jamais eu, et il n’y aura jamais de « guerre propre ». C’est même la première raison qui légitime les nécessaires combats pour la paix, passés et à venir. Ce qui laisse pantois, c’est l’identité de ceux qui prétendent dénoncer les horreurs et atrocités au nom de considérations
humanistes. À commencer par les dirigeants américains. Car s’il y a un expert incontesté en matière de « crimes de guerre
» depuis 1945, c’est avant tout à l’Oncle Sam qu’il faut décerner la palme toutes catégories.
Du massacre de My Lai (Viet-nam, 1968) et de l’épandage de napalm sur les populations civiles vietnamiennes jusqu’au sinistre centre de détention et de torture de Bagram (base américaine en Afghanistan, à partir de 2002), en passant par les pyramides de corps dénudés et suppliciés à Abou Ghraïb (centre militaire US en Irak, dont les images sinistres de 2003-2004 ont fait le tour du monde), ce sont les auteurs de ces charmantes expériences qui s’indignent aujourd’hui des exactions alléguées en Ukraine. Il faudrait aussi évoquer les opérations dites d’« extraordinary rendition », véritables délocalisations à l’échelle industrielle de sites de torture vers des États consentants de l’UE.
Et que dire des déclarations restées célèbres de Madeleine Albright, récemment décédée ? En 2018, interrogée sur la mort de 500 000 enfants irakiens au cours de l’embargo et de la guerre contre ce pays, l’ancienne secrétaire d’État répondait
: « C’est une question difficile, mais oui, ce prix à payer en valait la peine ». A-t-on jamais entendu un tel crime de guerre aussi ouvertement assumé et revendiqué ? Et c’est Washington qui ose donner des leçons aujourd’hui ?
On pourrait aussi rappeler qu’un seul pays a jamais utilisé la bombe atomique. En mai 1945, ce fut une décision américaine qui grava le nom des villes d’Hiroshima et de Nagasaki dans les pires horreurs de l’Histoire, et ce sans qu’aucune justification militaire ne l’imposât. En réalité, des livres entiers sont nécessaires pour relater les forfaits imprescriptibles ordonnés par Washington, tant il est vrai que l’histoire de ce pays est une longue suite d’interventions extérieures, ouvertes ou sous couverture, dont aucune ne se fit en gants blancs.
Aujourd’hui encore, des millions d’Afghans connaissent une situation durable de quasi-famine, résultat direct de l’occupation otanienne qui a fait dépendre l’économie de ce pays du commerce de drogue et des subsides occidentaux aujourd’hui coupés. Les conséquences effroyables de la guerre au Yémen ne sont pas plus enviables. Et que dire de l’écrasement et de l’humiliation du peuple palestinien sous occupation israélienne depuis sept décennies ?
Or nul n’imagine réclamer que le président américain, le prince héritier saoudien et encore moins le Premier ministre de l’État hébreu soient traduits devant quelque Cour que ce soit.

Quant aux dirigeants européens, beaucoup rêvent de construire une « Europe géopolitique ». Certains, comme le ministre français Bruno Le Maire, et avant lui l’ancien président de la Commission européenne José Manuel Barroso, ont la franchise de nommer cela un empire.



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Donbass
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Sitrep Opération Z : effondrement du front

Traitons d’abord de l’île des Serpents car le niveau de bruit est incroyable. L’île des Serpents, dans la mer Noire, restera sous contrôle naval et aérien russe selon l’homme politique russe Alexei Chernyak. Fin de l’histoire
La Russie peut prendre ce morceau de roche serpentine et le pulvériser à coup de missiles jusqu’à ce qu’il n’existe plus, mais elle vient d’utiliser ce rocher pour effacer le plus grand obstacle (mensonge) de l’Ukraine concernant la quantité dérisoire de blé dans les navires qui ne peuvent toujours pas passer. Maintenant, le prétendu « ordre international » n’a plus d’excuses et l’Ukraine doit déminer ses mines navales. Mais n’oubliez jamais que nous avons affaire à l’Empire du Mensonge !
Pour celui-ci, nous allons d’abord regarder le grand monde, puis nous irons sur les remparts.

Un rappel : De quoi s’agit-il ?

