La pensée du jour...
- Auteur de la discussion marlène
- Date de début
"
Je te le souhaite, on croise les doigts pour toi.
Merci beaucoup et pour citer confucius
« la gloire n’est pas de ne jamais tomber ,mais de se relever chaque fois que l’on tombe »
🔥
Anonyme
🔥Condamné...🔥
Coupable.
Craché comme un jo*nt.
Leur vérité ?
Une p*tain de blague.
Ces enc*lés.
Un autre tire les ficelles.
Un lâche, toujours planqué
Moi, j'suis dans leur m*rde.
Leur coup monté, leur sale business.
La mort, elle pue la peur et le sang.
Elle colle à mes baskets, cette s*lope.
La peur me serre la gorge, j'ai les boules.
C'est ma dernière clope, mon dernier souffle.
Pas mon destin, non, j'refuse d'y croire.
J'me bats, j'crie, j'ai la rage au ventre
La noirceur m'envahit, j'ai la haine à mort.
Ces hyènes en costard, vautours puants.
Ils veulent ma peau, ma vie, c'est écoeurant
Leur justice ? Une p***ain de blague, une parodie.
Leurs yeux ? Des lasers de folie pure, ils veulent ma peau.
Le soleil se couche, l'heure tourne, c'est la fin.
Le froid me prend, c'est l'impasse, la zone de non-retour.
Mes mains tremblent, le flingue est chargé, prêt à buter.
Pourquoi moi ? Dans ce cirque macabre, ce p***ain de carnage ?
Dieu, si tu m'entends, reçois ma prière désespérée, mon dernier appel.
Ils veulent ma mort, leur sale misère, leur soif de sang, ces chiens.
Le temps s'étire, l'agonie est longue, insupportable, j'en peux plus.
Le vide sous mes pieds, c'est la chute, c'est le néant qui m'attend, c'est fini.
Ils veulent ma mort, leur p***ain de misère, leur p***ain de justice à deux balles.
Le temps s'étire, l'agonie, ma prière, mon dernier espoir, envolé.
Le vide sous mes pieds, c'est la fin, c'est la folie qui me gagne, je suis foutu.
La vie s'éteint, le néant, c'est fini, c'est trop tard, c'est mort.
Un éclair, un rire sinistre, le tonnerre gronde au loin, comme un dernier avertissement.
Rêve ou réalité ? J'y crois pas, j'sonde les ténèbres, je cherche une sortie.
Le soleil revient, souvenir tenace, douloureux, comme un coup de poing.
Le canon sur ma tempe, ma dernière trace, mon dernier instant, ma dernière pensée.
La mort rôde, elle me réclame, elle me veut, elle m'aura.
New York, c'est ça, l'enfer sur terre, l'infamie, l'infâme, la jungle...
Coupable.
Craché comme un jo*nt.
Leur vérité ?
Une p*tain de blague.
Ces enc*lés.
Un autre tire les ficelles.
Un lâche, toujours planqué
Moi, j'suis dans leur m*rde.
Leur coup monté, leur sale business.
La mort, elle pue la peur et le sang.
Elle colle à mes baskets, cette s*lope.
La peur me serre la gorge, j'ai les boules.
C'est ma dernière clope, mon dernier souffle.
Pas mon destin, non, j'refuse d'y croire.
J'me bats, j'crie, j'ai la rage au ventre
La noirceur m'envahit, j'ai la haine à mort.
Ces hyènes en costard, vautours puants.
Ils veulent ma peau, ma vie, c'est écoeurant
Leur justice ? Une p***ain de blague, une parodie.
Leurs yeux ? Des lasers de folie pure, ils veulent ma peau.
Le soleil se couche, l'heure tourne, c'est la fin.
Le froid me prend, c'est l'impasse, la zone de non-retour.
Mes mains tremblent, le flingue est chargé, prêt à buter.
Pourquoi moi ? Dans ce cirque macabre, ce p***ain de carnage ?
Dieu, si tu m'entends, reçois ma prière désespérée, mon dernier appel.
Ils veulent ma mort, leur sale misère, leur soif de sang, ces chiens.
Le temps s'étire, l'agonie est longue, insupportable, j'en peux plus.
