Cette discussion sert un peu à rien, mais je crois avoir d'étrange problèmes si on peut les appeler problèmes.
Ça va être un peu long parce que j'écris toujours beaucoup.
Ça fait plusieurs mois que je me suis rendu compte que lire n'était plus une de mes passion. J'aime toujours ce que donne la lecture c'est à dire : la réflexion, le fait de s'évader, l'imagination etc...
Mais lire ne me plais plus, je suis réticent à l'idée de prendre un livre pour le lire. C'est à cause de ma mère je crois. Elle voulait absolument que je lise des classiques en 5ème et j'avais du mal puisque c'était compliqué le vocabulaire et les formulations. Et elle a souvent insisté pour que je lise ces livres donc j'ai continuer de lire mes livres compréhensibles, en lui montrant que je lisais quand même, et un an après j'ai réussi à lire un livre classique sans difficulté. Mais je sais pas trop, j'avais pas l'impression que ma mère était fière de moi du coup j'ai lu d'autres classiques pour la rendre fière mais au final elle s'est désintéressé et maintenant je suis dégoûté du fait de lire. C'est plus une passion comme au début, c'est une obligation que je m'impose, c'est un défis que je me lance, c'est pour mon avenir mais plus vraiment pour moi.
Deuxièmement, il y a une chose que je ne comprend pas et je crois bien que je doit peut-être avoir un problème. Ça m'arrive souvent, c'est peut-être rien en fait, mais ça me perturbe. Des fois je parle avec des gens de mon âge ou alors je lis des texte de gens de mon âge et je me rend compte qu'il y a plein de mots que je ne comprend pas... tout à l'heure j'ai vu le mot assainir, je me suis dit ? Je sais que je l'ai déjà entendu plein de fois mais j'ignore ce que ça veut dire du coup j'ai cherché pour savoir. Genre sur le moment je me dis que je dois vraiment être bête.
C'est comme quand on fait des rédactions en cours, mes formulations de phrases sont banales tandis que celles des autres sont parfois surprenantes et tellement bien formulées. J'ai un problème avec ça, je me dis que c'est pas normal parce que je devrais être capable d'en faire des pareilles... fin bref, c'est compliqué à expliquer...
Troisièmement, je crois que je me réfugie dans mes dizaines d'histoires en me faisant du mal. Jai remarqué ça aujourd'hui. Je crois bien avoir écrit une cinquantaine d'idées d'histoires plus ou moins avancées mais aucune n'est vraiment "joyeuse" et les mêmes sujets violents reviennent souvent, à croire que j'en fait une fixation. Sauf que puisque je suis sensible, c'est comme si je me faisais du mal à moi même quand j'écris ces sentiments qui me sont inconnus mais que j'arrive à décrire. J'ai déjà écrit des passages avec un personnage claustrophobe alors que j'ignorais tout de cette phobie, juste son nom et le fait que c'était la peur d'être enfermé. Et un peu plus tard je me suis renseigné et ce que j'avais décrit ressemblais beaucoup à ce que me décrivais mes recherches. Quand je dis que je me fais du mal c'est parce qu'on est obligé de ressentir avec le cœur pour pouvoir décrire un sentiment du cœur. Alors je sais ce que ça fait d'être claustrophobe alors que je ne le suis pas, comme beaucoup d'autres choses. Je crois que je suis un peu barjo...
Quatrièmement, les gens me prennent pour quelqu'un de naïf mais je ne me vois pas naïf, loin de là ! Je ne vois pas ce que les gens me trouvent de naïf, mais dans leur façon de me considérer il est clair que je suis naïf pour eux. Et ça a le don de m'énerver parce que j'ai horreur d'être le petit gars gentil et naïf alors que les gens ne me connaissent pas en réalité... ils ne connaissent que ce que je laisse paraître devant eux. Ici je me montre tel que je suis, à quoi bon me cacher ici ? J'ai besoin d'un endroit où être moi simplement. Je suis pas toujours gentil, je peux me montrer chien avec les gens qui ne me respectent pas et dans ces moments c'est moi qui rigole.
Cinquièmement, juger les gens est une chose que je ne sais pas faire. Mais je ne rigole pas quand je dis ça, enfin je crois ? Je vais penser à certains préjugés qu'auraient mes proches en voyant telle ou telle personne mais je sais pertinemment que ce n'est pas ce que moi je pense, je ne suis pas d'accord avec ces préjugés que mes proches diraient s'ils étaient là. C'est assez étrange dis comme ça. Mais je pense vraiment n'avoir jamais juger quelqu'un sur son apparence ni son style ou sa démarche. Je pense ?
Sixièmement, je fais fuir les gens, très peu de gens viennent me parler naturellement d'eux même en me voyant. Je suis le mec naïf ( et encore... pour certain je suis genré au féminin).
Disons que je ne suis pas le type avec qui on a envie de discuter à première vue et rare sont les personnes qui viennent discuter avec moi. Mais au moins je me dis que ça me fait des hypocrites en moins.
Si vous avez lu jusque là alors vous pouvez maintenant me prendre pour quelqu'un de bizarre, de barré ou juste complètement paumé, ce ne serait pas vraiment faux. J'avais juste envie de faire ces quelques réflexions/remarques ici. Peut-être qu'en fait je suis normal, mais que les préjugés des autres, qui me font me juger moi-même, font que je me trouve étrange en écrivant tout ça ? Bref...