Un conseiller de Biden affirme que les conducteurs américains paieront un supplément pour l’essence aussi longtemps qu’il le faudra, car :

Il s’agit de l’avenir de l’ordre mondial libéral et nous devons rester fermes.
L’ordre mondial libéral est un code pour l’ordre international fondé sur des règles, qui est un code pour un seul pôle de pouvoir dans notre monde. En d’autres termes, ils comprennent à un certain niveau qu’ils se battent pour leur existence en tant que chef suprême.
Par contraste, écoutons le ministre des affaires étrangères Sergey Lavrov à Minsk le 30 juin 2022
L’ordre mondial futur est en jeu. Nous allons revenir aux origines et observer dans la pratique les principes de la Charte des Nations unies, avant tout le principe de l’égalité souveraine des États, ou bien le monde sera plongé dans le chaos pour longtemps. Notre choix est clair : nous sommes pour le respect inconditionnel du droit international. Nous défendrons cette position avec nos alliés biélorusses et nos nombreux autres partenaires qui partagent ces approches, ce qui a été confirmé lors du récent sommet des BRICS et dans les documents finaux adoptés lors de ce sommet.

La Russie et le monde multipolaire se renforcent de jour en jour. Voyons comment le puissant s’effondre :

Le cirque de l’UE

Nous avons récemment publié un clip de Douglas MacGregor avec le titre : Son effondrement
Il n’y a pas grand-chose à dire ici et nous ne pouvons l’illustrer que par une ou deux caricatures. Le nombre de caricatures générées par ce cirque a dépassé toutes les attentes. Tout le monde fait de la caricature !

OTAN – Crise d’existence et une autre annonce de Wunderwaffe

Les amis chinois font le point sur la scission de l’OTAN :
Sur la seule question du conflit entre la Russie et l’Ukraine, les pays occidentaux ont des exigences différentes : « l’Allemagne, la France et l’Italie veulent arrêter la guerre le plus vite possible, et les États-Unis appellent tous les pays de l’OTAN à faire cause commune contre la Russie ». Wang Shuo, professeur à l’école des relations internationales de l’université des études étrangères de Pékin, estime que dans cette situation, de nombreux pays européens se demandent si l’OTAN peut résoudre la crise en Ukraine. Si elle ne peut pas fonctionner, à quoi sert l’existence de l’OTAN ? Au moment où les Européens pensent que l’OTAN doit jouer un rôle, elle s’est révélée désunie et incompétente, un autre signe de la crise existentielle de l’OTAN.

Et sur le document de l’OTAN :

Zhao Lijian : Le concept stratégique OTAN 2022 a déformé les faits et déformé la vérité. Dans ce document, l’OTAN a une fois de plus défini à tort la Chine comme posant des « défis systémiques« . Elle a dénigré la politique étrangère de la Chine et pointé du doigt la posture militaire et la politique de défense normales de la Chine. Le document cherche à attiser la confrontation et l’antagonisme et sent fortement la mentalité de guerre froide et le parti pris idéologique. La Chine est gravement préoccupée par cette situation et s’y oppose fermement.
Voici le message que nous adressons à l’OTAN : l’exagération de la soi-disant « menace chinoise » ne mènera nulle part. L’OTAN doit immédiatement cesser ses accusations sans fondement et sa rhétorique provocatrice à l’encontre de la Chine, abandonner la mentalité dépassée de guerre froide et l’esprit du jeu à somme nulle, renoncer à sa foi aveugle dans la puissance militaire et à sa pratique erronée de la recherche de la sécurité absolue, mettre un terme à la dangereuse tentative de déstabilisation de l’Europe et de l’Asie-Pacifique, et agir dans l’intérêt de la sécurité et de la stabilité en Europe et au-delà.

Les États baltes ne croient plus en l’OTAN

La Lettonie et l’Estonie ont décidé d’acheter des systèmes de défense aérienne pour une défense commune.
« Le sommet de l’OTAN a donné un signal clair que l’assistance sera fournie à ceux qui sont prêts à se défendre« , a déclaré le ministre estonien de la défense, M. Laanet. L’initiative de développer la défense régionale a également été soutenue par son homologue letton Pabriks. « Nous travaillons au développement de nos propres capacités« , a-t-il souligné.
La Finlande déclare qu’elle n’extradera PAS ses citoyens vers d’autres pays, QUELLES QUE SOIENT LES CIRCONSTANCES – Pekka Haavisto, ministre finlandais des Affaires étrangères.
Ainsi, la condition préalable de la Turquie à l’entrée de la Finlande dans le bloc de l’OTAN s’effondre déjà. Le Sultan sait peut-être que cela pourrait ne pas se produire du tout. Voici à quoi cela ressemble : La Finlande et la Suède n’ont pas encore adhéré à l’OTAN, et le processus est encore long, dit Erdogan. Selon lui, les signatures au sommet de Madrid ne signifient pas la fin du travail pour éliminer les préoccupations d’Ankara. La Turquie veut voir dans la pratique ce que signifient les décisions prises.
Scholz (pour ce qu’il vaut), lors de cette même réunion de l’OTAN, a pris peur et a rapidement demandé de ne pas entraver le transit des marchandises russes vers Kaliningrad. Il veut réduire les tensions dans la région de la Baltique. Le plus intéressant est que Politico le rapporte. Mais ensuite, il veut fixer les règles selon un certain concept d’ordre international fondé sur des règles qu’il se croit apparemment autorisé à promulguer sur le champ.
« Les règles de transit devraient être établies en tenant compte du fait que nous avons affaire ici à un trafic entre deux parties de la Russie », a-t-il déclaré lors du sommet de l’OTAN à Madrid.

