Bonjour, ça fait super longtemps que je n'ai pas écris.
J'ai commencé un premier essai pour mettre en lumière le personnage principale de mon histoire qui débouchera sur l'horreur.
Pouvez-vous me dire ce que vous en pensez ?
Dans l'obscurité oppressante d’une zone industrielle délabrée, comme un spectre vengeur, le Dr. Vargas se perdait dans les tréfonds de sa propre folie. Les ruelles étroites étaient jonchées de débris, des vestiges d'une ère révolue, devenus des stèles silencieuses marquant le déclin inexorable de la civilisation. Les cheminées tordues perçaient le ciel telles des flèches noires, crachant autrefois des volutes de fumée toxique, maintenant figées dans un silence glacial. Les bâtiments délabrés, aux fenêtres brisées, semblaient hantés par des présences indistinctes. C'était au cœur de cette désolation que le docteur avait trouvé refuge, transformant un coin oublié du monde en son sanctuaire de malheur.
Dr. Vargas, homme énigmatique et tourmenté, était un expert en microbiologie. Ses lunettes fumée oranges, étaient le reflet d’une personnalité excentrique dont les souffrances s’alimentaient en continu. Ses doigts agiles maniaient les éprouvettes avec une précision chirurgicale, combinant des éléments terrifiants dans l'art sombre de la vengeance. Son chef-d'œuvre sinistre était d'une sophistication inouïe, conçue pour traquer l'intelligence humaine. Mais derrière son génie, ou peut-être à cause de lui, se cachait un autre aspect de sa personnalité tourmentée. Le Dr. Vargas était un esclave de l'ordre, un captif des rituels obsessionnels. Chaque ustensile, chaque surface de son laboratoire devait être d'une propreté clinique inégalée, éloignant le désordre du monde extérieur aussi efficacement que possible. Ses mains, gantées de latex, dansaient avec une grâce macabre parmi les fioles et les pipettes, mais son esprit était un tourbillon d'obsession.
L'atmosphère du laboratoire était imprégnée d'une tension palpable, comme si l'air lui-même craignait le fléau imminent que le docteur s'apprêtait à déchaîner sur le monde. Sa création prenait forme dans les ténèbres, une créature artificielle, mais douée d'une puissance effrayante. Les ombres dansaient sur les murs tandis que le Dr. Vargas murmurait des mots scientifiques, ses yeux fixés sur le microscope, comme un sorcier observant son grimoire maudit.
Dans les profondeurs de son laboratoire clandestin, le Dr. Vargas sourit, un sourire dénué d'humanité, alors que son esprit brillait d'une conviction implacable. Le goût de la vengeance était devenu virale et ne pouvait s’arrêter. Rien ne pouvait stopper le fléau qu'il allait déchaîner sur cette petite ville. Il ressentait le pouvoir s'écouler entre ses doigts, une puissance malsaine qui le transcendait, le faisant se sentir comme un dieu de la destruction. Il se voyait comme un architecte du chaos, un alchimiste de la douleur, prêt à faire plier le monde à sa volonté tordue.
Le virus, un organisme artificiel doté d'une intelligence terrifiante, avait été créé avec une seule mission : infiltrer les rangs des amibes mangeuses de cerveau et nous anéantir de l'intérieur. C'était une vengeance personnelle, une vendetta silencieuse contre ces créatures abominables qu’on appel humain. Le Dr. Vargas se voyait comme le justicier d'un monde en détresse, un gardien sombre prêt à éradiquer le mal avec un zèle impitoyable. Pendant des jours et des nuits interminables, le docteur avait travaillé sans relâche, sacrifiant sommeil et santé pour donner vie à son chef-d'œuvre. Les murs du laboratoire étaient couverts de formules complexes, de schémas anatomiques et de croquis sinistres, témoins muets de l'obsession qui avait englouti l'âme du chercheur. Chaque injection du virus dans une éprouvette était comme un coup de poignard dans l'obscurité, un pas de plus vers la réalisation de sa vie.