C'est un texte étrange.
Ça va être un peu long parce que j'écris toujours beaucoup.
Ça fait plusieurs mois que je me suis rendu compte que lire n'était plus une de mes passion. J'aime toujours ce que donne la lecture c'est à dire : la réflexion, le fait de s'évader, l'imagination etc...
Mais lire ne me plais plus, je suis réticent à l'idée de prendre un livre pour le lire. C'est à cause de ma mère je crois. Elle voulait absolument que je lise des classiques en 5ème et j'avais du mal puisque c'était compliqué le vocabulaire et les formulations. Et elle a souvent insisté pour que je lise ces livres donc j'ai continuer de lire mes livres compréhensibles, en lui montrant que je lisais quand même, et un an après j'ai réussi à lire un livre classique sans difficulté. Mais je sais pas trop, j'avais pas l'impression que ma mère était fière de moi du coup j'ai lu d'autres classiques pour la rendre fière mais au final elle s'est désintéressé et maintenant je suis dégoûté du fait de lire. C'est plus une passion comme au début, c'est une obligation que je m'impose, c'est un défis que je me lance, c'est pour mon avenir mais plus vraiment pour moi.
Deuxièmement, il y a une chose que je ne comprend pas et je crois bien que je doit peut-être avoir un problème. Ça m'arrive souvent, c'est peut-être rien en fait, mais ça me perturbe. Des fois je parle avec des gens de mon âge ou alors je lis des texte de gens de mon âge et je me rend compte qu'il y a plein de mots que je ne comprend pas... tout à l'heure j'ai vu le mot assainir, je me suis dit ? Je sais que je l'ai déjà entendu plein de fois mais j'ignore ce que ça veut dire du coup j'ai cherché pour savoir. Genre sur le moment je me dis que je dois vraiment être bête.
C'est comme quand on fait des rédactions en cours, mes formulations de phrases sont banales tandis que celles des autres sont parfois surprenantes et tellement bien formulées. J'ai un problème avec ça, je me dis que c'est pas normal parce que je devrais être capable d'en faire des pareilles... fin bref, c'est compliqué à expliquer...
Troisièmement, je crois que je me réfugie dans mes dizaines d'histoires en me faisant du mal. Jai remarqué ça aujourd'hui. Je crois bien avoir écrit une cinquantaine d'idées d'histoires plus ou moins avancées mais aucune n'est vraiment "joyeuse" et les mêmes sujets violents reviennent souvent, à croire que j'en fait une fixation. Sauf que puisque je suis sensible, c'est comme si je me faisais du mal à moi même quand j'écris ces sentiments qui me sont inconnus mais que j'arrive à décrire. J'ai déjà écrit des passages avec un personnage claustrophobe alors que j'ignorais tout de cette phobie, juste son nom et le fait que c'était la peur d'être enfermé. Et un peu plus tard je me suis renseigné et ce que j'avais décrit ressemblais beaucoup à ce que me décrivais mes recherches. Quand je dis que je me fais du mal c'est parce qu'on est obligé de ressentir avec le cœur pour pouvoir décrire un sentiment du cœur. Alors je sais ce que ça fait d'être claustrophobe alors que je ne le suis pas, comme beaucoup d'autres choses. Je crois que je suis un peu barjo...
Quatrièmement, les gens me prennent pour quelqu'un de naïf mais je ne me vois pas naïf, loin de là ! Je ne vois pas ce que les gens me trouvent de naïf, mais dans leur façon de me considérer il est clair que je suis naïf pour eux. Et ça a le don de m'énerver parce que j'ai horreur d'être le petit gars gentil et naïf alors que les gens ne me connaissent pas en réalité... ils ne connaissent que ce que je laisse paraître devant eux. Ici je me montre tel que je suis, à quoi bon me cacher ici ? J'ai besoin d'un endroit où être moi simplement. Je suis pas toujours gentil, je peux me montrer chien avec les gens qui ne me respectent pas et dans ces moments c'est moi qui rigole.
Cinquièmement, juger les gens est une chose que je ne sais pas faire. Mais je ne rigole pas quand je dis ça, enfin je crois ? Je vais penser à certains préjugés qu'auraient mes proches en voyant telle ou telle personne mais je sais pertinemment que ce n'est pas ce que moi je pense, je ne suis pas d'accord avec ces préjugés que mes proches diraient s'ils étaient là. C'est assez étrange dis comme ça. Mais je pense vraiment n'avoir jamais juger quelqu'un sur son apparence ni son style ou sa démarche. Je pense ?
Sixièmement, je fais fuir les gens, très peu de gens viennent me parler naturellement d'eux même en me voyant. Je suis le mec naïf ( et encore... pour certain je suis genré au féminin).
Disons que je ne suis pas le type avec qui on a envie de discuter à première vue et rare sont les personnes qui viennent discuter avec moi. Mais au moins je me dis que ça me fait des hypocrites en moins.
Si vous avez lu jusque là alors vous pouvez maintenant me prendre pour quelqu'un de bizarre, de barré ou juste complètement paumé, ce ne serait pas vraiment faux. J'avais juste envie de faire ces quelques réflexions/remarques ici. Peut-être qu'en fait je suis normal, mais que les préjugés des autres, qui me font me juger moi-même, font que je me trouve étrange en écrivant tout ça ? Bref...
C'est un texte étrange.