Et il s’en prend aussi aux sanctions :

« Dans le cas de Kaliningrad, il faudrait faire une exception aux sanctions anti-russes », a souligné M. Scholz.

L’homme politique et ancien ministre de l’énergie Panagiotis Lafazanis exhorte :

La Grèce à conclure une alliance stratégique avec la Russie et à lever les sanctions, car « l’Europe est durement touchée par les sanctions. L’Europe s’est tirée une balle.«
Et puis, l’Allemagne saisit les méthaniers de Gazprom qui appartenaient à la filiale allemande du géant russe de l’énergie – Gazprom Germania. Et la Russie, sous la forme de Gazprom, augmente le seuil de douleur en fermant le robinet de gaz de l’entreprise, et les principaux détaillants de gaz en Allemagne et au Royaume-Uni ont soudain le regard fixe lorsque le fond du réservoir devient visible.
Ainsi, au vu des extraits de ces derniers jours par le cirque de l’UE et l’annonce de Wunderwaffen par l’OTAN, pouvez-vous voir clairement qu’ils ne racontent que de grandes histoires. Ces armes peuvent ne pas se matérialiser, et la plupart le savent. D’ailleurs, si la Russie ne les détruit pas, elle les achète.

Commerce d’armes sur la ligne de contact et livraisons indirectes d’équipements militaires de l’Europe vers la Russie par les Ukrainiens

Dans le contexte des nouvelles concernant le transfert de six autres unités de canons automoteurs CAESAR par la France à l’Ukraine, nous voulons parler un peu de la situation du commerce des armes sur la ligne de contact.
Nous avons déjà écrit que deux canons automoteurs CAESAR sont allés du côté russe pour la somme ridicule de 120 000 dollars. Dans le même temps, les négociateurs ukrainiens avaient initialement demandé un million de dollars pour le lanceur.

Comment cela se présente techniquement dans la pratique :

Des négociations sont en cours au sein des forces spéciales sur la possibilité d’acquérir tel ou tel modèle d’équipement étranger ;
Comme tout cela se déroule sur la ligne de contact, le contrôle sur les types spécifiques d’armes et d’équipements militaires reçus de l’Ouest est plutôt conditionnel à cet endroit : tout au plus peut-on compter sur un commandant relativement timide et des représentants du SBU plutôt zélés, qui se moquent éperdument des pertes de réputation de l’Ukraine en cas de perte d’équipements étrangers ;
La partie russe agit comme un acheteur pointilleux qui n’a pas besoin d’armes et d’équipements militaires obsolètes : tout ce qui est nécessaire a été obtenu par des services de renseignement clandestins, etc. Les hommes d’affaires ukrainiens locaux essaient d’encaisser et de vendre en quelque sorte aux forces armées de la Fédération de Russie ce qu’ils ont. Par conséquent, les transactions se font, mais sont guidées par la partie russe, en même temps, uniquement par l’opportunité de maintenir des contacts avec l’ennemi ;

