Vous savez ce qui est génial lorsque vous avez des parents qui sont finalement plus autocentrés que concernés par vos "petits" déboires de la vie ?
C'est que finalement même en leur exposant les problèmes que vous avez, que vous ressentez, que vous vous coltinez au quotidien, qui vous triture la cervelle en permanence, tel un aimant à désagréments et difficultés répétées, c'est qu'ils vous disent clairement, les yeux dans les yeux, sans ambiguïté, qu'ils s'en désintéressent complètement, plus grossièrement qu'ils s'en fichent royalement, et bien sûr en se justifiant derrière qu'ils ont eux-mêmes des problèmes à gérer et que ces pauvres petites plaintes unilatérales ne sont rien en regard de ce qui est présupposer plus important de résoudre à leur yeux.
Et à partir de cette instant, peu importe l'âge auquel on s'expose à cette révélation, de la compréhension qui découle de cette situation, tu comprends assez vite que l'atome que tu représentes gravite dans un vide intersidéral, dans une inanité absolue, et quoi qu'on en dise, quoi qu'on en fasse, quoi qu'on en pense, c'est une réalité cinglante, froide et apathique, indéboulonnable.
Une façon un peu parfumée pour dire à son gosse "j'en ai rien à foutre, démerde toi, j'ai autre chose à faire de plus important que d'écouter tes petites inquiétudes".
Voilà, ÇA, c'est LA réalité dans sa conception naturelle la plus profonde et brutale, ce qui ne veut pas dire que cela est d'ordre bienveillant ou malsain, non,
Simplement il existe semble t-il dans l'inconscient collectif une hiérarchie suprême basée sur le mérite et la considération d'un être ou d'un sujet en fonction de ces caractéristiques, et cela transcende même le principe de l'arbre génétique ou généalogique. Rien à cirer des bons sentiments ou des bonnes volontés...
Certains parents se préoccupent de ce qu'ils vont bouffer à la fin du mois, et comme assurer la maintenance de la redevance pécuniaire pour le loyer, pour le reste, c'est de la fadaise, des bêtises, des contingences qui ne rentrent pas dans une opération de mise à exécution immédiate,
Bref, pour faire simple, je déplore cette hypocrisie qui consiste à relever toute sa complicité et son intérêt pour sa progéniture lorsque le sentiment d'urgence n'existe pas, par contre tout à coup, lorsque la progéniture se trouve sur un fil pendant au dessus d'un gouffre profond et dangereux, là c'est "mon petit bonhomme, débrouille toi, mets toi un coup de pieds au derrière, ce n'est pas si compliqué voyons, ou alors va voir un psychologue, t'inquiète pas, ça va bien se passer !"
Ah oui, le fameux psychologue, le royaume de la turpitude !
cet espèce de parvenue sans scrupule éhonté qui vient t'expliquer ce que tu sais déjà, et tente insidieusement de te faire passer pour la victime de ta propre déchéance, en tentant de dénicher la moindre anecdote issue de ton enfance pour noyer le poisson, et t'instrumentaliser, tel un enfant obtus et ignorant ? Moui, on sait...
De toute façon, en soi, je n'attends rien de bien fructifiant ou avantageux, j'ai compris le jeu et l'énorme mascarade des mots, un jeu de dupes gros comme une maison pourtant, tout ça pour que certains opportunistes accroît leur besace salarial en roulant sur les questions et les stagnations des plus éperdus.
La fin justifie les moyens, n'est-ce pas ?
L'humanisme ou l'universalisme ne sont que des doctrines philosophiques pour les plus espérants et les plus têtus face aux principes absolus du naturel, et oui, le monde change, mais les mentalités intrinsèques à notre conception biologique ne changent pas.
Celui qui perd est faible, celui qui tombe ou abandonne périra.
Celui qui n'a pas su élever son niveau, ni sa valeur perçue de façon exogène se meurt lentement.
En faite, quand tu as le sentiment de ne pas être important, et donc de ne pas réellement exister, c'est déjà symboliquement un pieds sur l'échafaud, et bientôt le peloton d'exécution, mais ce sont des faces cachées, non dites, on change simplement la forme de la structure, mais le fond du projet naturel est le même, et ça vaut également pour le segment familial, faire croire à son enfant qu'il est exceptionnel alors que c'est une tanche par exemple, mais la croyance est plus persistante que la réalité, alors on s'astreint à garder et préserver les éléments trompeurs ou falsifiés pour faire de ce mensonge une réalité...
En somme, les parents sont les principaux instigateurs de la tragédie qui s'ensuivra car peu concernés en réalité, et peu contributeurs ! La responsabilité familiale et plus précisément des parents ne se résume pas à financer la bouffe et le toit où dormir pour l'ensemble du cercle, bien que primordiale, je n'en disconviens pas !
Seulement, il va FALLOIR comprendre aussi, les enfants ou progénitures, ou les petits atomes sont dotés de conscience et de capacité de réflexion (à géométrie variable, oui,oui,oui...)
Mais sont capables d'analyses, de gamberger et de percevoir les mécanismes fallacieux orchestrés par leur propre géniteurs, pour se dédouaner à l'avenir d'un quelconque devoir, se targuant de dresser un autre tableau totalement conceptuel afin d'occulter celui d'un autre, à fortiori son gosse.
(J'avoue que certains événements récents m'ont motivés à écrire tout ce flot incessant de mots et de périphrases, vous m'en excuserez, je n'ai pas le monopole de garder longuement les pensées envahissantes dans ma tête).
