L’environnement sous-marin est réellement un monde à part. Tout y est différent et, à moins de savoir exactement ce que l’on fait, c’est un endroit dangereux.
Il n’est pas nécessaire de plonger profondément pour apprécier l’utilisation d’un appareil photo étanche ou les équipements spéciaux qui peuvent être adaptés à n’importe quel 24 x 36. Des photos intéressantes seront faites au niveau de la surface. A moitié au-dehors et à moitié au-dedans, ou même du rivage ou dans une piscine. L’eau n’est jamais opaque. Que vous plongiez dans l’océan, dans un lac, un torrent ou une piscine, les plus gros problèmes sont la mesure de l’exposition et le rendu des couleurs
Une bonne partie de la lumière est réfléchie par la surface et, même avec des posemètres spéciaux pour la photo sous-marine, les lectures précises sont difficiles à obtenir. La lumière est filtrée par l’eau provoquant des lectures qui conduisent à une surexposition d’environ 1/3 de diaphragme. Ouvrez entre 1/4 et 1/2 diaphragme supplémentaire par rapport à la lecture du posemètre. Le flash électronique est indispensable dans de mauvaises conditions de luminosité mais la lumière va se refléter dans les infimes particules en suspension dans l’eau.
Pour fixer la variété des couleurs sous-marines, les filtres de correction sont nécessaires. L’eau claire de la mer donnera une dominante bleu-vert ou verdâtre, cela dépend de la clarté de l’eau et de la couleur du ciel. Les courants chauds et froids provoquent aussi une différence de couleur.
La principale difficulté consiste à rendre les couleurs chaudes dans les tons rouge-orangé. L’utilisation des filtres est souvent purement expérimentale. Commencez avec un 10R et allez jusqu’au 40R pour les dominantes bleu-vert et essayez les filtres jaunes à partir de 10 pour les dominantes bleues. Près de la surface, le 30R est le plus utile. Les filtres prévus pour la photo sous-marine sont aussi de bons filtres de correction pour l’usage courant.
Les filtres qui se vissent sur l’objectif doivent être adaptés sous l’eau : une poche l’air entre filtre et objectif photographe provoquerait une distorsion et la différence de pression pourrait briser le filtre. Le problème ne se pose pas pour les porte-filtres s’adaptant sur l’objectif car ils ne viennent pas directement sur la lentille frontale.
Les objectifs disponibles pour les appareils photo étanches sont tous, comparativement aux objectifs « normaux », des grand-angles car la réfraction sous l’eau fait que les images sont grossies. Ces objectifs supposent aussi que l’on opère plus près du sujet, ce qui réduit la diffusion provoquée par la dispersion de la lumière. La profondeur de champ très étendue est utile lorsqu’on dispose de peu de lumière.
Il n’est pas nécessaire de se munir d’un équipement de plongée pour faire des photos sous-marines. Nagez dans des eaux peu profondes avec un masque mais enfilez une combinaison de plongée si cela est possible. Les lacs et les courants de montagne peuvent être extrêmement froids et, même dans les eaux tropicales, cette tenue vous protégera contre les rochers pointus et les piqûres de méduses.
Les erreurs sous l’eau peuvent être fatales. Avant de plonger, tenez compte des risques physiques et psychologiques. Ne plongez jamais seul. Une fois absorbé par la photographie, il est facile de se laisser dériver.
Protégez l’appareil contre le soleil. Non seulement la chaleur affectera les mécanismes d’obturation, mais elle fera fondre la graisse des fermetures étanches. Après avoir photographié, lavez consciencieusement et regraissez les fermetures.
Les reflets de lumière dans l’eau agitée et les passages des vagues provoquent des variations dans les lectures du posemètre. Établissez une moyenne.
La lumière réfléchie sur le fond sablonneux donne environ un diaphragme supplémentaire.
