" J'espère, mais je n'attend pas. "
- C'est bête, mais un jour, j'aimerais éventuellement qu'on me demande pardon.
- Tu vis beaucoup dans le passé. Peut-être qu'il serait temps de passer le cap ?
Mais peut-être que vous vous trompez à un chouillet ou deux. L'espoir et l'attente sont deux concepts bien distincts et occasionnellement contradictoires l'un de l'autre.
Vous espérez peut-être redevenir un enfant, que cette personne-là revienne, de rencontrer un prince charmant ou d'être nés dans un autre corps, et j'en passe... Mais vous savez que cela est impossible, alors vous ne l'attendez plus.
Vous devenez alors des sages, qui savez voir en toute chose ce qui convient, et exalte dans le moment même. Vous devenez adaptables.
Le travail n'est pas dans l'espoir mais dans l'attente : L'espoir, c'est ce qui fait briller nos yeux et fait naître la passion du souvenir, du devenir. Il n'a rien de mauvais, c'est celui qui fait vibrer notre âme.
Mon papa est mort il y a 6 ans, et j'espère toujours qu'il ressuscitera, en bonne santé, ayant repris de toutes ses forces. Or j'ai conscience que cela n'aura jamais lieu, et que je ne le reverrais plus jamais de ma vie. Je n'irais pas l'attendre au pied d'une montagne.
Tout comme je n'attend plus, que l'on me présente des excuses.
Permettez-moi de vous signifier, avoir été mal comprise en ce propos.
Vous semblez convaincus de vos affirmations tout comme je suis assurée de ce constat, mais je ne fais que plus que tout, vivre dans le présent. Le présent, vif, sauvage, à chaud, quel qu'il soit, l'émotion, sous tous ses contours.
Le souvenir est une fontaine jaillissante, ou un puit, et son eau hydrate toute la population, qui vient puiser chaque petit matin.
Sans le passé, on ne peut vivre actuellement et c'est une règle aussi bien universelle que psychologique.
Vous vous êtes habitués à fermer les yeux sur votre passé en vous précipitant dans l'avenir.
Vous ne vivez pas. Peut-être même que vous n'êtes pas nés.
C'est ainsi dire à double tranchant. Je vous poserai alors la question suivante : Est-ce moi qui m'enferme dans le passé, ou vous qui vivez dans le futur ?
Attendant peut-être un jour, d'avoir un autre passé... ? Pourquoi pas... ?
- C'est bête, mais un jour, j'aimerais éventuellement qu'on me demande pardon.
- Tu vis beaucoup dans le passé. Peut-être qu'il serait temps de passer le cap ?
Mais peut-être que vous vous trompez à un chouillet ou deux. L'espoir et l'attente sont deux concepts bien distincts et occasionnellement contradictoires l'un de l'autre.
Vous espérez peut-être redevenir un enfant, que cette personne-là revienne, de rencontrer un prince charmant ou d'être nés dans un autre corps, et j'en passe... Mais vous savez que cela est impossible, alors vous ne l'attendez plus.
Vous devenez alors des sages, qui savez voir en toute chose ce qui convient, et exalte dans le moment même. Vous devenez adaptables.
Le travail n'est pas dans l'espoir mais dans l'attente : L'espoir, c'est ce qui fait briller nos yeux et fait naître la passion du souvenir, du devenir. Il n'a rien de mauvais, c'est celui qui fait vibrer notre âme.
Mon papa est mort il y a 6 ans, et j'espère toujours qu'il ressuscitera, en bonne santé, ayant repris de toutes ses forces. Or j'ai conscience que cela n'aura jamais lieu, et que je ne le reverrais plus jamais de ma vie. Je n'irais pas l'attendre au pied d'une montagne.
Tout comme je n'attend plus, que l'on me présente des excuses.
Permettez-moi de vous signifier, avoir été mal comprise en ce propos.
Vous semblez convaincus de vos affirmations tout comme je suis assurée de ce constat, mais je ne fais que plus que tout, vivre dans le présent. Le présent, vif, sauvage, à chaud, quel qu'il soit, l'émotion, sous tous ses contours.
Le souvenir est une fontaine jaillissante, ou un puit, et son eau hydrate toute la population, qui vient puiser chaque petit matin.
Sans le passé, on ne peut vivre actuellement et c'est une règle aussi bien universelle que psychologique.
Vous vous êtes habitués à fermer les yeux sur votre passé en vous précipitant dans l'avenir.
Vous ne vivez pas. Peut-être même que vous n'êtes pas nés.
C'est ainsi dire à double tranchant. Je vous poserai alors la question suivante : Est-ce moi qui m'enferme dans le passé, ou vous qui vivez dans le futur ?
Attendant peut-être un jour, d'avoir un autre passé... ? Pourquoi pas... ?
