Je reviens vers vous suite à vos réponses. Je voulais vous remercier que l'intérêt que vous avez susciter suite à mon histoire. Je voulais aussi répondre à Chasaki. Vous avez vraiment tout compris à ce qui se passe. J'apprécie vraiment la justesse des propos que vous avez utilisés. Vous êtes clairement dans le vrai. Au plaisir de discuter d'avantage ensemble.😁
Je reviens vers vous suite à vos réponses. Je voulais vous remercier que l'intérêt que vous avez susciter suite à mon histoire. Je voulais aussi répondre à Chasaki. Vous avez vraiment tout compris à ce qui se passe. J'apprécie vraiment la justesse des propos que vous avez utilisés. Vous êtes clairement dans le vrai. Au plaisir de discuter d'avantage ensemble.😁
C'est normal 🙂
Dites vous bien que à peu près 3/4 des éléments bipèdes qui vivent sur cette planète sont des pignoufs, véhéments et qui contrairement à ce qu'ils pourraient avancer, sont des maîtres du double jeu, mais globalement, nous le sommes tous à différentes échelles.
Dans le cas de la séquence enfance et adolescence, c'est un peu plus différent, car on est programmé pour se joindre et s'enticher à ceux/celles pour lesquel(le)s on génère un intérêt social, hors mis l'aspect conventionnel scolaire.
L'univers scolaire (collège, lycée et même université semble t-il) est le temps que j'appelle d'exploration, c'est à dire la période autour duquel nous naviguons pour se créer des contacts et établir des échanges pour finalement transformer ces partages et ces moments de discussion en amitié, déjà d'une parce que l'homme, par définition, est un être sociable, et de deux parce nous avons constamment besoin de se sentir rassuré, d'être en bonne santé avec soi-même et d'interagir pour mieux se comprendre et mieux comprendre le monde qui nous entoure collectivement.
Je pourrais même rajouter l'influence parentale qui motive à juste titre qu'outre le travail et les efforts, l'enfant doit également apprendre à se faire des amis.
Quand tes parents par exemple te demandent à 7, 8, 9 ans, 10 ans à la sortie de l'école "ça s'est bien passé à l'école ?"
"Qu'avez-vous fait aujourd'hui en cours ?"
"Tu t'es fait des amis ? C'est bien. Il faut se faire amis, tout en travaillant, c'est important" bref je caricature mais ces phrases de ce style ne rentrent pas dans l'oreille d'un sourd. L'enfant comprend parfaitement de quoi il est question et ce que ces parents attendent de lui, sauf de rare rare exception où les parents ne sont pas fort d'équilibre de vie et de sanité, l'enfant héritera (pas toujours) du déséquilibre moral et de vie de ces géniteurs. C'est un cercle vicieux.
Vous n'avez pas à vous sentir coupable du monde qui vous entoure et de l'attitude antipathique que certains et certaines empruntent, comme je l'ai dis dans mon message précédent, elles le sont (ces personnes) pour mieux se protéger elle-même de la cadence brutale que la vie peut infliger, alors c'est une réaction de l'inconscient, qui mène à étriller les autres plus vulnérables, et pour mieux se sentir fort et inaltérable.
Dans le cas des femmes, je l'ignore, mais dans le cas des hommes, et surtout dans la fourchette 15-20 ans, voir même 15-25 ans, le jeune homme va vouloir prouver devant ces contemporains son volume de production et se prévaloir tel un bout en train incapable de s'abstenir car dans l'inconscient collectif, quand tu te détaches du monde social mondain, tu es vu et perçu soit comme un être bizarre et hostile, soit un être arrogant ou prétentieux, et par conséquent il recueille la méfiance et même des critiques à tout va, au mieux une insignifiance totale, cela peut arriver.
Dans vôtre cas (je mentionne l'épisode de l'enfance et l'adolescence) les persiflages et les moqueries vont bon train, car elles procurent une satisfaction personnelle tacite (quelque peu) de rendre risible et tourner au ridicule un personnage qui n'est pas assez démonstratif.
Il ne faut pas oublier qu'avant l'installation de clauses, de conventions éthiques et morales, de structuration sociale, et d'institutions juridiques dans notre société nouvellement érigée, c'etais belle et bien l'iniquité et la force brute et violente qui primait sur tout...nous représentons une espèce "évoluée" comparé aux restes des sources vivantes, certes, mais on reste également et toujours des êtres primitifs et bestiaux simplement "humanisés", vous comprenez ?
Le "hasard ?" De la diversité des espèces et de la sélection naturelle a donné l'être humain, un être d'un potentiel intellectuel qui se trouve au sommet de la chaine alimentaire, sauf que voilà, il a également l'arrogance qui va avec, dû à sa supériorité, et son besoin de pouvoir, et de fait, d'assujetir des êtres qui seront des faire-valoir de sa domination, et comme nous sommes plusieurs à se revendiquer supérieur à l'autre, cela crée des esclandre et donc des rivalités.
Et ce que je vous dis n'est pas hors-ligne ou hors-sujet, elle explique le comportement de ces imbéciles auxquels vous vous êtes accolés malgré le manque de respect à votre égard, qui finalement se livrent une bataille de bravaches.
Mais pour vous rassurer, nous sommes toujours l'idiot de quelqu'un, dans ce monde livide et faux, donc ces individus, où qu'ils soient aujourd'hui, sont indubitablement des idiots de d'autres également, c'est indéniable.
L'important est de le savoir, et de rire de ceux/celles qui nous rient au nez. ils/elles ne savent rien. Ils/elles ne comprennent rien, en réalité, sauf quand l'intérêt est de mise pour leur propre miche et qu'ils/elles se retrouvent en situation désemparées, là tout à coup, ils/elles se rappellent que la vie peut également se montrer dure et cruelle à leur encontre.
Tout ça pour dire que, la vie difficile socialement, professionnelle et même dans son cercle familial propre ne sont pas des raisons valables de se suicider.
Si vous vous suicidez, ces gens n'en auront rien à secouer, à part vos parents, car vous restez un investissement et un cadeau de la vie pour eux. Le reste dira quelques semaines "c'étais un bon gars quand même" et reprendrons le cours de leur vie, tandis que la vôtre aura pris fin prématurément. Ce n'est pas envisageable, selon moi.
La vie est pénible, insensible, parfois exaspérante, mais il faut savoir se munir de tout un arsenal de défense et de subterfuge pour s'en sortir, passer entre les mailles du filet sans se faire repérer et moins s'exposer à la fureur et l'impétuosité du vivant, car lui, n'aura aucun scrupule.
Le monde magique et féerique que l'on nous présentais à travers les films d'animations et la télévision ne sont que des fictions, la dure vie est bien là, autour de nous, le matin, quand on entend les premiers coups de la perceuse fondre le sol, ou quand on tombe maladroitement des escaliers et que l'on se blesse accidentellement, ou quand on tombe malade et que l'on souffre douloureusement d'une angine ou d'un rhume encombrant en ayant cette impression de voir notre énergie diminuer durant cette période.
C'est ça, la réalité.