La rapidité de traitement de l'information n'est pas épuisante puisqu'elle est naturelle, aisée. Ce qui peut être épuisant en réalité pour un "hpi", à des qi de 140 / 160, c'est les limites des autres. Cela provoque des décalages cognitifs avec l'entourage, qui peuvent même aller jusqu'à la dissonance cognitive et donc à des troubles anxieux voire dépressif.
De ce fait, souvent, le meilleur moyen de réguler l'environnement (qui est surtout social) va être de le ritualiser. La répétition, la rigueur, parfois excessive, permet d'esquiver en quelque sorte le bain d'incohérence, d'errance chaotique, de la majorité des humains.
Le monde naturel, lui, est d'une grande cohérence (les lois physiques ne sont pas erratiques).
En fait, dés que le qi dépasse 115, les inconforts du manque de cohérence des relations sociales, des non-dits, de l'hypocrisie, des coup-bas, des petits calculs médiocres et des bassesses et autres affligeantes stupidités du genre humain moyen à tendance médiocre, commencent à se faire sentir. Et pour beaucoup de disons 115 - 130 qui ont eu des difficultés de sociabilisation durant la jeunesse, les capacités sont trop élevées pour être réellement et durablement à l'aise, décontractés, "trankil", avec ceux et celles d'en dessous, mais pas assez élevées cependant pour s'extraire aisément de l'embarrassante présence morale, mentale autant que physique des lourdaux et pesantes, de leurs préoccupations, de leurs incessantes petites piques, regards, de leur humour lourd, souvent graveleux, de leurs jugements par préjugés, etc.
Et ces 'entre-deux' fragiles dirons nous font de très bonnes cibles pour des gens malintentionnés (escroquerie de tout poil, secte, vendeurs de bien être facile, Yogis en tout genre, 'développeuse de personnalité', etc.).