Mais tandis que le virus prenait forme, une lueur étrange illuminait les yeux du Dr. Vargas. C'était une lueur mêlée de folie et de satisfaction, une lueur qui annonçait la naissance imminente d'un fléau dévastateur. Il pouvait sentir le pouvoir du virus, un pouvoir qu'il avait lui-même créé, pulser dans ses veines, une extase macabre le submergeant alors qu'il contemplait son œuvre. L'obsession avait atteint son paroxysme, et dans cet instant, le docteur se sentait invincible. La seule fois de sa vie…
Alors que les aiguilles de l'horloge étaient stoppées, marquant l'approche du point critique, le Dr. Vargas se préparait à libérer son poids dans le monde. Ses doigts tremblaient d'excitation, sa respiration était coupée, mais son regard était déterminé. Il savait que son acte allait déclencher une réaction en chaîne, un cataclysme silencieux qui se propagerait à travers les ombres, dévorant tout sur son passage. De son laboratoire clandestin, le Dr. Vargas sourit une dernière fois, un sourire empreint de folie et de triomphe. Il leva l'éprouvette contenant le virus, l'objet de sa vengeance, vers le ciel obscure. Puis, d'un geste précis, il libéra la créature dans le cours d’eau d’une rivière à quelques pas. Laissant le fléau s'échapper de sa prison de verre pour se répandre dans sa nouvelle demeure.
L’amibe mangeuse de cerveau était lâchée devenant une entité libre de pouvoir s’exprimer. Les conséquences de son acte étaient inimaginables, et dans l'obscurité de son laboratoire, il savourait l'anticipation de l'inconnu. Le monde était sur le point de changer, de se tordre dans l'agonie de la douleur et de la terreur, et il en était le marionnettiste invisible derrière le rideau sombre de l'apocalypse à venir.
Pendant un instant, le laboratoire retentit du rire maniaque du Dr. Vargas, un éclat de démence mêlé à une satisfaction maléfique. Puis, le silence retomba, enveloppant le chercheur solitaire dans sa veste blanche tachetée.
J'ai commencé un premier essai pour mettre en lumière le personnage principale de mon histoire qui débouchera sur l'horreur.
Pouvez-vous me dire ce que vous en pensez ?
Prologue
Dans l'obscurité oppressante d’une zone industrielle délabrée, comme un spectre vengeur, le Dr. Vargas se perdait dans les tréfonds de sa propre folie. Les ruelles étroites étaient jonchées de débris, des vestiges d'une ère révolue, devenus des stèles silencieuses marquant le déclin inexorable de la civilisation. Les cheminées tordues perçaient le ciel telles des flèches noires, crachant autrefois des volutes de fumée toxique, maintenant figées dans un silence glacial. Les bâtiments délabrés, aux fenêtres brisées, semblaient hantés par des présences indistinctes. C'était au cœur de cette désolation que le docteur avait trouvé refuge, transformant un coin oublié du monde en son sanctuaire de malheur.
Dr. Vargas, homme énigmatique et tourmenté, était un expert en microbiologie. Ses lunettes fumée oranges, étaient le reflet d’une personnalité excentrique dont les souffrances s’alimentaient en continu. Ses doigts agiles maniaient les éprouvettes avec une précision chirurgicale, combinant des éléments terrifiants dans l'art sombre de la vengeance. Son chef-d'œuvre sinistre était d'une sophistication inouïe, conçue pour traquer l'intelligence humaine. Mais derrière son génie, ou peut-être à cause de lui, se cachait un autre aspect de sa personnalité tourmentée. Le Dr. Vargas était un esclave de l'ordre, un captif des rituels obsessionnels. Chaque ustensile, chaque surface de son laboratoire devait être d'une propreté clinique inégalée, éloignant le désordre du monde extérieur aussi efficacement que possible. Ses mains, gantées de latex, dansaient avec une grâce macabre parmi les fioles et les pipettes, mais son esprit était un tourbillon d'obsession.
