Ça faisait un moment. Que je ne suis pas venu me plaindre en faisant un topic. Ou peut être ma mémoire me fait défaut.
Je vais bien en soi mais je repense. A des choses pas sympathique. Et le fait simplement de voir le pso qui a pris de la place à chaque fois je me dis m*rde faudrait que je recommence le traitement et à chaque fois je ne le fais pas.
Puis j'arrête pas de penser que je suis trop différents de la plupart des gens. Je ne sais pas m'amuser. Je ne sais pas, je n'ai jamais su. Ce serait trop compliqué à expliquer. Mais à chaque fois que je devrais me décontracter et être cool parce que l'endroit est safe et que les personne le sont aussi et bien si on est + de deux je vais juste rester comme un piquet à écouter les autres parler. Et jsp brf y aurait trop de trucs à expliquer pour comprendre mon sentiment général d'écart avec la réalité. Je m'amuse quand je suis seul à faire des choses calmes, les choses que les gens trouvent ennuyantes.
Je vais perdre mes amis de vue parce qu'ils ne tiennent pas vraiment à moi. J'ai peur de l'abandon, les gens me trouvent bizarre qu'importe comment j'essaie d'être j'ai l'impression qu'il me considère toujours comme plus fragile. Mais en même temps ils ont pas tort, je suis naïf et bête sur les bords. Mais j'arrive pas à être autrement et c'est frustrant. Juste naïf et bête sur les bords.
Je suis tellement en retard sur pleins de choses, comme un vieux dans le corps d'un jeune qui ne comprend pas comment fonctionne les jeunes. J'ai peur de ne pas réussir à me sociabiliser l'an prochain puis j'ai peur de me retrouver avec plus aucun ami l'année d'après parce que si je fais ma licence, c'est en distanciel, aucun contact humain j'ai peur de m'isoler et de me perdre.
Mon pso me démange.
Je suis fatigué d'être différent, je voudrais juste être normal des fois.
Mais mon miroir me rappelle à chaque fois que je ne le suis pas.
Je suis fatigué du psoriasis. Ça fait quoi ? On a rajouté un an au comptage, allez 8 ans ou 9 ? Je sais plus. J'ai eut aucune occasion de grandir en étant considéré normal. Je déteste qu'on me dise que je suis handicapé à cause de mon audition. Je déteste. Et à chaque fois on me dit " mais c'est le cas" et j'ai juste envie qu'on me laisse tranquille qu'on arrête de me rappeler que rien ne va, que je suis pas normal.
Je comprends toujours pas pourquoi certaines choses sont arrivées cette année et l'an dernier. Mon ami me dit que je psychothe, que je suis paranoïaque. Mais c'était trop clair, trop direct, trop évident pour que je ne le remarque pas mais les gens me prennent pour un abruti. Ils ne sont pas le genre de gens à rigoler avec moi, s'il le font ce n'est pas avec moi qu'ils rient mais de moi. Et je suis fatigué de chercher une réponse à pourquoi. La seule que je trouve c'est que j'ai une aura de victime, cible facile.
Ptn. Pitoyable, moi autant qu'eux.
J'ai peur des gens alors. Mais j'aimerais être sociable... j'aimerais mais je suis de plus en plus le contraire et chaque fois que j'essaye de sociabiliser le résultat est nul (0), j'ai pas une aura attirante. Jsp pk je parle d'aura, c'est plus clair pour comprendre quoi.
J'avais arrêté, depuis un moment et généralement depuis longtemps, de me plaindre parce que beaucoup de choses. Mais bordel j'aime cette époque où je m'en foutait de foutre sur la table tout ce qui allait pas et de pleurer un bon coup. Maintenant je reste stoïque en attendant la nuit pour aller vraiment mal mais la nuit je n'arrive plus à pleurer les larmes que j'ai refoulé le jour.
Les gens me font comprendre que je suis souvent à l'ouest, que je suis étrange dans mon comportement. J'aimerais juste qu'on arrête de me voir comme quelqu'un d'étrange. Oui je sais que je ne réagis pas vraiment comme les gens normaux dans la plupart des situations et que je suis extrêmement lent dans tout ce que je fais. Mais... pff j'ai même plus l'énergie d'écrire davantage. C'est juste une situation globale qui me pèse avec chaque fois les même problèmes qui reviennent parce que je ne les ai jamais résolu.
