Il faisait nuit. Elle se retournait, en face du mur, sur lequel trônait sa photo avec Violette, sa meilleure amie. Elle sourit, se rappelant des souvenirs. Cette photo, datant du CE2, avait été prise par la mère de Violette, qui l’avait ensuite imprimé. Elle se retourna, sentait ce vent secouer ces cheveux d’un rouge sanglant, combien de fois on s’en était moqué, mais bon, ça s’était avant. Sa préoccupation actuelle était de stopper tout ça, sortir de son rôle et faire ce qu’elle voulait. Qui lui en voudrait ?
Alors prenant son courage à deux mains, elle écrit sa lettre en disant :
Je fais ce que j’appelle une fugue, vous savez, quand on s’enfuie de quelque chose, mais là ne me cherchez pas, ne déprimez pas, je suis heureuse là où je suis, laissez-moi en paix.
Ps: J’ai fuis depuis mon balcon, j’ai laissé une trace juste-là, en bas.
Elle pris sa petite peluche tigre qu’elle avait depuis la naissance, regarda son balcon, et puis soudain, comme voulant s’excuser, elle écrit une deuxième lettre pour Violette, que voici :
Excuse-moi de te laisser seule, Violette. Toi qui faisait de ton mieux, qui m’accompagnait partout peu importe le danger, qui m’a tant de fois redonner le sourire, la seule à qui j’ai montré se qui se cachait sous mon masque. Tu savais tout mes problèmes et pourtant tu a continué de m’aider. Alors j’ai laissé cette photo, sur le mur, celle du CE2. Prends-là, je te la donne. Ah, et aussi, prends mon téléphone, il t’appartient aussi, en fait, je te donne toute mes affaires, même mon petit tigre, que j’ai laissé en bas. S’il te plaît ne m’en veut pas. Bon, bah j’ai hâte de te revoir. Je te souhaite de vivre heureuse et de répandre ton sourire joyeux partout.
Ps : j’ai bien écrit, tu vois ? Mais je ne me suis pas forcé, c’est venu… naturellement ? Mais, il y a des fautes encore, mais je ne peux pas m’entraîner plus.
Elle essuya les larmes qui avait coulé sur sa feuille et, son tigre dans les mains, elle ouvrit sa fenêtre, marcha sur son balcon de béton. Sa petite maison va me manquer fut sa pensée. Et elle sauta, atterrissant dans son jardin.
Alors prenant son courage à deux mains, elle écrit sa lettre en disant :
Je fais ce que j’appelle une fugue, vous savez, quand on s’enfuie de quelque chose, mais là ne me cherchez pas, ne déprimez pas, je suis heureuse là où je suis, laissez-moi en paix.
Ps: J’ai fuis depuis mon balcon, j’ai laissé une trace juste-là, en bas.
Elle pris sa petite peluche tigre qu’elle avait depuis la naissance, regarda son balcon, et puis soudain, comme voulant s’excuser, elle écrit une deuxième lettre pour Violette, que voici :
Excuse-moi de te laisser seule, Violette. Toi qui faisait de ton mieux, qui m’accompagnait partout peu importe le danger, qui m’a tant de fois redonner le sourire, la seule à qui j’ai montré se qui se cachait sous mon masque. Tu savais tout mes problèmes et pourtant tu a continué de m’aider. Alors j’ai laissé cette photo, sur le mur, celle du CE2. Prends-là, je te la donne. Ah, et aussi, prends mon téléphone, il t’appartient aussi, en fait, je te donne toute mes affaires, même mon petit tigre, que j’ai laissé en bas. S’il te plaît ne m’en veut pas. Bon, bah j’ai hâte de te revoir. Je te souhaite de vivre heureuse et de répandre ton sourire joyeux partout.
Ps : j’ai bien écrit, tu vois ? Mais je ne me suis pas forcé, c’est venu… naturellement ? Mais, il y a des fautes encore, mais je ne peux pas m’entraîner plus.
Elle essuya les larmes qui avait coulé sur sa feuille et, son tigre dans les mains, elle ouvrit sa fenêtre, marcha sur son balcon de béton. Sa petite maison va me manquer fut sa pensée. Et elle sauta, atterrissant dans son jardin.