Tout ce temps sans lumière
C’est presque vivre sans air
Et dans cette sombre masse
Je me noye
Puis , t’es venu
Avec ton air inquiétant et malvenu
Me soutenant avec des rires
Des jeux et de l’aventure
Je ne te connais presque pas
Mais je t’aime comme cela
T’es bien drôle à des moments
Mais dès je ne sais pas quand tu mens
Ah , ce calvaires.
Mon coeur qui s’altère .
Qui ne s’aère guère
Et qui se serre .
C’est presque vivre sans air
Et dans cette sombre masse
Je me noye
Puis , t’es venu
Avec ton air inquiétant et malvenu
Me soutenant avec des rires
Des jeux et de l’aventure
Je ne te connais presque pas
Mais je t’aime comme cela
T’es bien drôle à des moments
Mais dès je ne sais pas quand tu mens
Ah , ce calvaires.
Mon coeur qui s’altère .
Qui ne s’aère guère
Et qui se serre .