En ce qui concerne les forces spéciales, elles se mettent d’accord sur l’organisation d’un raid d’artillerie massif sur une certaine place déjà vide pour détourner l’attention pendant que le transfert effectif d’équipement est effectué ;
La partie russe a déjà exprimé son intérêt pour l’acquisition de HIMARS. Ils ont demandé plus de munitions.
Pour la partie russe, nous le répétons, de tels accords donnent l’occasion de maintenir des contacts de travail avec la partie ukrainienne, ce qui permettra à l’avenir de résoudre des questions beaucoup plus pressantes. Du côté ukrainien, il y a un grand désir de ne pas se battre et de gagner de l’argent.
C’est donc l’un des accords avec la Wunderwaffe. En voici un autre :
Certains observateurs des chaînes ukrainiennes rapportent que l’état-major ukrainien a demandé à Zelensky, dans son rôle de président, de cesser de demander des obusiers 777 et des systèmes antichars NLAW, qui tombent rapidement en panne ou ne fonctionnent pas du tout.
(Le canal Telegram où j’ai trouvé ceci, note … hahahahah p***ain de Wunderwaffe)
La visite actuelle de Xi Jinping à Hong Kong, à l’occasion du 25e anniversaire de sa rétrocession par les Britanniques, en dit long. De même que la visite prévue de Poutine au prochain G20. Le fait que ces deux dirigeants voyagent désormais en dehors de leur pays doit montrer que quelque chose a changé. Soit le risque de Covid est désormais tel qu’ils peuvent l’assumer, soit l’environnement sécuritaire a changé au point que leur personnel de sécurité considère ces visites comme un risque acceptable.
L’Europe réduit lentement les paiements aux réfugiés ukrainiens. La Pologne ne paie plus la nourriture et le logement des réfugiés ukrainiens, à l’exception des femmes enceintes, des personnes handicapées et des familles nombreuses.
Ce sont des arguments convaincants qui montrent que l’UE se brise et que l’OTAN se fissure.

Nous allons sur les remparts

Le ministère russe de la Défense annonce une avancée réussie à Lisichansk, dans la région de Lougansk, les forces russes et alliées prenant le contrôle de la raffinerie de pétrole de Lisichansk ainsi que d’autres quartiers clés de la ville, alors que les forces ukrainiennes battraient en retraite de manière désorganisée.
Sergei Kiriyenko s’est rendu dans la région de Kharkov. Cette visite est considérée comme un signe que Poutine a pris la décision d’annexer la région, aujourd’hui Kharkiv, et anciennement Zaporozhye et Kherson, à la Russie. La délivrance de passeports russes a commencé et la formation de l’administration est en cours. La Russie assume l’entière responsabilité d’une telle région. Le drapeau russe est pour toujours si Kiriyenko, qui est responsable spécifiquement de la politique intérieure, y est allé.
Dès que les passeports circulent et que les banques ouvrent, la Russie est là : La première succursale de la Promsvyazbank, l’une des plus grandes banques d’État russes, a ouvert à Kherson et il y a déjà un tas de gens qui font la queue.
Le régime de Kiev tente de cacher la défaite des troupes ukrainiennes à Severodonetsk et de présenter la fuite des militants des FAU vers Lysychansk comme une retraite tactique.
Comme d’habitude, les détails se présentent sous de nombreuses formes et nous remercions les commentateurs qui postent régulièrement des points de vue différents. Soyez conscient que nous venons du brouillard de Lisichansk, donc, ne croyez pas tout ce que chaque Tom, Dick, et Harry prononce. Confirmez toujours avec le rapport du ministère russe de la Défense. Nous aimons toujours le site Military Summary. Je vous suggère de prendre le dernier rapport d’hier avant de regarder le premier rapport d’aujourd’hui. La raison en est qu’il mentionne à la fin certains de ceux avec qui il travaille.
La vengeance est en cours pour le piratage total de toutes les sources russes au moment où le SMO a commencé.
Les hackers de XakNet Team ont piraté le site de la chaîne de télévision Ukraine is Our Home. L’hymne de la Russie y est maintenant diffusé.
Plus tôt, ils ont déclaré avoir obtenu l’accès aux systèmes des entreprises énergétiques ukrainiennes du groupe DTEK.
Et aujourd’hui, le groupe Killnet a mis hors service le site Web du système fédéral américain de paiement des impôts.
 
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Aperçu des gentils américains

Interventions militaires des États-Unis dans le monde


Liste des interventions​

1775 à 1800​

1775 à 1783 : Guerre d'indépendance des États-Unis.

1775-1776 : au Canada4 et dans l'Atlantique au cours de la guerre d'indépendance des États-Unis.

1776-1795 : guerres cherokees-américains. Poursuite de la Seconde guerre cherokee, au cours de laquelle de nombreuses tribus autochtones tentent de mettre un terme à l'expansion des colons dans le Kentucky et le Tennessee.

1785-1795 : guerre amérindienne du Nord-Ouest, également connue sous le nom de guerre de Little Turtle, qui opposa les États-Unis à une confédération de plusieurs nations amérindiennes pour le contrôle du Territoire du Nord-Ouest.

1798 à 1800 : quasi-guerre, conflit naval contre la France révolutionnaire. Mer des Caraïbes et côtes nord-américaine de l'Atlantique. Terminé par le traité de Mortefontaine.

1799 : Fries Rebellion.