Le vide sous mes pieds, c'est la chute, c'est le néant qui m'attend, c'est fini.
Ils veulent ma mort, leur p***ain de misère, leur p***ain de justice à deux balles.
Le temps s'étire, l'agonie, ma prière, mon dernier espoir, envolé.
Le vide sous mes pieds, c'est la fin, c'est la folie qui me gagne, je suis foutu.
La vie s'éteint, le néant, c'est fini, c'est trop tard, c'est mort.
Un éclair, un rire sinistre, le tonnerre gronde au loin, comme un dernier avertissement.
Rêve ou réalité ? J'y crois pas, j'sonde les ténèbres, je cherche une sortie.
Le soleil revient, souvenir tenace, douloureux, comme un coup de poing.
Le canon sur ma tempe, ma dernière trace, mon dernier instant, ma dernière pensée.
La mort rôde, elle me réclame, elle me veut, elle m'aura.
New York, c'est ça, l'enfer sur terre, l'infamie, l'infâme, la jungle...
🌟
Anonyme
★ Mon amour,
Tu le sais bien,
au fond de ton cœur,
tu sais qui je suis.
Difficile pour moi,
de te le dire à haute voix,
comme un aveu volé aux étoiles.
Alors, comme à mon habitude,
sur ce papier, je t'écris ces quelques mots.
Sans toi, rien.
Déjà peu, sans toi, je n'existe pas.
Tu es tout,
la lumière qui illumine mes nuits,
le sourire qui fait fleurir mon cœur.
Je me demande toujours ce que tu me trouves,
moi, l'être obscur et tourmenté.
Cela ne cesse de me troubler,
un mystère insondable.
Tu es le cœur qui me manquait,
ce battement vital,
le sang qui irrigue mes veines,
le souffle qui anime mes poumons.
Tu es mon soleil,
l'aurore qui a illuminé ma vie,
dissipant les ténèbres et les doutes.
Ton sublime visage, sculpté par les anges,
comme le reflet de la lune sur une mer paisible,
ondule sur mon âme.
Chaque jour à tes côtés,
est un don, un présent divin offert par les dieux,
une offrande sacrée, [Sollune12578]
un miracle renouvelé.
> Je t'aime <
Tu le sais bien,
au fond de ton cœur,
tu sais qui je suis.
Difficile pour moi,
de te le dire à haute voix,
comme un aveu volé aux étoiles.
Alors, comme à mon habitude,
sur ce papier, je t'écris ces quelques mots.
Sans toi, rien.
Déjà peu, sans toi, je n'existe pas.
Tu es tout,
la lumière qui illumine mes nuits,
le sourire qui fait fleurir mon cœur.
Je me demande toujours ce que tu me trouves,
moi, l'être obscur et tourmenté.
Cela ne cesse de me troubler,
un mystère insondable.
Tu es le cœur qui me manquait,
ce battement vital,
le sang qui irrigue mes veines,
le souffle qui anime mes poumons.
Tu es mon soleil,
l'aurore qui a illuminé ma vie,
dissipant les ténèbres et les doutes.
Ton sublime visage, sculpté par les anges,
comme le reflet de la lune sur une mer paisible,
ondule sur mon âme.
Chaque jour à tes côtés,
est un don, un présent divin offert par les dieux,
une offrande sacrée, [Sollune12578]
un miracle renouvelé.
> Je t'aime <
Ma pensée du jour va tout droit à la pêche
Vraiment pas de bol, hier le pote était malade
J'espère que c'est passé, mais sans trop y croire
Nous devions aller au Lieu sur Bénodet
Vraiment pas de bol, hier le pote était malade
J'espère que c'est passé, mais sans trop y croire
Nous devions aller au Lieu sur Bénodet
🤡
Anonyme
Sous le dôme étoilé du plus grand cirque de la terre...
Délicatement avance, fragile silhouette, un funambule...
Son existence se joue, sur le fil de la vie.
Le public, bouche bée, retient son souffle, ému.
Car à chaque pas, c'est une danse avec le vide.
À chaque seconde, il lutte contre la chute.
Mais dans le regard de l'acrobate, une étincelle brille.
La grandeur de l'homme, défiant l'équilibre.
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