L’espoir, lumière infinie
Quand l’ombre s’étend sur les plaines désertées,
Et que le vent murmure des soupirs effacés,
Là, dans le cœur, une flamme vacille,
Fragile étincelle, douce et tranquille.
L’espoir s’élève, messager du demain,
Il prend racine au creux de nos mains,
Il peint des couleurs sur le gris des cieux,
Promesse d’un jour radieux et précieux.
Même si la nuit semble éternelle,
Et que le froid griffe la lumière frêle,
L’espoir persiste, secret indomptable,
Force invisible, aimant implacable.
Il danse sur les ruines des rêves brisés,
Il souffle des chants aux âmes épuisées,
Et quand tout semble s’éteindre enfin,
Il renaît, fidèle, comme un lointain refrain.
Ainsi, gardons-le, ce doux trésor,
L’éclat du possible, plus fort que la mort.
Car dans chaque battement, chaque soupir,
L’espoir est le fil qui nous fait revivre.
Quand l’ombre s’étend sur les plaines désertées,
Et que le vent murmure des soupirs effacés,
Là, dans le cœur, une flamme vacille,
Fragile étincelle, douce et tranquille.
L’espoir s’élève, messager du demain,
Il prend racine au creux de nos mains,
Il peint des couleurs sur le gris des cieux,
Promesse d’un jour radieux et précieux.
Même si la nuit semble éternelle,
Et que le froid griffe la lumière frêle,
L’espoir persiste, secret indomptable,
Force invisible, aimant implacable.
Il danse sur les ruines des rêves brisés,
Il souffle des chants aux âmes épuisées,
Et quand tout semble s’éteindre enfin,
Il renaît, fidèle, comme un lointain refrain.
Ainsi, gardons-le, ce doux trésor,
L’éclat du possible, plus fort que la mort.
Car dans chaque battement, chaque soupir,
L’espoir est le fil qui nous fait revivre.