1800 à 1850​

1800​

1801 à 1805 : guerre de Tripoli plus connue sous le nom de guerre barbaresque, le bey de Tripoli et ses alliés de Tunis et d'Alger déclarent la guerre aux États-Unis qui ne voulaient plus payer de tribut pour le passage de leurs navires.

1806 : l'expédition d'exploration Pike pénètre en territoire espagnol aux sources du Rio Grande.

1806 à 1810 : des navires de la marine américaine attaquent des navires corsaires français et espagnols dans les Caraïbes5

1810​

1810 : des troupes envahissent la Floride occidentale, possession espagnole dont elles s'emparent.

1812 : des troupes s'emparent d'Amelia Island et des territoires adjacents.

1812 à 1815 : guerre anglo-américaine de 1812 avec l'Empire britannique, comprend des opérations navales et terrestres.

1813 : les forces américaines s'emparent de Nuku Hiva dans les îles Marquises et établissent brièvement la première base américaine dans le Pacifique.

1815 : seconde guerre barbaresque contre la régence d'Alger, dirigée par le commodore Stephen Decatur, qui force le dey Omar à signer un traité mettant fin aux attaques de navires américains par les corsaires barbaresques.

1816 : Les forces américaines détruisent Negro Fort (en) en Floride.

1816 à 1818 : Première guerre séminole.

1830​

1832, Première expédition de Sumatra.

1835 à 1842 : Deuxième guerre séminole.

1838, 2 janvier : Muckie (en) à Sumatra, un détachement de Marines protège des citoyens américains.

1838-1839, Seconde expédition de Sumatra.

1840​

1841 : Expédition punitive à Samoa,

1843 : combats en Côte d'Ivoire dans le cadre de la lutte contre le commerce des esclaves6

1846-1848 : guerre américano-mexicaine, les États-Unis d'Amérique annexent la moitié du territoire mexicain. Ce territoire est maintenant réparti en États : la Californie, le Nevada, l'Utah, l'Arizona, le Nouveau-Mexique, et une partie du Colorado.

1850 à 1900​

1850​

1852, 3 au 12 février, 17 septembre et en avril 1853 : Argentine, les Marines s'installent à Buenos Aires pour protéger les intérêts américains durant une guerre civile5.

1853 : Nicaragua, protection des citoyens et des intérêts américains pendant des troubles politiques.

1853 et 1854 :

Japon, le commodore Matthew Perry menace le Japon avec ses Navires noirs, des canonnières, et oblige le Japon à s'ouvrir à l'Occident avec la convention de Kanagawa en 18547

Archipel Ryūkyū, alors dans le royaume de Ryūkyū, inféodé à la Chine des Qing, et archipel d'Ogasawara. Le contre-amiral Perry utilise la force de dissuasion de sa flotte navale envers les autorités de Naha, sur l'île d'Okinawa, qui lui accordent la gestion d'une concession minière, les îles de Bonin, ainsi que des facilités commerciales.

1854, 13 juillet : Côte des Mosquitos, en représailles à une blessure faite a un consulat américain en poste au Nicaragua par une rébellion qui voulait percevoir des taxes, bombardement de Greytown (San Juan de Nicaragua)5.

1855 à 1858 : Troisième guerre séminole.

1855, 25 au 29 novembre : Uruguay, intervention américaine et européenne pour protéger leurs intérêts lors d’une tentative de révolution à Montevideo.

1856 :

Chine, octobre et novembre, débarquement des marines à Canton lors de la seconde guerre de l'opium entre Chine et Royaume-Uni.

République de Nouvelle-Grenade, (région de Panama), débarquement des marines pour la protection des intérêts et ressortissants étrangers lors d'une insurrection5.

1858 :

Fidji, 6 octobre, débarquement des marines à la suite des meurtres de deux Américains pris dans une guerre tribale5.

Uruguay, janvier , les marines débarquent à Montevideo avec des forces d'autres pays durant la révolution de 1858 en Uruguay pour la protection des ressortissants étrangers5.

1859 :

Chine, pendant la seconde guerre de l'opium, les troupes américaines débarquent à Shanghai du 31 juillet au 2 août afin de protéger les intérêts américains.

Mexique, des troupes traversent le Rio Grande à la poursuite de bandits5.

Paraguay, d'octobre 1858 à février 1859, déploiement d'une importante force navale5.

1860​


Angola portugais, intervention afin de protéger les citoyens et des biens américains lors d'une révolte d'Angolais à Kissembo contre le Portugal.

Colombie (région de Panama ), déploiement de forces navales.

1863, 16 juillet : Japon, bataille navale de Shimonoseki contre le Domaine de Chōshū.

