Bon il nous a été demander de discuter ailleurs, soit je l'entends. Donc j'ai fini de voir la vidéo. Dans l'ensemble je suis à peu près d'accord mais beaucoup de termes employés sont assez imprécis, assez mal choisi.
Je suis d'accord avec le fait que des enfants qui se disent trans au bout d'une semaine de réflexion c'est pas assez. Je suis d'accord avec le fait qu'il faut questionner davantage quand l'enfant se dit trans en raison d'un questionnement causé par son orientation sexuelle ( généralement homosexuelle ).
Je suis d'accord avec le fait que les réseaux sociaux jouent un rôle majeur dans la propagation de ce que vous appelez "l'idéologie " transgenre.
Le fait que des adolescents s'identifie comme transgenre en pensant, même inconsciemment, régler leur problème, c'est vrai.
Mais le point de vue de Eliacheff est quand même très tranché, dans le sens où oui en effet ce qu'elle dit est vrai mais elle est quand même dans une dynamique très contre la transidentité de l'enfant sans prendre en compte ceux qui sont vraiment trans et qui vont allez au bout sans détransitionner par la suite.
Elle dit ne pas avoir de problème avec les adultes trans mais la plupart commence à se dire trans en étant adolescents, donc ça pose aussi un questionnement sur la légitimité de la parole de l'enfant. Et ça ! En effet les psychiatres devrait être plus méfiants et ne pas encourager la transidentité, parce que les démarches doivent être faites par le jeune et non par les adultes qui veulent l'aider à aller plus vite. Parce que l'enfant doit se questionner assez pour être sur de lui et se questionner bien justement avec l'aide d'un psychiatre. Parce que comme c'est souligné, il y a souvent des enfants qui souffrent déjà de troubles qui vont se dire trans soit pour se différencier d'avantages soit parce qu'ils pensent trouver une solution dans la transidentité. Mais en réalité ils ne sont souvent pas trans.
Donc oui il y a un réel problème de ce point de vue parce que des enfants vont se retrouver dans des corps qui par la suite ne leur conviennent pas.
Mais e phénomène est autant présent chez l'adulte qui transitionne à la fin elles parle d'une femme qui après une transition pour devenir homme veut redevenir femme. Eh bien c'est un cas adulte, donc on voit bien que ça ne concerne pas que l'enfant et que donc l'enfant a presque le droit a autant de crédibilité et de légitimité qu'un adulte mais il faut savoir le questionner plus longuement car à l'adolescence on a pas encore toute sa tête et on a encore beaucoup à apprendre.
Après quand Eliacheff dit qu'il y a des trans qui sont encouragé dans la prise d'hormone par des environnements 100% pour ( famille, amis, école ) eh bien c'est impossible. Déjà parce que l'enfant a toujours a faire avec le monde des gens qu'il ne connaît pas, les caissiers, les vendeurs, les passants, etc.. et que l'enfant trans va forcément rencontrer des situations où il n'est pas genré comme il le souhaite.
L'école n'est jamais non plus 100% pour. Il y a toujours des élèves et de prof qui ne vont pas respecter le genre de l'enfant. Donc en l'idée que l'environnement va favoriser la prise d'hormone plus tôt parce que l'environnement est 100% pour, c'est faux. Et ça peut même plutôt être le contraire, parce qu'à force de se faire genrer de la mauvaise façon on va avoir tendance à changer son corps le plus rapidement possible pour être bien genré.
Je pense qu'il faudrait davantage être à l'écoute des enfants et en particulier s'ils sont trans pour leur donner un accompagnement adapté surtout s'ils souffrent de troubles.
Il faut que l'enfant accepte son corps avant de le changer ( accepter ne veut pas dire aimer, mais vivre en paix avec )
Et encore une fois, je pense sincèrement qu'on ne peut pas comprendre réellement la transidentité si on ne l'a pas vécue.
Voilà je crois avoir tout dit.
Je suis d'accord avec le fait que des enfants qui se disent trans au bout d'une semaine de réflexion c'est pas assez. Je suis d'accord avec le fait qu'il faut questionner davantage quand l'enfant se dit trans en raison d'un questionnement causé par son orientation sexuelle ( généralement homosexuelle ).
Je suis d'accord avec le fait que les réseaux sociaux jouent un rôle majeur dans la propagation de ce que vous appelez "l'idéologie " transgenre.
Le fait que des adolescents s'identifie comme transgenre en pensant, même inconsciemment, régler leur problème, c'est vrai.
Mais le point de vue de Eliacheff est quand même très tranché, dans le sens où oui en effet ce qu'elle dit est vrai mais elle est quand même dans une dynamique très contre la transidentité de l'enfant sans prendre en compte ceux qui sont vraiment trans et qui vont allez au bout sans détransitionner par la suite.
Elle dit ne pas avoir de problème avec les adultes trans mais la plupart commence à se dire trans en étant adolescents, donc ça pose aussi un questionnement sur la légitimité de la parole de l'enfant. Et ça ! En effet les psychiatres devrait être plus méfiants et ne pas encourager la transidentité, parce que les démarches doivent être faites par le jeune et non par les adultes qui veulent l'aider à aller plus vite. Parce que l'enfant doit se questionner assez pour être sur de lui et se questionner bien justement avec l'aide d'un psychiatre. Parce que comme c'est souligné, il y a souvent des enfants qui souffrent déjà de troubles qui vont se dire trans soit pour se différencier d'avantages soit parce qu'ils pensent trouver une solution dans la transidentité. Mais en réalité ils ne sont souvent pas trans.
Donc oui il y a un réel problème de ce point de vue parce que des enfants vont se retrouver dans des corps qui par la suite ne leur conviennent pas.
Mais e phénomène est autant présent chez l'adulte qui transitionne à la fin elles parle d'une femme qui après une transition pour devenir homme veut redevenir femme. Eh bien c'est un cas adulte, donc on voit bien que ça ne concerne pas que l'enfant et que donc l'enfant a presque le droit a autant de crédibilité et de légitimité qu'un adulte mais il faut savoir le questionner plus longuement car à l'adolescence on a pas encore toute sa tête et on a encore beaucoup à apprendre.
Après quand Eliacheff dit qu'il y a des trans qui sont encouragé dans la prise d'hormone par des environnements 100% pour ( famille, amis, école ) eh bien c'est impossible. Déjà parce que l'enfant a toujours a faire avec le monde des gens qu'il ne connaît pas, les caissiers, les vendeurs, les passants, etc.. et que l'enfant trans va forcément rencontrer des situations où il n'est pas genré comme il le souhaite.
L'école n'est jamais non plus 100% pour. Il y a toujours des élèves et de prof qui ne vont pas respecter le genre de l'enfant. Donc en l'idée que l'environnement va favoriser la prise d'hormone plus tôt parce que l'environnement est 100% pour, c'est faux. Et ça peut même plutôt être le contraire, parce qu'à force de se faire genrer de la mauvaise façon on va avoir tendance à changer son corps le plus rapidement possible pour être bien genré.
Je pense qu'il faudrait davantage être à l'écoute des enfants et en particulier s'ils sont trans pour leur donner un accompagnement adapté surtout s'ils souffrent de troubles.
Il faut que l'enfant accepte son corps avant de le changer ( accepter ne veut pas dire aimer, mais vivre en paix avec )
Et encore une fois, je pense sincèrement qu'on ne peut pas comprendre réellement la transidentité si on ne l'a pas vécue.
Voilà je crois avoir tout dit.