Tel une fine couche d'existence, d'une simple caresse elle redonne vie. L'onde bleue s'empare de tous, les noie sous sa prestance et son initiative.
Il n'y a pas besoin de demander, cette nappe au reflet de lumière sait déjà qu'on préfère ici et là, qu'il ne faut pas aller là bas. Ce qui ne l'empêche pas de le faire.
Mais ce qu'elle préfère le plus c'est ces petits carrés émeraudes qui chatoyent de couleurs à sa venue, qui a de belles courbes harmonieuses. Qu'elles soient petites ou grandes, discrète ou extravagantes, ce sont les seules qui resplendissent en coupant le souffle du moindre inconscient quand elles le souhaitent.
De leurs plus belles parures elles attirent, elles sont là pour donner envie. Elles qui l'avaient pourtant fait pour elles-mêmes.
Bien sûr toute cette démarcation, ces couleurs et cette prestance unique qui pame le premier inconnu, nul besoin de présentation quand on est l'une d'elles. L'invité ne produit qu'un faible son avant de croire fondre sur sa proie, d'oser penser être maître de ce mystère.
Alors qu'elles savent comment faire ; une couleur à prendre pour capter tout les regards, de la position à adopter, jusqu'à l'infime douceur du nectar qui les enivre pour tout une vie.
Elle qui ne fait pas très belle à côté d'elles. Cette petite chose bien qu'imposante aux yeux des autres, rapetisse devant ces magnifiques et irréelles émeraude. Qu'elles passent du vert au rubis, jusqu'à disparaître, puis réapparaître, elle ne peut plus s'en passer.
T'en bien que mal elle tente de montrer violemment son tempérament, refusant tout et s'en allant à son tour. Or dès qu'elles disparaissent elle les enveloppe d'une rassurante couche fine, d'une étreinte mesurer tout en contenant ce qu'elle ressent à leur égard. Pour montrer son tempérament, elle inonde d'un geste et d'un reproche les seules choses qui l'importe, elle et le monde.
Mais malgré tout, en grandes maîtresses qu'elles sont, elles acceptent, se lient et se délient à leur raison de vivre.
Rien au monde n'est plus important qu'elle à leurs yeux, alors dans une dance doucereuse se retrouvent elles et se lient dans des voeux d'éternité, appelant le printemps.
Il n'y a pas besoin de demander, cette nappe au reflet de lumière sait déjà qu'on préfère ici et là, qu'il ne faut pas aller là bas. Ce qui ne l'empêche pas de le faire.
Mais ce qu'elle préfère le plus c'est ces petits carrés émeraudes qui chatoyent de couleurs à sa venue, qui a de belles courbes harmonieuses. Qu'elles soient petites ou grandes, discrète ou extravagantes, ce sont les seules qui resplendissent en coupant le souffle du moindre inconscient quand elles le souhaitent.
De leurs plus belles parures elles attirent, elles sont là pour donner envie. Elles qui l'avaient pourtant fait pour elles-mêmes.
Bien sûr toute cette démarcation, ces couleurs et cette prestance unique qui pame le premier inconnu, nul besoin de présentation quand on est l'une d'elles. L'invité ne produit qu'un faible son avant de croire fondre sur sa proie, d'oser penser être maître de ce mystère.
Alors qu'elles savent comment faire ; une couleur à prendre pour capter tout les regards, de la position à adopter, jusqu'à l'infime douceur du nectar qui les enivre pour tout une vie.
Elle qui ne fait pas très belle à côté d'elles. Cette petite chose bien qu'imposante aux yeux des autres, rapetisse devant ces magnifiques et irréelles émeraude. Qu'elles passent du vert au rubis, jusqu'à disparaître, puis réapparaître, elle ne peut plus s'en passer.
T'en bien que mal elle tente de montrer violemment son tempérament, refusant tout et s'en allant à son tour. Or dès qu'elles disparaissent elle les enveloppe d'une rassurante couche fine, d'une étreinte mesurer tout en contenant ce qu'elle ressent à leur égard. Pour montrer son tempérament, elle inonde d'un geste et d'un reproche les seules choses qui l'importe, elle et le monde.
Mais malgré tout, en grandes maîtresses qu'elles sont, elles acceptent, se lient et se délient à leur raison de vivre.
Rien au monde n'est plus important qu'elle à leurs yeux, alors dans une dance doucereuse se retrouvent elles et se lient dans des voeux d'éternité, appelant le printemps.