1864, 14 juillet au 3 août : Japon, des troupes débarquent à Edo (actuellement Tokyo) pour la protection de l'ambassadeur des États-Unis et une démonstration de force5.

1865 : Colombie (région de Panama), débarquement des marines.

1866 :

Chine juin et juillet , débarquement des marines à Yingkou (au Liaoning) après l'attaque d'un consul et de ses gardes5.

1866 : Mexique, des troupes envahissent et s'emparent de Matamoros, puis se retirent.

1867 :

Nicaragua 6 septembre, les marines débarquent à Managua et León5.

Taïwan, 13 juin débarquement des marines à la suite du meurtre de l’équipage d'un navire marchand américain5.

1868 :

Japon, 1er février au 4 avril les forces navales américaines sont déployées à Osaka, Hyōgo, Nagasaki, Yokohama et Nagata pour la protection des ressortissants étrangers durant la guerre de Boshin5.

Uruguay, février : les marines débarquent à Montevideo à la demande des autorités uruguayennes pour la protection des ressortissants étrangers durant une insurrection5.

Colón (ville du Panama), avril, débarquement des marines devant l'absence de police pour assurer la sécurité du chemin de fer du Panama5.

1870​

1871 : Corée, expédition de Corée.

1873 : Colombie, déploiement de forces.

1874 : Hawaï, février, débarquement des marines à la demande des autorités locales pour le maintien de l’ordre5.

1876 : Mexique, l'armée occupe à nouveau Matamoros.

1880​

1882 : Khédivat d'Égypte, 14 juin, débarquement de troupes durant un bombardement britannique durant la guerre anglo-égyptienne pour assurer la protection des ressortissants américains5.

1885 :

Colombie (Région de Panama ), des troupes débarquent à Colón et à Panama.

Samoa, déploiement d'une force navale.

1888 : Haïti, débarquement de troupes.

Samoa, débarquement des marines.

1889 : Samoa, confrontation avec les forces navales allemandes.

Argentine, la marine débarque à Buenos Aires.

1890
1891 : Chili, la marine américaine débarque dans la grande ville portuaire de Valparaíso.

Haïti, les marines débarquent sur l'île Navassa revendiquée par les États-Unis.

1893 : Hawaï, les États-Unis renversent la monarchie constitutionnelle et mettent en place un gouvernement « provisoire » sous l'autorité de Sanford Ballard Dole, annexion définitive en 1898.

1894 : Nicaragua, intervention à Bluefields afin de protéger les intérêts des États-Unis à la suite d'une révolution.

1898 : Guerre hispano-américaine avec comme motif la libération de Cuba de la tutelle espagnole. Les États-Unis imposent la possibilité d'investissements financiers et un droit d'ingérence dans les affaires intérieures du pays. Construction d'une base militaire7.

18987 toujours dans le cadre de la guerre hispano-américaine :

Porto Rico, Hawaï, Wake, Guam

Philippines

1898-1901 : Guerre hispano-américaine. À la suite de l'insurrection de Cuba contre les Espagnols, des navires américains sont envoyés pour protéger les intérêts de ce pays dans cette île, puis un gouvernement militaire d'occupation est mis en place par les États-Unis le 1er janvier 1899, jusqu'en 19028.

1899-1902 : Guerre américano-philippine

1900 à 1950​

1900​

1900 : Chine, participation à l'Alliance des huit nations qui intervient à Pékin pendant la révolte des Boxers.

1903 : Colombie, aide à une révolte, visant à la séparation de ce qui deviendra la république de Panama en vue de la construction du canal de Panama.

1903 : intervention en République dominicaine8.

1906-1909 : interventions à Cuba8.

1909 : intervention au Honduras8.

1910​

1910, 1912, 1913 : troupes d'occupation au Nicaragua8.

1914, 21 avril au 3 novembre : troupes d'occupation à Veracruz, Mexique9,8.

1914 : débarquement de troupes américaines à Haïti, qui y restent jusqu'en 19348.

1916-1917 : guerre de la frontière américano-mexicaine à la suite de l'incursion armée de Pancho Villa aux États-Unis10

1917 à 1918 : États-Unis dans la Première Guerre mondiale.

De 1916 à 1924 : troupes d'occupation du corps des marines en République dominicaine8.

1920​

De 1922 à 1924, puis de 1926 à 1933 : Nicaragua : défense des intérêts des citoyens américains pendant des troubles politiques intérieurs11,8.

19221923 : Débarquement de marines en Chine à cinq reprises pour protéger les intérêts américains.

19241925 : Débarquements de marines à Shanghai pour protéger les ressortissants américains des émeutiers.