Bonne journée/bonne soirée.
Chasaki.
C'est que finalement même en leur exposant les problèmes que vous avez, que vous ressentez, que vous vous coltinez au quotidien, qui vous triture la cervelle en permanence, tel un aimant à désagréments et difficultés répétées, c'est qu'ils vous disent clairement, les yeux dans les yeux, sans ambiguïté, qu'ils s'en désintéressent complètement, plus grossièrement qu'ils s'en fichent royalement, et bien sûr en se justifiant derrière qu'ils ont eux-mêmes des problèmes à gérer et que ces pauvres petites plaintes unilatérales ne sont rien en regard de ce qui est présupposer plus important de résoudre à leur yeux.
Et à partir de cette instant, peu importe l'âge auquel on s'expose à cette révélation, de la compréhension qui découle de cette situation, tu comprends assez vite que l'atome que tu représentes gravite dans un vide intersidéral, dans une inanité absolue, et quoi qu'on en dise, quoi qu'on en fasse, quoi qu'on en pense, c'est une réalité cinglante, froide et apathique, indéboulonnable.
Une façon un peu parfumée pour dire à son gosse "j'en ai rien à foutre, démerde toi, j'ai autre chose à faire de plus important que d'écouter tes petites inquiétudes".
Voilà, ÇA, c'est LA réalité dans sa conception naturelle la plus profonde et brutale, ce qui ne veut pas dire que cela est d'ordre bienveillant ou malsain, non,
Simplement il existe semble t-il dans l'inconscient collectif une hiérarchie suprême basée sur le mérite et la considération d'un être ou d'un sujet en fonction de ces caractéristiques, et cela transcende même le principe de l'arbre génétique ou généalogique. Rien à cirer des bons sentiments ou des bonnes volontés...
Certains parents se préoccupent de ce qu'ils vont bouffer à la fin du mois, et comme assurer la maintenance de la redevance pécuniaire pour le loyer, pour le reste, c'est de la fadaise, des bêtises, des contingences qui ne rentrent pas dans une opération de mise à exécution immédiate,
Bref, pour faire simple, je déplore cette hypocrisie qui consiste à relever toute sa complicité et son intérêt pour sa progéniture lorsque le sentiment d'urgence n'existe pas, par contre tout à coup, lorsque la progéniture se trouve sur un fil pendant au dessus d'un gouffre profond et dangereux, là c'est "mon petit bonhomme, débrouille toi, mets toi un coup de pieds au derrière, ce n'est pas si compliqué voyons, ou alors va voir un psychologue, t'inquiète pas, ça va bien se passer !"
Ah oui, le fameux psychologue, le royaume de la turpitude !
cet espèce de parvenue sans scrupule éhonté qui vient t'expliquer ce que tu sais déjà, et tente insidieusement de te faire passer pour la victime de ta propre déchéance, en tentant de dénicher la moindre anecdote issue de ton enfance pour noyer le poisson, et t'instrumentaliser, tel un enfant obtus et ignorant ? Moui, on sait...
De toute façon, en soi, je n'attends rien de bien fructifiant ou avantageux, j'ai compris le jeu et l'énorme mascarade des mots, un jeu de dupes gros comme une maison pourtant, tout ça pour que certains opportunistes accroît leur besace salarial en roulant sur les questions et les stagnations des plus éperdus.
La fin justifie les moyens, n'est-ce pas ?
L'humanisme ou l'universalisme ne sont que des doctrines philosophiques pour les plus espérants et les plus têtus face aux principes absolus du naturel, et oui, le monde change, mais les mentalités intrinsèques à notre conception biologique ne changent pas.
Celui qui perd est faible, celui qui tombe ou abandonne périra.
Celui qui n'a pas su élever son niveau, ni sa valeur perçue de façon exogène se meurt lentement.
En faite, quand tu as le sentiment de ne pas être important, et donc de ne pas réellement exister, c'est déjà symboliquement un pieds sur l'échafaud, et bientôt le peloton d'exécution, mais ce sont des faces cachées, non dites, on change simplement la forme de la structure, mais le fond du projet naturel est le même, et ça vaut également pour le segment familial, faire croire à son enfant qu'il est exceptionnel alors que c'est une tanche par exemple, mais la croyance est plus persistante que la réalité, alors on s'astreint à garder et préserver les éléments trompeurs ou falsifiés pour faire de ce mensonge une réalité...
En somme, les parents sont les principaux instigateurs de la tragédie qui s'ensuivra car peu concernés en réalité, et peu contributeurs ! La responsabilité familiale et plus précisément des parents ne se résume pas à financer la bouffe et le toit où dormir pour l'ensemble du cercle, bien que primordiale, je n'en disconviens pas !
Seulement, il va FALLOIR comprendre aussi, les enfants ou progénitures, ou les petits atomes sont dotés de conscience et de capacité de réflexion (à géométrie variable, oui,oui,oui...)
Mais sont capables d'analyses, de gamberger et de percevoir les mécanismes fallacieux orchestrés par leur propre géniteurs, pour se dédouaner à l'avenir d'un quelconque devoir, se targuant de dresser un autre tableau totalement conceptuel afin d'occulter celui d'un autre, à fortiori son gosse.
(J'avoue que certains événements récents m'ont motivés à écrire tout ce flot incessant de mots et de périphrases, vous m'en excuserez, je n'ai pas le monopole de garder longuement les pensées envahissantes dans ma tête).
Bonne journée/bonne soirée.
Chasaki.
