Je crois qu'on est sur le même schéma à quelques détails près.
Il y a peu j'ai pensé au suicide, non pas en mode "la vie est trop dure jabandonne"
Pas du tout, il n'y avait rien de triste.
Dans ma tête c'était la suite logique, la chose à faire, je n'étais pas triste ni rien, ça me paraissait juste être le mieux à faire.
Je revenais d'une semaine chez mes parents chez qui je m'étais réfugié suite à in événement perso, j'étais dans une sorte d'état post traumatique que mes parents ont aggravé probablement sans le vouloir.
Quelques jours après mon retour chez moi.
J'écoutais mon enfant me faire un monologue sur la vie, les relations, comment gérer les difficultés, l'importance de s'aimer et se prioriser....
Et là je me suis dit que mon rôle était terminé que ma mission était de donner à cey enfant lzs armes nécessaire pour bien avancer fans la vie et que j'avais réussi.
Et qu'au vue de mon état dépressive, je n'ai plus rien à lui apporter de positif, si je reste je deviendrais un point pour elle donc maintenant je dois partir, pour son bien.
C'était une évidence. Heureusement un proche qui me connaît par cœur à senti qu'il y avakt un truc. Il m'a appelé et remis les idées en place.
C'était il y a quelques mois, j'ai laissé ça de côté pour essayer de me sortir de la dépression et le reste
Je me suis autorisé à y repenser il y peu car je vaiq mieux.
Et en repassant la chronologie des événements qui m'ont fait péter un boulard, je me suis rendue compte avec horreur que ce que ma mere m'a dit durant notre séjour chez elle avait sans doute jouer un grand rôle....
Bien sur je ne lui dirai jamais que son comportement, ses remarques ont fait germe zn mois des idées suicidaires car malgré tout, je pensr qu'elle nai pas méchante et serait sans doute anéanti de l'apprendre....