19261933 : Nombreux débarquements au Nicaragua pour protéger les intérêts américains.

1930​

1932 : Débarquement d'un corps de protection pendant l'occupation japonaise de Shanghai.

1932 : Les USA font donner la troupe contre les manifestants de la Bonus Army.

1940​

1941 : Mise sous protectorat américain du Groenland.

1941 : Mise sous protectorat américain de l'Islande, avec le consentement de son gouvernement.

1941 à 1945 : États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale.

1945 et 1946 : envoi de troupes en Chine pour désarmer les forces de l'armée impériale japonaise et rapatrier les ressortissants japonais après la capitulation de ce pays12.

1946 : Philippines, soutien au gouvernement face à une insurrection.

1947 : Grèce, soutien logistique militaire au régime royaliste engagé dans la guerre civile grecque soutenu auparavant par le Royaume-Uni.

1950 à 2000​

1950 à 1953 : guerre de Corée à la suite de l'invasion par la Corée du Nord de la Corée du Sud ; première intervention via l'ONU.

1953 : Iran : la CIA organise un coup d'État pour renverser le premier ministre Mohammad Mossadegh.

1954 : Guatemala, renversement du gouvernement en place.

1958 : bombardements par des avions de la Civil Air Transport (futur Air America) de la CIA en un soutien infructueux à un mouvement de guérilla en Indonésie contre Soekarno13.

1958: du 15 juillet au 25 octobre 1958, intervention au Liban dans le cadre de la doctrine Eisenhower et à la demande du président Camille Chamoun.

1960
1960 : bombardements au Guatemala.

1961 : Cuba, échec du débarquement de la baie des Cochons des opposants à Fidel Castro (n'est pas une intervention officielle des États-Unis)14.

1961 à 1972 :

Guerre du Viêt Nam, en août 1964, alors que des conseillers militaires américains sont présents au Sud Viêt Nam depuis une dizaine d’années, le président Johnson invoque une attaque fictive de deux destroyers américains par des torpilleurs nord-vietnamiens (incidents du golfe du Tonkin), pour demander au Congrès une résolution exprimant la détermination des États-Unis à « soutenir la liberté et à protéger la paix en Asie du Sud-Est ». La résolution adoptée autorise le président à utiliser la force militaire conventionnelle en Asie du Sud-Est sans déclaration de guerre officielle. Les États-Unis s’engagent alors dans un conflit ouvert qui durera jusqu’en 1975. Le nombre de militaires américains déployés au Viêt Nam atteint 543 000 en avril 1969. La guerre fut marquée par de puissantes manifestations aux États-Unis et de nombreux crimes de guerre sur place.

18 mars 196926 mai 1970 : opération Menu au Cambodge oriental. Les États-Unis, à la demande secrète de Nixon et Kissinger, bombardent massivement le Cambodge, avec 3 875 sorties et 108 000 tonnes de bombes.

11 novembre 196829 mars 1972 : opération Commando Hunt (en), bombardements au Laos et au Viêt Nam du Nord.

Diverses autres interventions au Cambodge, Laos et Viêt Nam.

1964 :

Au Brésil, soutien au renversement de João Goulart par la junte militaire qui instaure une dictature sur la période 1964-1985

Panama

Appui aérien clandestin au gouvernement local contre une guérilla via des mercenaires qui deviendront le noyau de l'aviation congolaise durant la crise congolaise en République démocratique du Congo15.

1965 :

Indonésie, renseignements au gouvernement dans la répression du Mouvement du 30 septembre 1965 en Indonésie.

Occupation de la République dominicaine par les États-Unis à la suite d'une intervention dans une guerre civile avec l'appui de l'Organisation des États américains8.

1967 à 1969 : formation des forces armées du Guatemala par les Special Forces.

1970​

1970 : Campagne du Cambodge.

11 septembre 1973 : Chili, encouragement à un coup d'État du général Augusto Pinochet.

1973 : Pont aérien en faveur d'Israël lors de la Guerre du Kippour.

3 juillet 1979 : Afghanistan, « programme afghan » (1979 à 1992), armement par la CIA des moudjahidines afghans de divers groupes pour la guerre d'Afghanistan (1979-1989) contre l'URSS.

1980
1980 à 1990 : Salvador, aide militaire au gouvernement et aux Escadrons de la mort, pour chasser la guérilla. 100 000 morts dans cette guerre civile.

1981 à 1988 : Nicaragua, soutien des contras situées au Honduras, afin de lutter contre les sandinistes du Nicaragua.