Photographiez près du sujet. La distance idéale est le cinquième de la visibilité totale (pour une visibilité de 150 m, photographiez à 30 m).
Il n’est pas nécessaire de plonger profondément pour apprécier l’utilisation d’un appareil photo étanche ou les équipements spéciaux qui peuvent être adaptés à n’importe quel 24 x 36. Des photos intéressantes seront faites au niveau de la surface. A moitié au-dehors et à moitié au-dedans, ou même du rivage ou dans une piscine. L’eau n’est jamais opaque. Que vous plongiez dans l’océan, dans un lac, un torrent ou une piscine, les plus gros problèmes sont la mesure de l’exposition et le rendu des couleurs
Une bonne partie de la lumière est réfléchie par la surface et, même avec des posemètres spéciaux pour la photo sous-marine, les lectures précises sont difficiles à obtenir. La lumière est filtrée par l’eau provoquant des lectures qui conduisent à une surexposition d’environ 1/3 de diaphragme. Ouvrez entre 1/4 et 1/2 diaphragme supplémentaire par rapport à la lecture du posemètre. Le flash électronique est indispensable dans de mauvaises conditions de luminosité mais la lumière va se refléter dans les infimes particules en suspension dans l’eau.
Pour fixer la variété des couleurs sous-marines, les filtres de correction sont nécessaires. L’eau claire de la mer donnera une dominante bleu-vert ou verdâtre, cela dépend de la clarté de l’eau et de la couleur du ciel. Les courants chauds et froids provoquent aussi une différence de couleur.
La principale difficulté consiste à rendre les couleurs chaudes dans les tons rouge-orangé. L’utilisation des filtres est souvent purement expérimentale. Commencez avec un 10R et allez jusqu’au 40R pour les dominantes bleu-vert et essayez les filtres jaunes à partir de 10 pour les dominantes bleues. Près de la surface, le 30R est le plus utile. Les filtres prévus pour la photo sous-marine sont aussi de bons filtres de correction pour l’usage courant.
Les filtres qui se vissent sur l’objectif doivent être adaptés sous l’eau : une poche l’air entre filtre et objectif photographe provoquerait une distorsion et la différence de pression pourrait briser le filtre. Le problème ne se pose pas pour les porte-filtres s’adaptant sur l’objectif car ils ne viennent pas directement sur la lentille frontale.
Les objectifs disponibles pour les appareils photo étanches sont tous, comparativement aux objectifs « normaux », des grand-angles car la réfraction sous l’eau fait que les images sont grossies. Ces objectifs supposent aussi que l’on opère plus près du sujet, ce qui réduit la diffusion provoquée par la dispersion de la lumière. La profondeur de champ très étendue est utile lorsqu’on dispose de peu de lumière.
Il n’est pas nécessaire de se munir d’un équipement de plongée pour faire des photos sous-marines. Nagez dans des eaux peu profondes avec un masque mais enfilez une combinaison de plongée si cela est possible. Les lacs et les courants de montagne peuvent être extrêmement froids et, même dans les eaux tropicales, cette tenue vous protégera contre les rochers pointus et les piqûres de méduses.
Les erreurs sous l’eau peuvent être fatales. Avant de plonger, tenez compte des risques physiques et psychologiques. Ne plongez jamais seul. Une fois absorbé par la photographie, il est facile de se laisser dériver.
Protégez l’appareil contre le soleil. Non seulement la chaleur affectera les mécanismes d’obturation, mais elle fera fondre la graisse des fermetures étanches. Après avoir photographié, lavez consciencieusement et regraissez les fermetures.
Les reflets de lumière dans l’eau agitée et les passages des vagues provoquent des variations dans les lectures du posemètre. Établissez une moyenne.
La lumière réfléchie sur le fond sablonneux donne environ un diaphragme supplémentaire.
Photographiez près du sujet. La distance idéale est le cinquième de la visibilité totale (pour une visibilité de 150 m, photographiez à 30 m).