Ode à l'hiver.(récit poétique versifié.)

[Plectrum.]

Je ne saurais préférer l'été à l'hiver, ce dernier étant frais et accueillant, offrant une réconfortante fraîcheur sous l'égide d'un soleil moins impérieux. L'astre insolent, me fait souffrir, m'emporte dans de fiévreux tourments. Que dire du printemps, qui me prépare au pire ? Que dire d'un exécuteur affutant ses lames, camouflées en fleurs ?

Il semblerait que mon point de vue ne soit guère apprécié, car sur tous les toits, je le perçois hué; j'apprécie autant les étreintes glacées d'une nuit qui m'entaille, que le froid matinal, dévorant mes entrailles. La lourdeur des la neige, peu à peu m'entrave. Froid hivernal ! Lèse mes lèvres, gerce mon épiderme blafard ! Je veux sentir la morsure fatale longeant ma colonne vertébrale ! Telle est ma prière, mon cher. Dois-je t'implorer à genoux cloîtrée dans un monastère ?Pourquoi est-ce si complexe, cela ? Pourquoi, tu ne me comprends pas ?

Pourquoi ne fait-il pas assez froid ?...

Je t'en supplie, dévore ma peau, transperce moi jusqu'aux os. Je veux sentir mon sang affluer, je veux voir l'eclat de les veines bleutées, je veux laisser, des rides, sur ma peau délayée, se former. La morte saison est grisante, cette dernière me fait ressentir des sensations humaines, sensations, sensations, sensations, suscitant, réactions et émotions, qui sans elle, parfois jamais, ne surviennent...

 

[kelsy☆]

Je ne saurais préférer l'été à l'hiver, ce dernier étant frais et accueillant, offrant une réconfortante fraîcheur sous l'égide d'un soleil moins impérieux. L'astre insolent, me fait souffrir, m'emporte dans de fiévreux tourments. Que dire du printemps, qui me prépare au pire ? Que dire d'un exécuteur affutant ses lames, camouflées en fleurs ?

Il semblerait que mon point de vue ne soit guère apprécié, car sur tous les toits, je le perçois hué; j'apprécie autant les étreintes glacées d'une nuit qui m'entaille, que le froid matinal, dévorant mes entrailles. La lourdeur des la neige, peu à peu m'entrave. Froid hivernal ! Lèse mes lèvres, gerce mon épiderme ! Je veux sentir la morsure fatale longeant ma Colonne vertébrale ! Telle est ma prière,mon cher. Dois-je t'implorer à genoux cloîtrée dans un monastère ?Pourquoi est-ce si complexe, cela ? Pourquoi, tu ne me comprends pas ?

Pourquoi ne fait-il pas assez froid ?...

Je t'en supplie, dévore ma peau, transperce moi jusqu'aux os. Je veux sentir mon sang affluer, je veux voir l'eclats de les veines bleutées, je veux laisser, des rides se former. La morte saison est grisante, cette dernière me fait ressentir des sensations humaines, sensations, sensations, sensations,suscitant, réactions et émotions, qui sans elle, parfois jamais, ne surviennent...

Tu écris tellement bien j’aime trooop 😊
Et les rymes je trouve ça tellement satisfaisant à lire et à entendre !

 

[Plectrum.]

Tu écris tellement bien j’aime trooop 😊
Et les rymes je trouve ça tellement satisfaisant à lire et à entendre !

Merci !
Je le réciterai probablement, j'apprécie beaucoup sa sonorité.

 

[Rat Sérieux]

C'est très bien écrit

 

[Chuisbizarre]

Je ne saurais préférer l'été à l'hiver, ce dernier étant frais et accueillant, offrant une réconfortante fraîcheur sous l'égide d'un soleil moins impérieux. L'astre insolent, me fait souffrir, m'emporte dans de fiévreux tourments. Que dire du printemps, qui me prépare au pire ? Que dire d'un exécuteur affutant ses lames, camouflées en fleurs ?

Il semblerait que mon point de vue ne soit guère apprécié, car sur tous les toits, je le perçois hué; j'apprécie autant les étreintes glacées d'une nuit qui m'entaille, que le froid matinal, dévorant mes entrailles. La lourdeur des la neige, peu à peu m'entrave. Froid hivernal ! Lèse mes lèvres, gerce mon épiderme blafard ! Je veux sentir la morsure fatale longeant ma colonne vertébrale ! Telle est ma prière, mon cher. Dois-je t'implorer à genoux cloîtrée dans un monastère ?Pourquoi est-ce si complexe, cela ? Pourquoi, tu ne me comprends pas ?

Pourquoi ne fait-il pas assez froid ?...

Je t'en supplie, dévore ma peau, transperce moi jusqu'aux os. Je veux sentir mon sang affluer, je veux voir l'eclat de les veines bleutées, je veux laisser, des rides, sur ma peau délayée, se former. La morte saison est grisante, cette dernière me fait ressentir des sensations humaines, sensations, sensations, sensations, suscitant, réactions et émotions, qui sans elle, parfois jamais, ne surviennent...

J'aime beaucoup ! Ça donne un point de vue différent de l'hiver, c'est original et transperçant ^^

 

[Plectrum.]

L'original est joli, je trouve.