Il est des douleurs,
Qu'on ne peut exprimer.
Il y a des pleures,
Que l'on ne peut réprimer.
Il y a aussi les peurs,
Que l'on ne peut surmonter.
Il y a des labeur,
Qui ne sont jamais récompensés.
Il est aussi des fureurs,
Qui ne seront jamais apaisés.
Alors on vit dans la rancœur,
Et on se refuse à aimer.
On sent s'éteindre alors nôtre cœur,
L'âme finie par nous quitter.
Ça y est on ne croit plus au bonheur,
C'est un rêve assassiné.
Qu'on ne peut exprimer.
Il y a des pleures,
Que l'on ne peut réprimer.
Il y a aussi les peurs,
Que l'on ne peut surmonter.
Il y a des labeur,
Qui ne sont jamais récompensés.
Il est aussi des fureurs,
Qui ne seront jamais apaisés.
Alors on vit dans la rancœur,
Et on se refuse à aimer.
On sent s'éteindre alors nôtre cœur,
L'âme finie par nous quitter.
Ça y est on ne croit plus au bonheur,
C'est un rêve assassiné.