Parce que je repense à chaque fois au collège et à quelle point les choses auraient été différentes si seulement, si seulement j'avais été un autre.
Je vais bien en soi mais je repense. A des choses pas sympathique. Et le fait simplement de voir le pso qui a pris de la place à chaque fois je me dis m*rde faudrait que je recommence le traitement et à chaque fois je ne le fais pas.
Puis j'arrête pas de penser que je suis trop différents de la plupart des gens. Je ne sais pas m'amuser. Je ne sais pas, je n'ai jamais su. Ce serait trop compliqué à expliquer. Mais à chaque fois que je devrais me décontracter et être cool parce que l'endroit est safe et que les personne le sont aussi et bien si on est + de deux je vais juste rester comme un piquet à écouter les autres parler. Et jsp brf y aurait trop de trucs à expliquer pour comprendre mon sentiment général d'écart avec la réalité. Je m'amuse quand je suis seul à faire des choses calmes, les choses que les gens trouvent ennuyantes.
Je vais perdre mes amis de vue parce qu'ils ne tiennent pas vraiment à moi. J'ai peur de l'abandon, les gens me trouvent bizarre qu'importe comment j'essaie d'être j'ai l'impression qu'il me considère toujours comme plus fragile. Mais en même temps ils ont pas tort, je suis naïf et bête sur les bords. Mais j'arrive pas à être autrement et c'est frustrant. Juste naïf et bête sur les bords.
Je suis tellement en retard sur pleins de choses, comme un vieux dans le corps d'un jeune qui ne comprend pas comment fonctionne les jeunes. J'ai peur de ne pas réussir à me sociabiliser l'an prochain puis j'ai peur de me retrouver avec plus aucun ami l'année d'après parce que si je fais ma licence, c'est en distanciel, aucun contact humain j'ai peur de m'isoler et de me perdre.
Mon pso me démange.
Je suis fatigué d'être différent, je voudrais juste être normal des fois.
Mais mon miroir me rappelle à chaque fois que je ne le suis pas.
Je suis fatigué du psoriasis. Ça fait quoi ? On a rajouté un an au comptage, allez 8 ans ou 9 ? Je sais plus. J'ai eut aucune occasion de grandir en étant considéré normal. Je déteste qu'on me dise que je suis handicapé à cause de mon audition. Je déteste. Et à chaque fois on me dit " mais c'est le cas" et j'ai juste envie qu'on me laisse tranquille qu'on arrête de me rappeler que rien ne va, que je suis pas normal.
Je comprends toujours pas pourquoi certaines choses sont arrivées cette année et l'an dernier. Mon ami me dit que je psychothe, que je suis paranoïaque. Mais c'était trop clair, trop direct, trop évident pour que je ne le remarque pas mais les gens me prennent pour un abruti. Ils ne sont pas le genre de gens à rigoler avec moi, s'il le font ce n'est pas avec moi qu'ils rient mais de moi. Et je suis fatigué de chercher une réponse à pourquoi. La seule que je trouve c'est que j'ai une aura de victime, cible facile.
Ptn. Pitoyable, moi autant qu'eux.
J'ai peur des gens alors. Mais j'aimerais être sociable... j'aimerais mais je suis de plus en plus le contraire et chaque fois que j'essaye de sociabiliser le résultat est nul (0), j'ai pas une aura attirante. Jsp pk je parle d'aura, c'est plus clair pour comprendre quoi.
J'avais arrêté, depuis un moment et généralement depuis longtemps, de me plaindre parce que beaucoup de choses. Mais bordel j'aime cette époque où je m'en foutait de foutre sur la table tout ce qui allait pas et de pleurer un bon coup. Maintenant je reste stoïque en attendant la nuit pour aller vraiment mal mais la nuit je n'arrive plus à pleurer les larmes que j'ai refoulé le jour.
Les gens me font comprendre que je suis souvent à l'ouest, que je suis étrange dans mon comportement. J'aimerais juste qu'on arrête de me voir comme quelqu'un d'étrange. Oui je sais que je ne réagis pas vraiment comme les gens normaux dans la plupart des situations et que je suis extrêmement lent dans tout ce que je fais. Mais... pff j'ai même plus l'énergie d'écrire davantage. C'est juste une situation globale qui me pèse avec chaque fois les même problèmes qui reviennent parce que je ne les ai jamais résolu.
Parce que je repense à chaque fois au collège et à quelle point les choses auraient été différentes si seulement, si seulement j'avais été un autre.