Petit texte ✨
Tu es celle que je n'aurais jamais dû rencontrer, celle qui en un simple moment a su me charmer, sans vraiment se souvenir que nos chemins s'étaient croisés. J'ai gardé chaque instant de cette rencontre, de cette évasion, dans un écrin précieux et secret, cet écrin que l'on appelle le cœur.
Sans vraiment le savoir, sans vraiment le vouloir, tu as laissé la marque profonde que seul l'amour sait graver. J'ai aimé entendre ta voix, mais aussi voir ton visage, illuminé par ces deux yeux qui étincelaient de vie et de joie. J'ai aimé cette douceur que tu dégageait, cette folie que tu contenait, mais surtout cette aura si attachante et propre à toi qui t'enveloppait. Tu n'es comme personne, chacun est unique, mais tu es encore différente de cela à mes yeux, comme si tu flottais au dessus du monde, et le dominais de toute ta justesse et ta raison.
Par les artifices de l'amour j'ai cru un jour à ma chance, mais un fracas sourd m'a tiré de cette transe dérisoire. L'illusion a rencontré la réalité, cette réalité qui hurle à nos portes les mots les plus durs, nous arrache les larmes les plus amères, et ouvre les plaies qui à jamais perdurent. Et tu me rappelles chaque jour que je dois te voir sans t'admirer, t'entendre sans t'écouter et vivre, sans t'espérer.
Comment pourrais-je vouloir t'arracher à un autre qui est ton bonheur ? Mes sentiments sont peut être plein d'ardeur, mais je ne souhaite qu'une seule chose, de voir s'épanouir ton cœur. Ce petit cœur qui ne m'a jamais réellement vu, ni vraiment entendu, mais pourtant, si souvent pris au dépourvu.
Désormais le soir, quand je lève les yeux vers la voûte céleste, il n'y a plus de constellation qui me fascine. Parmi les étoiles, ce n'est pas ton visage qui se dessine, mais un cœur. Un cœur en deux fragments, un cœur qui se fend, un cœur ...
Sans sentiment.
Orlando 💚
Tu es celle que je n'aurais jamais dû rencontrer, celle qui en un simple moment a su me charmer, sans vraiment se souvenir que nos chemins s'étaient croisés. J'ai gardé chaque instant de cette rencontre, de cette évasion, dans un écrin précieux et secret, cet écrin que l'on appelle le cœur.
Sans vraiment le savoir, sans vraiment le vouloir, tu as laissé la marque profonde que seul l'amour sait graver. J'ai aimé entendre ta voix, mais aussi voir ton visage, illuminé par ces deux yeux qui étincelaient de vie et de joie. J'ai aimé cette douceur que tu dégageait, cette folie que tu contenait, mais surtout cette aura si attachante et propre à toi qui t'enveloppait. Tu n'es comme personne, chacun est unique, mais tu es encore différente de cela à mes yeux, comme si tu flottais au dessus du monde, et le dominais de toute ta justesse et ta raison.
Par les artifices de l'amour j'ai cru un jour à ma chance, mais un fracas sourd m'a tiré de cette transe dérisoire. L'illusion a rencontré la réalité, cette réalité qui hurle à nos portes les mots les plus durs, nous arrache les larmes les plus amères, et ouvre les plaies qui à jamais perdurent. Et tu me rappelles chaque jour que je dois te voir sans t'admirer, t'entendre sans t'écouter et vivre, sans t'espérer.
Comment pourrais-je vouloir t'arracher à un autre qui est ton bonheur ? Mes sentiments sont peut être plein d'ardeur, mais je ne souhaite qu'une seule chose, de voir s'épanouir ton cœur. Ce petit cœur qui ne m'a jamais réellement vu, ni vraiment entendu, mais pourtant, si souvent pris au dépourvu.
Désormais le soir, quand je lève les yeux vers la voûte céleste, il n'y a plus de constellation qui me fascine. Parmi les étoiles, ce n'est pas ton visage qui se dessine, mais un cœur. Un cœur en deux fragments, un cœur qui se fend, un cœur ...
Sans sentiment.
Orlando 💚