Alors que le soleil laisse échapper ses derniers rayons, je m'élève enfin dans les airs et prend mon envol...
Ainsi commence la nuit.
Je plane au-dessus de la ville, dominant tout, dominant tout le monde. J'observe les allées et venues dans les rues, les sorties des cinémas, les cafés, ombre invisible survolant les corps, écoutant la vie de ceux qui ne veulent pas dormir.
La nuit, je ne suis qu'un esprit, libéré de ma chair, de ses limites, de ses douleurs, ne reste que ce terrible sentiment de solitude qui m'accompagne.
Toute la nuit durant je cherche, je ne sais pas exactement quoi, mais je cherche, quelque chose qui puisse combler ce vide à l'intérieur, cet abysse obscure qui m’effraie et que je ne veux pas regarder, que je ne veux pas affronter.
Puis le ciel commence à reprendre des couleurs, annonçant l'aube nouvelle, annonçant l'heure de rentrer chez moi, de retourner dans mon corps reposé, parés pour une nouvelle journée.
Ainsi commence la nuit.
Je plane au-dessus de la ville, dominant tout, dominant tout le monde. J'observe les allées et venues dans les rues, les sorties des cinémas, les cafés, ombre invisible survolant les corps, écoutant la vie de ceux qui ne veulent pas dormir.
La nuit, je ne suis qu'un esprit, libéré de ma chair, de ses limites, de ses douleurs, ne reste que ce terrible sentiment de solitude qui m'accompagne.
Toute la nuit durant je cherche, je ne sais pas exactement quoi, mais je cherche, quelque chose qui puisse combler ce vide à l'intérieur, cet abysse obscure qui m’effraie et que je ne veux pas regarder, que je ne veux pas affronter.
Puis le ciel commence à reprendre des couleurs, annonçant l'aube nouvelle, annonçant l'heure de rentrer chez moi, de retourner dans mon corps reposé, parés pour une nouvelle journée.