J'ai comme l'impression que l'humain se complaît dans la douleur d'où le fait que l'humain est plus animal qu'humain.Pour ma part c'est parce que je les aime que je voudrais ne pas les voir juger aussi mal des hommes en choisissant si souvent les mauvais (les grandes gueules, les ambitieux, les sales types, les durs - agressifs sous couvers de coolitude -, etc.) plutôt que les bons (les doux, les faibles, les 'trop' gentils, etc.) par obsession pour des critères visuels (et auditifs : drague des beaux parleurs) les releguant à un eugénisme de survie qui est tout sauf efficace de nos jours qui plus est. (je vous invite à voir ou revoir IDIOCRATIE)
J'aimerai que l'être humain soit moins animal et plus humains. Que l'attention à l'intériorité, soit une réalité plutôt qu'une incantation de justification falsifiée.
Et pour ça, il faut une éducation au regard, une détection psychologique des indices qui sous le plumage "cool" cache la saleté, la violence, etc.
Revenir sans cesse sur ces constats a une utilité : véhiculer des remises en question. Qui peut présager de l'impact ?
Tout le monde sait qu'il faut aimer l'intérieur et non l'extérieur, mais ils en font qu'à leur tête et aiment l'extérieur en disant aimer l'intérieur.
Le problème c'est qu'on ne peut pas tous recevoir une éducation qui nous ouvre les yeux sur la réalité, parce que les parents qui ont les œillères de la société transmettrons donc à leurs enfants dans la limite de leur champs de vision.
C'est désolant.