L'atmosphère du laboratoire était imprégnée d'une tension palpable, comme si l'air lui-même craignait le fléau imminent que le docteur s'apprêtait à déchaîner sur le monde. Sa création prenait forme dans les ténèbres, une créature artificielle, mais douée d'une puissance effrayante. Les ombres dansaient sur les murs tandis que le Dr. Vargas murmurait des mots scientifiques, ses yeux fixés sur le microscope, comme un sorcier observant son grimoire maudit.
Dans les profondeurs de son laboratoire clandestin, le Dr. Vargas sourit, un sourire dénué d'humanité, alors que son esprit brillait d'une conviction implacable. Le goût de la vengeance était devenu virale et ne pouvait s’arrêter. Rien ne pouvait stopper le fléau qu'il allait déchaîner sur cette petite ville. Il ressentait le pouvoir s'écouler entre ses doigts, une puissance malsaine qui le transcendait, le faisant se sentir comme un dieu de la destruction. Il se voyait comme un architecte du chaos, un alchimiste de la douleur, prêt à faire plier le monde à sa volonté tordue.
Le virus, un organisme artificiel doté d'une intelligence terrifiante, avait été créé avec une seule mission : infiltrer les rangs des amibes mangeuses de cerveau et nous anéantir de l'intérieur. C'était une vengeance personnelle, une vendetta silencieuse contre ces créatures abominables qu’on appel humain. Le Dr. Vargas se voyait comme le justicier d'un monde en détresse, un gardien sombre prêt à éradiquer le mal avec un zèle impitoyable. Pendant des jours et des nuits interminables, le docteur avait travaillé sans relâche, sacrifiant sommeil et santé pour donner vie à son chef-d'œuvre. Les murs du laboratoire étaient couverts de formules complexes, de schémas anatomiques et de croquis sinistres, témoins muets de l'obsession qui avait englouti l'âme du chercheur. Chaque injection du virus dans une éprouvette était comme un coup de poignard dans l'obscurité, un pas de plus vers la réalisation de sa vie.
Mais tandis que le virus prenait forme, une lueur étrange illuminait les yeux du Dr. Vargas. C'était une lueur mêlée de folie et de satisfaction, une lueur qui annonçait la naissance imminente d'un fléau dévastateur. Il pouvait sentir le pouvoir du virus, un pouvoir qu'il avait lui-même créé, pulser dans ses veines, une extase macabre le submergeant alors qu'il contemplait son œuvre. L'obsession avait atteint son paroxysme, et dans cet instant, le docteur se sentait invincible. La seule fois de sa vie…
Alors que les aiguilles de l'horloge étaient stoppées, marquant l'approche du point critique, le Dr. Vargas se préparait à libérer son poids dans le monde. Ses doigts tremblaient d'excitation, sa respiration était coupée, mais son regard était déterminé. Il savait que son acte allait déclencher une réaction en chaîne, un cataclysme silencieux qui se propagerait à travers les ombres, dévorant tout sur son passage. De son laboratoire clandestin, le Dr. Vargas sourit une dernière fois, un sourire empreint de folie et de triomphe. Il leva l'éprouvette contenant le virus, l'objet de sa vengeance, vers le ciel obscure. Puis, d'un geste précis, il libéra la créature dans le cours d’eau d’une rivière à quelques pas. Laissant le fléau s'échapper de sa prison de verre pour se répandre dans sa nouvelle demeure.
L’amibe mangeuse de cerveau était lâchée devenant une entité libre de pouvoir s’exprimer. Les conséquences de son acte étaient inimaginables, et dans l'obscurité de son laboratoire, il savourait l'anticipation de l'inconnu. Le monde était sur le point de changer, de se tordre dans l'agonie de la douleur et de la terreur, et il en était le marionnettiste invisible derrière le rideau sombre de l'apocalypse à venir.
Pendant un instant, le laboratoire retentit du rire maniaque du Dr. Vargas, un éclat de démence mêlé à une satisfaction maléfique. Puis, le silence retomba, enveloppant le chercheur solitaire dans sa veste blanche tachetée.