1983 :

Liban : Force multinationale de sécurité à Beyrouth, départ après un double attentat contre les QG américain et français.

25 octobre 1983 - 15 décembre 1983 : Grenade : Invasion

1986, 14 avril : opération El Dorado Canyon, bombardement de plusieurs centres politiques et bases militaires en Libye, 45 morts libyens, deux pilotes américains tués à la suite d'attentats antiaméricains en Europe.

1988, 18 avril : bataille des plates-formes pétrolières Sassan et Sirri face à l'Iran.

1989 :

1er au 7 décembre : Philippines, soutien au gouvernement contre un coup d'État16.

Panama, 20 décembre : invasion du Panama par les États-Unis, renversement du général Manuel Noriega.

1990​

1991 : guerre du Golfe (opération Tempête du désert) à la suite d'une requête du Koweït (occupé par l'Irak) à l'ONU. Avec le soutien de l'ONU et d'une coalition internationale.

1992-1993 : Somalie, opération Restore Hope, intervention militaire des États-Unis pour soutenir les Opérations des Nations unies en Somalie.

1993 : Macédoine, 350 hommes dans une force de maintien de l'ONU.

1994 : Haïti, opération Uphold Democracy pour installer le président élu Jean-Bertrand Aristide.

1995 : Bosnie-Herzégovine, soutien aérien aux forces de l'ONU/OTAN sur place puis déploiement d'une force de maintien de la paix.

1998 : Irak, quatre jours de bombardement aérien sur des objectifs militaires et industriels.

1998 : le 20 août, double bombardement d'une usine de médicaments (soupçonnée d'appartenir à ben Laden) au Soudan et de camps d'entrainement terroristes en Afghanistan à la suite des attentats des ambassades américaines en Afrique du 7 août 1998.

1999 :

bombardements de l’OTAN en République Fédérale de Yougoslavie (mars-juin 1999)(Serbie, Monténégro, Kosovo)

Bombardement et intervention au sol de l'OTAN dans la guerre du Kosovo et déploiement depuis d'une force de maintien de la paix.

Timor oriental : soutien logistique aux forces de l'ONU pour son indépendance.

2000 à 2020​

2000​

2001 : la guerre contre le terrorisme est déclarée à la suite des attentats du 11 septembre 200117.

2001-en cours : intervention en Afghanistan dans le cadre de cette guerre en accord avec l'ONU2.

2002 : Philippines, dans le cadre de la guerre contre le terrorisme en soutien au gouvernement philippin contre des guérilla.

2003-2011 : guerre d'Irak, les États-Unis envahissent l'Irak avec le soutien du Royaume-Uni et d'autres nations en se passant de l'accord de l'ONU18.

2004-en cours : attaques aériennes américaines au Pakistan en aide au gouvernement pakistanais dans le cadre du conflit armé du Nord-Ouest du Pakistan.

2004 : Haïti, les États-Unis, dans une intervention militaire et avec l'aide de la France, chassent le président haïtien Jean-Bertrand Aristide du pouvoir.

2005 : Asie du Sud-Est, Réponse humanitaire au séisme du 26 décembre 2004 dans l'océan Indien avec 16 500 militaires.

2006- en cours : bombardements aériens de cibles d’Al-Qaïda en Somalie, avec l'accord du gouvernement de ce pays.

2010
2011 : intervention militaire de 2011 en Libye.

2014- en cours : guerre contre l'État islamique en Irak et en Syrie, sans l'accord de cette dernière.

2017- en cours : assistance des forces spéciales dans la bataille de Marawi, aux Philippines, contre des insurgés islamistes3.

2017 : Bombardement de la base aérienne d'Al-Chaayrate, en réponse à l'attaque chimique de Khan Cheikhoun.

2018 : Bombardements de Barzé et de Him Shinshar, en réponse à l'attaque chimique de Douma.

2020
2020 : Attaque aérienne de l'aéroport de Bagdad de 2020.

En Cours

2001-en cours : intervention en Afghanistan dans le cadre de cette guerre en accord avec l'ONU2.(Retrait des troupes aux 1er mai 2021)

2004-en cours : attaques aériennes américaines au Pakistan en aide au gouvernement pakistanais dans le cadre du conflit armé du Nord-Ouest du Pakistan.

2006- en cours : bombardements aériens de cibles d’Al-Qaïda en Somalie, avec l'accord du gouvernement de ce pays.

2014- en cours : guerre contre l'État islamique en Irak et en Syrie, sans l'accord de cette dernière.

2017- en cours : assistance des forces spéciales dans la bataille de Marawi, aux Philippines, contre des insurgés islamistes3.

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