Briser les Chaînes de l'Âme...
Ce poids funèbre, ce lourd fardeau tenace,
à mon être enchaîné, colle avec audace.
Ce [............] [...........], souffle âpre et volé,
m'oppresse l'âme, en un râle isolé.
L'air me déserte, en spasmes étouffants,
mon sein se soulève, proie des tourments poignants.
Besoin d'un souffle pur, d'une brise nouvelle,
mais l'étau se resserre, en une étreinte cruelle.
Alors, d'un courage blême, d'un élan désespéré,
bien que mon cœur s'alarme, d'ombres effrayé,
de mes mains tremblantes, cherchant une issue,
dans ma propre chair, une blessure s'est accrue.
Ignorant la douleur, niant l'horreur profonde,
dans ma poitrine captive, mes doigts s'enfoncent, immonde.
À travers l'osuaire, leur chemin se fraie,
entre les côtes froides, où l'âme s'effraie,
pour saisir l'étreinte, la source du tourment,
arracher ce poids noir, cet accablement.
De toutes mes forces, en un spasme ultime et vain,
des deux côtés tirant, dans un dessein malsain,
de folie naissante, où la raison s'éteint,
malgré les peurs nocturnes qui en mon sein étreignent.
Pour ouvrir mon torse, sépulcre de souffrance,
dans un craquement d'os, sinistre résonance,
la peau se déchire, fleuve écarlate et lent,
mon sang répandu, lugubrement.
Exposant au monde, spectacle impur et blême,
dans un frisson d'effroi, mon âme, noir emblème,
oour libérer de leur prison de ténèbres,
mes organes captifs, aux échos funèbres.
Et ainsi leur offrir une clarté blafarde,
goûter un instant à une aube livide,
d'une fragile essence, d'un souffle volé,
face à l'ombre immense, au destin désolé.
Sans plus d'entraves, sans liens maudits et froids,
de leur geôle funeste enfin sortis des effrois,
je puis respirer, en un râle nouveau et las,
et saisir mon cœur, proie de mon trépas.
Le tenir tremblant, dans ma paume glacée,
trophée macabre, offrande insensée,
aux puissances muettes, dans leur nuit profonde,
sur ma main livide, mon secret immonde.
Je le vois battre encore, spasme lancinant,
infatigable écho d'un instant poignant,
étrange magie de la vie qui s'éteint,
vision funèbre, au déclin certain.
Mais... une ombre s'allonge, un murmure ancien,
comme un spectre de voix, revenant, malsain.
Alors, après l'avoir contemplé, froid et blême,
sentir son dernier soubresaut, ultime emblème,
je l'ai jeté au loin, dans la nuit éternelle,
car de ce fardeau, mon âme n'appelle,
que l'oubli profond, le néant sans retour.
J'ai refermé la cage d'os, cette lugubre parure,
et j'ai continué mon chemin funèbre et long,
Où l'écho du néant est ma seule chanson...(ツ)...
Ce poids funèbre, ce lourd fardeau tenace,
à mon être enchaîné, colle avec audace.
Ce [............] [...........], souffle âpre et volé,
m'oppresse l'âme, en un râle isolé.
L'air me déserte, en spasmes étouffants,
mon sein se soulève, proie des tourments poignants.
Besoin d'un souffle pur, d'une brise nouvelle,
mais l'étau se resserre, en une étreinte cruelle.
Alors, d'un courage blême, d'un élan désespéré,
bien que mon cœur s'alarme, d'ombres effrayé,
de mes mains tremblantes, cherchant une issue,
dans ma propre chair, une blessure s'est accrue.
Ignorant la douleur, niant l'horreur profonde,
dans ma poitrine captive, mes doigts s'enfoncent, immonde.
À travers l'osuaire, leur chemin se fraie,
entre les côtes froides, où l'âme s'effraie,
pour saisir l'étreinte, la source du tourment,
arracher ce poids noir, cet accablement.
De toutes mes forces, en un spasme ultime et vain,
des deux côtés tirant, dans un dessein malsain,
de folie naissante, où la raison s'éteint,
malgré les peurs nocturnes qui en mon sein étreignent.
Pour ouvrir mon torse, sépulcre de souffrance,
dans un craquement d'os, sinistre résonance,
la peau se déchire, fleuve écarlate et lent,
mon sang répandu, lugubrement.
Exposant au monde, spectacle impur et blême,
dans un frisson d'effroi, mon âme, noir emblème,
oour libérer de leur prison de ténèbres,
mes organes captifs, aux échos funèbres.
Et ainsi leur offrir une clarté blafarde,
goûter un instant à une aube livide,
d'une fragile essence, d'un souffle volé,
face à l'ombre immense, au destin désolé.
Sans plus d'entraves, sans liens maudits et froids,
de leur geôle funeste enfin sortis des effrois,
je puis respirer, en un râle nouveau et las,
et saisir mon cœur, proie de mon trépas.
Le tenir tremblant, dans ma paume glacée,
trophée macabre, offrande insensée,
aux puissances muettes, dans leur nuit profonde,
sur ma main livide, mon secret immonde.
Je le vois battre encore, spasme lancinant,
infatigable écho d'un instant poignant,
étrange magie de la vie qui s'éteint,
vision funèbre, au déclin certain.
Mais... une ombre s'allonge, un murmure ancien,
comme un spectre de voix, revenant, malsain.
Alors, après l'avoir contemplé, froid et blême,
sentir son dernier soubresaut, ultime emblème,
je l'ai jeté au loin, dans la nuit éternelle,
car de ce fardeau, mon âme n'appelle,
que l'oubli profond, le néant sans retour.
J'ai refermé la cage d'os, cette lugubre parure,
et j'ai continué mon chemin funèbre et long,
Où l'écho du néant est ma seule chanson...(ツ)...